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pdfcrowd.com open in browser PRO version Are you a developer? Try out the HTML to PDF API Rechercher dans l'Hebdo Semaine du 20 au 26 mai 2015 - Numéro 1076 Qui sommes-nous? Lois électorales : Les partis font pression Réunis cette semaine au Caire, une trentaine de partis politiques ont lancé l'initiative d'un projet d'amendement des lois électorales. Une démarche qui a peu de chance d'aboutir. L'initiative du projet d'amendement aborde certains points qui ont été négligés par le comité gouvernemental qui a amendé les lois électorales. 0 Partager Imprimer Chaïmaa Abdel-Hamid 20-05-2015 Les plus lus Les plus commentés Accueil Egypte International Economie Débats Société Culture Voyages Sports Multimedia 0 J’aime pdfcrowd.com open in browser PRO version Are you a developer? Try out the HTML to PDF API Insatisfaits des récents amendements des lois électorales, une trentaine de partis politiques, réunis cette semaine au Caire, ont lancé l’initiative d’un projet d’amendement des lois électorales. Il s’agit de la loi sur l’exercice des droits politiques, celle sur le découpage électoral et la loi des élections. Dans leur communiqué de clôture, publié samedi à l’issue de trois jours de délibération, les partis ont annoncé une série de propositions qu’ils ont envoyées au président de la République. La démarche, prise à l’initiative du parti des conservateurs, a rassemblé presque toutes les grandes formations politiques, dont le néo-Wafd, le Rassemblement (unioniste progressiste, gauche), l’Alliance populaire socialiste, le parti salafiste Al-Nour, le parti de la Réforme et du Développement. L’objectif de l’initiative est « d’éviter que les lois électorales ne soient jugées inconstitutionnelles, ce qui entraînerait la dissolution du nouveau parlement », selon les partis. « Ce projet d’amendement aborde certains points qui ont été négligés par le comité gouvernemental qui a amendé les lois électorales, ce qui a déçu la majorité des partis », déclare Akmal Qortam, président du parti des Conservateurs lors d’une conférence de presse. Prémunir le parlement Mohamad Anouar Al-Sadate, président du parti de la Réforme et du Développement, souligne, pour sa part, que « les forces politiques tentent de faire parvenir leur voix au président de la République, surtout que leurs propositions ont été négligées à deux reprises, lors de l’élaboration des lois et lors de leur amendement ». Hafez Abou-Seada, membre du haut comité du parti des Conservateurs, estime que les propositions avancées par les partis politiques tiennent compte des 16 recours qui ont été présentés à la justice, et dont seulement 4 ont été acceptés. Les partis réclament notamment l’amendement de l’article 49 de la loi sur la Cour constitutionnelle de manière à ce que la Cour examine les projets de lois avant leur promulgation et non pas après, ce qui permettrait de prémunir le parlement contre tout recours. Les partis réclament aussi l’amendement de l’article 25 de la loi sur le découpage électoral, de manière à plafonner les dépenses de la campagne électorale, afin de garantir l’égalité des chances. Les partis ont de même présenté trois propositions relatives au système électoral. La première est que 50 % des sièges du parlement soient pourvus au scrutin de liste et 50 % au scrutin uninominal. La deuxième proposition est que 40 % des sièges soient réservés au scrutin de liste, 40 % au scrutin individuel et de garder les 20 % restants aux quotas (femmes, jeunes, coptes, handicapés, ouvriers et paysans). La troisième proposition enfin consiste à augmenter le nombre de listes électorales. La loi actuelle réserve 80 % des sièges au scrutin uninominal et seulement 20 % au scrutin de liste, une situation qui ne favorise pas les partis politiques. pdfcrowd.com open in browser PRO version Are you a developer? Try out the HTML to PDF API Lois | Electorales | Caire | Mohamad Anouar Al-Sadate Mots clés: http://hebdo.ahram.org.eg/News/10492.aspx Légères divergences Assem Al-Guéneidi, secrétaire adjoint du parti des Conservateurs, reconnaît qu’il y a eu, au cours des débats, des désaccords entre les partis. « Ce qui est normal dans un rassemblement d’une trentaine de partis de diverses tendances », dit-il. Le principal désaccord est apparu lorsque les partis du courant démocratique (une coalition de partis de gauche et de partis libéraux), notamment Al-Karama, ont insisté sur le fait de rédiger une nouvelle loi en écartant carrément celle en vigueur. « Cette proposition a été rejetée par la majorité des partis qui ont considéré que leur but n’était pas de rédiger une loi parallèle, mais uniquement de proposer quelques modifications des articles soupçonnés d’inconstitutionnalité », explique Al-Guéneidi. « Après la formation du parlement, nous travaillerons sur la rédaction d’une nouvelle loi