L15 ? C ? est que chacune des substances simples est censée agir sur l ? autre à mesure de sa perfection quoi que ce ne soit qu ? idéalement et dans les raisons des choses en ce que Dieu a réglé d ? abord une substance sur l ? autre selon la perfection ou
? C ? est que chacune des substances simples est censée agir sur l ? autre à mesure de sa perfection quoi que ce ne soit qu ? idéalement et dans les raisons des choses en ce que Dieu a réglé d ? abord une substance sur l ? autre selon la perfection ou l ? imperfection qu ? il y a dans chacune bien que l ? action et la passion soient toujours mutuelles dans les créatures parce qu ? une partie des raisons qui servent à expliquer distinctement ce qui se fait et qui ont servi à le faire exister est dans l ? une de ces substances et une autre partie de ces raisons est dans l ? autre les perfections et les imperfections étant toujours mêlées et partagées C ? est ce qui nous fait attribuer l ? action à l ? une et la passion à l ? autre ? Théodicée p C ? Lors donc qu ? il arrive un changement dont plusieurs substances sont a ?ectées comme en e ?ect tout changement les touche toutes je croy qu ? on peut dire que celle qui immédiatement par là passe à un plus grand degré de perfection ou à une expression plus parfaite exerce sa puissance et agit et celle qui passe à un moindre degré fait connoistre sa faiblesse et patit ? Discours de métaphysique édition Henri Lestienne p - C ? Si on essaie d ? introduire un particulier dépendant R-à-S qui corresponde à la proposition S est R à S ? de la façon dont la verdeur correspond à La feuille est verte ? on se trouve confronté au dilemme suivant ? Le particulier dépendant cherché est-il un R-à-S un à-droite-de-S Cela semblerait exiger que S inhère à S comme étant une partie du R-à-S qui inhère à S ? Ce particulier est-il un R plutôt qu ? un R-à-S Dans ce cas il inhère ou bien a à S seul ou bien b à la fois à S et à S ou bien c ni à S ni à S La réponse ne peut pas être a car dans ce cas le fait que S soir R à S resterait inexpliqué et de plus cela impliquerait que S pourrait être dans la relation sans avoir un relatum b ne peut pas être le cas en vertu de ce qu ? a ?rme Leibniz dans une formule célèbre et souvent citée à savoir qu ? un accident ne peut pas avoir un pied dans deux sujets ? il n ? y a pas d ? accidents bipèdes Même si S et S pouvaient partager un R S pourrait cesser d ? exister autrement dit être détruit par Dieu et nous serions ramenés à l ? absurdité de la situation précédente En ?n c est exclu puisque les particuliers autres que les substances sont dépendants c ? est-à-dire inhèrent nécessairement à une substance C ? Leibniz a trouvé une façon intéressante de
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- Publié le Jui 01, 2021
- Catégorie Creative Arts / Ar...
- Langue French
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