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Mandosio latin technique xii et xiii sie cle 1

Annuaire de l'École pratique des hautes études EPHE Section des sciences historiques et philologiques Résumés des conférences et travaux - Latin technique du XIIe au XVIIIe siècle Jean-Marc Mandosio Édition électronique URL http ashp revues org ISSN - Éditeur École pratique des hautes études Section des sciences historiques et philologiques Édition imprimée Date de publication octobre Pagination - ISSN - Référence électronique Jean-Marc Mandosio Latin technique du XIIe au XVIIIe siècle ? Annuaire de l'École pratique des hautes études EPHE Section des sciences historiques et philologiques En ligne mis en ligne le septembre consulté le octobre URL http ashp revues org Ce document est un fac-similé de l'édition imprimée Tous droits réservés EPHE CRésumés des conférences LATIN TECHNIQUE DU XIIe AU XVIIIe SIèCLE Ma? tre de conférences ? M Jean-Marc Mandosio Programme de l ? année - ? I Jacques Lefèvre d ? Étaples De magia naturali ?? textes magiques et alchimiques ?? II Avicenne Libri metheororum en collaboration avec Mme Silvia Di Donato ?? III Le commentaire de Jean Péna sur le De natura deorum de Cicéron en collaboration avec Mme Marie-Dominique Couzinet I Le De magia naturali de Lefèvre d ? Étaples a de nouveau été mis de côté au pro ?t du ms lat - de la Bibliothèque royale de Belgique que nous avions rapidement évoqué il y a deux ans en nous demandant si les di ?érents textes qu ? il contient formaient ou non un tout cohérent répondant au programme annoncé dans le prologue du premier des traités ?? Les catalogueurs tant anciens que modernes ont cru qu ? il ne s ? agissait que d ? un recueil de textes de divers auteurs ce qui les conduisit à le répartir sous plusieurs cotes distinctes ?? Nous pouvons désormais a ?rmer avec certitude que le manuscrit tout entier constitue le Lucidarius de rebus mirabilibus somme composée par le médecin Pierre de Zélande de à dans le but d ? élucider les fondements théoriques de la magie art qui est à ses yeux réellement e ?cace L ? ouvrage se présente de prime abord comme une simple compilation ce qui explique que sa structure globale ait pu passer inaperçue La mise au jour de ce Lucidarius con ?rme l ? intérêt grandissant pour la théorie des arts magiques à la ?n du xve siècle ? dans le sillage des Florentins Marsile Ficin et Jean Pic de la Mirandole qui avaient spectaculairement remis au premier plan l ? étude de la question les vastes synthèses opérées par Pierre de Zélande et Lefèvre d ? Étaples exactement contemporaines mais assez di ?érentes l ? une de l ? autre marquent une étape importante avant la grande systématisation entreprise à partir de par Henri Corneille Agrippa dans son De occulta philosophia Cette étape est demeurée quasiment invisible si bien que la publication du De magia naturali et du Lucidarius de rebus mirabilibus que nous espérons pouvoir mener à bien Voir l ? Annuaire - p - Cette cotation remonte