électorale, mais actuellement, nous tenons à ne pas retarder davantage les élections », ajoute-t-il. Les élections législatives devaient initialement avoir lieu au mois de mars 2015, mais la Haute Cour constitutionnelle a déclaré inconstitutionnelles certaines lois électorales, ce qui a entraîné le report des élections. Un comité gouvernemental a ensuite été formé pour amender ces lois, afin qu’elles soient conformes à la Constitution. Il s’agit notamment de la loi sur le découpage électoral, et celle sur le Conseil des députés. Mais les partis politiques non satisfaits des amendements gouvernementaux ont proposé de nouveaux amendements, sans doute un moyen de faire pression sur le gouvernement. Certains partis avaient même menacé de boycotter le scrutin si leurs revendications ne sont pas prises en compte. Essam Al-Islambouli, juriste, ne s’attend pas à ce que le gouvernement prenne au sérieux les propositions des partis. L’amendement du gouvernement est actuellement devant le Conseil d’Etat. De plus, sur les plans juridique et constitutionnel, même si ces propositions sont envoyées directement au président de la République, il ne peut pas les approuver sans qu’elles soient soumises au Conseil des ministres et au Conseil d’Etat . Lien court: pdfcrowd.com open in browser PRO version Are you a developer? Try out the HTML to PDF API Courriel Nom Titre Commentaire Egypte International Monde Arabe Afrique Monde Economie Débats Société Culture Arts Livres Idées Littérature Voyages Sports Multimedia Dossier L'invité Visages Calendrier Echangez, écrivez Vie mondaine Abonnez-vous Qui sommes-nous ? Droits de reproduction et de diffusion réservés. © AL-AHRAM Hebdo Usage strictement personnel. L'utilisateur du site reconnaît avoir pris connaissance de la Licence de droits d'usage, en accepter et en respecter les dispositions. pdfcrowd.com open in browser PRO version Are you a developer? Try out the HTML to PDF API Rechercher dans l'Hebdo Semaine du 20 au 26 mai 2015 - Numéro 1076 Qui sommes-nous? Peine maximale pour Morsi L'ancien président, Mohamad Morsi, a été condamné samedi à la peine capitale pour évasion de prison au lendemain de la révolution du 25 janvier. 121 autres accusés dont des membres de la confrérie, du Hamas et du Hezbollah, ont également écopé de la peine de mort pour espionnage et évasion. (Photo : AP) 0 Partager Imprimer Les plus lus Les plus commentés Accueil Egypte International Economie Débats Société Culture Voyages Sports Multimedia 0 J’aime pdfcrowd.com open in browser PRO version Are you a developer? Try out the HTML to PDF API Ola Hamdi 20-05-2015 Lire aussi La fin de Tamarrod Nouveau foyer terroriste à la frontière libyenne Les islamistes engagent une guerre des pylônes Aide militaire : Le pragmatisme de Washington Morsi essuie son 1er verdict Abus policiers : L’Etat décide d’agir Après 16 mois de procès, la Cour pénale du Caire a transmis au mufti de la République les documents de l’ancien président Mohamad Morsi et 121 autres accusés (sur 166 prévenus) pour espionnage et évasion de prison, au lendemain de la révolution du 25 janvier 2011 (étape préliminaire avant la confirmation du verdict le 2 juin prochain). Parmi les 121 condamnés à mort figurent Mohamad Badie, l’ancien guide de la confrérie et le prédicateur qatari d’origine égyptienne, Youssef Al-Qaradawi. Ce dernier était jugé par contumace. 70 militants palestiniens dont deux dirigeants du mouvement Hamas : Ayman Nofal, et Mohamad Hédj, et deux du Hezbollah libanais, Sami Chihab et Ihab Morsi ont également écopé de la peine capitale. Les militants du Hamas seraient, selon la cour, entrés en Egypte durant la révolution du 25 janvier 2011, par des tunnels clandestins allant de la bande de Gaza à la péninsule du Sinaï. Tirant profit de l’instabilité, ils seraient entrés dans plusieurs prisons, libérant Mohamad Morsi, une trentaine de dirigeants des Frères musulmans et quelque 20 000 détenus. Plusieurs gardiens de prison auraient été tués durant l’opération. La condamnation de Morsi se rapporte à son évasion de prison. Quant à l’accusation d’espionnage, le tribunal devrait se prononcer le 2 juin. Les faits remontent à la période comprise entre 2005 et 2013. L’ancien président et 35 autres personnes sont accusés d’avoir fourni des rapports de sécurité à l’Iran et sont également accusés d’espionnage en faveur du Hamas et du Hezbollah « en vue de mener des attaques terroristes dans le pays pour y semer le chaos et renverser l’Etat ». Morsi avait déjà été condamné à 20 ans de prison pour complicité dans le meurtre des manifestants durant les événements d’Al-Ittihadiya, avec d’autres dirigeants de la confrérie comme Mohamad Al-Beltagui, Saad Al-Katatni, et Essam Al-Ariane. Le verdict de la Cour pénale uploads/Politique/ lois-electorales-les-partis-font-pression-egypte.pdf

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