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I If - C C C C C CJ -K HUYSMANS CERTAINS G MOREAU ?? DEGAS ?? CHÉRET ?? ?? ?? WISTHLER ROPS LE MONSTRE LE FER etc PARIS LIBRAIRIE PLON PLON- NOURRIT et C' IMPRIMEURS -ÉDITEURS RUE GARANCIÈKE-Ô Tous drij? ? s réservés CDigitized by the Internet Archive in with funding from University of Toronto http www archive org details certainsOOhuys CCERTAINS CDU MÊME AUTEUR A LA MÊME LIBRAIRIE ?uvres catholiques L'Oblat roman e mille Sainte Lydwine de mille Schiedam Pages catholiques pages choisies Préface de M l'abbé A Mugnier e mille La Bièvre et Saint-Séverin mille La Cathédrale roman e mille En route roman mille Les Foules de Lourdes mille Trois Églises et trois Primitifs ? mille i vol in-i ?? ?? ?? ?? ?? ?? ?? ?uvres diverses Là-Bas roman e mille En Rade roman ii mille L'Art moderne critique d'art e mille Certains critique d'art G Moreau Degas Chéret Wisthler Rops Le Monstre Le Fer etc mille ?? ?? A Croquis parisiens vau-l'eau Un Dilemme mille De tout II' mille i vol in-i ?? ?? ?? ?? ?? Ce volume a été déposé au ministère de l'intérieur en CJ -K HUYSMANS CERTAINS G MOREAU ?? DEGAS ?? CHÉRET ?? ?? ?? WISTHLER ROPS LE MONSTRE LE FER etc PARIS LIBRAIRIE PLON PLON- NOURRIT et C IMPRIMEURS -ÉDITEURS RUE GARANCrÈRE- ' Tous droits réservés C iy FEB ' Droits Uo reproduction et Je traJuclioa réserves puar tous puys C ?? u dilettantisme uvis ?? de Chavanne G? tstave ?? Moreau Degas C C'un des symptômes les plus déconcertants de cette époque c'est la pro- miscuité dans l'admiration L'art étant devenu comme le sport une des occupations recherchées des gens riches les expositions se suivent avec un égal succès quelles que soient les ?uvres qu'on exhibe pourvu toutefois que les négociants de la presse s'en mêlent et que les étalages aient lieu dans une galerie connue dans une salle réputée de bon ton par tous La vogue de ces amusettes s'explique D'abord l'aridité des cerveaux dévolus aux gens du monde découvre dans la régulière parade des dessins et des toiles de frivoles ressources prêtes à alterner avec les discussions fripées de la politique et les tarissables potins sur le C CERTAINS thé? tre puis les lieux communs sur la peinture suppléent parfois aussi le soir aux cancans mondains et conjurent les somnolentes ré exions des parties de bouillotte ou les diplomatiques si- lences des joueurs de whist ?? En ?n et cette raison su ?rait à elle seule ?? visiter et soi-disant admirer les ?uvres les plus di ?érentes et les plus hostiles implique une largeur d'esprit une élasticité d'aise artistique vraiment atteuses En littérature plus particulièrement les con- naisseurs sans préjugés foisonnent Tout le ?? ?? monde en e ?et et qui en doute est ex- pert à juger des phrases Parfois il se trouve des fossiles des êtres arriérés des bourgeois na? fs qui avouent ne pas être absolument sûrs de la véracité des appréciations qu'ils