Rubrique la poesie noire SOMMAIRE Rubrique La poésie Brin d ? Herbes Contenu SOMMAIRE TERRE LA MEME JE PEINDRAI MEMOIRES PAROLES FEMMES CREPUSCULE VOUS BLANC MASQUE NOIR VILLAGE DE MON PAYS QU ? EST-CE QUE JE DEMANDE NEW YORK ECHINE FOUMBOT TOTEM YAOUNDE

SOMMAIRE Rubrique La poésie Brin d ? Herbes Contenu SOMMAIRE TERRE LA MEME JE PEINDRAI MEMOIRES PAROLES FEMMES CREPUSCULE VOUS BLANC MASQUE NOIR VILLAGE DE MON PAYS QU ? EST-CE QUE JE DEMANDE NEW YORK ECHINE FOUMBOT TOTEM YAOUNDE DOUALA SOUFFLE LA TOUTE PETITE GOUTTE GRENOUILLE CAMELEON NOUN FORET C TERRE Mon rythme coupé et le pouls exténué Voici la voix de volcan ma parole de solitude Le nid ou niche l ? oiseau sur mon sol de nos sou es Je vous regarde de mon nom impunément Qui me retire du tir inondant ce passé martelé -Tu es en moi Comme le bras à l ? allongé du corps Comme l ? étendu docile à la ?n de la marche De tous les hommes rapaces qui hurlent colères révision M ? espérant éternellement à la ronde Qui invectivent sur les mers et sur la terre Dont la parole à leurs Appelle Révolte incendiaire Terre soleil Vaillant ombre de mes ancêtres Voici l ? homme Debout droit Et debout contre toutes résignations CVertical Voici ce pied noir qui n ? a pas été le poing par l ? écharde du poids versé Voici la corde et la montée de l ? airain qui me guide Au bout de ce monde à mes yeux petits Que je daigne rompre la posée la pierre et la fronde Voici la canne de la ligne Qui piétine avec frénésie la même cadence la moue de ton sol le rythme Que dire des piétons à leurs patènes de feu de colère Soulevant la sueur de leur peine SOP TESSA C LA MEME Ma main je vous le tends Que notre vie coriace à tous les deux a été jetée et qui nous semble moins dur la vôtre Que le temps lui n ? a pas accordé Si je vous parle ainsi c ? est Que l ? attente est di ?cile Pour saluer votre hardiesse sur ce grand soleil noir d ? Afrique Sur Chaque obstination donnée sur la clameur de l ? étoile Si je te parle ainsi c ? est que l ? enfant s ? adresse à sa mère reconnais ces peines de diamants Sur les monts droits de l ? e ?ort Encore par ta sou ?rance changée en allégresse par deux fois Il a su ? d ? un toucher ma Femme grande Grandissime Oh femmes grandes et Travailleuses Habituée à la lavure Qui a narine avec tout labeur transformée Toi qui te forme femmes grandes voici Que tu es restée de toute chose qui s ? use à l ? usage La peau imputrescible la parole courageuse au ?l de l ? aimée qui t ? aime Toi qui es restée La même tu es restée au ?l des jours qui rient Femme dodue mure par l ? e ?ort tendre Femme forte aux mains rudes qui se rue sous l ? assaut de la vie en montrant les siennes Avec la parole fermée qui dit tant sur toi

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