Brandes georg l ecole romantique en france

G Brandes L'ECOLE ROAANTIQUE EN FRANCE t- PARIS A AICHALON Eue Monsieur le Prince C CG Brandes Les grands courants littéraires au XIX siècle L'ÉCOLE ROMANTIQUE EN FRANCE Ouvrage traduit sur la édition allemande par A Topin Professeur au collège de Blois Précédé d'une Introduction par Victor Basch Professeur à l'Université de Reunes Paris A Mi chai on Tous droits réservés Cjjis-uous mil linit cent trente Epoque fulgurante Ües luttes ses ardeurs Th le Banville CA mon cher ma? tre M Basch Hommage de respectueuse a ?ection et de reconnaissance A Topiii CDigitized by the Internet Archive in with funding from University of Ottawa http www archive org details lcoleromantiquOObran CTable des matières pages Préface VII à XXIV I La scène politique IL La génération de III Le Romantisme ?? IV Nodier V Coup d'oeil rétrospectif In uences ?? étrangères VI Coup d'oeil rétrospectif In uences nationales VU Poésies de de Vigny et ? Orientales de V Hugo VIII Hugo et Musset IX Musset et George Sand X Alfred de Musset XL George Sand XII Balzac XIII id XIV id XV id XVI id XVII id XVm Beyle XIX id XX id XXI Mérimée XXII Beyle et Mérimée XXm Mérimée XXIV id XXV id XXVL Mérimée et Gautier C ?? VI ?? XXVII Gautier XXVm id pages - XXIX Sainte-Beuve XXX id ?? XXXI Sainte-Beuve et la critique moderne XXXII Le drame Vitet Dumas de Vigny Hugo XXXIII Le mouvement politique et social dans la ?? littérature Saint-Simon et sa doctrine XXXIV Les Méconnus et les Oubliés XXXV Conclusion Errata CIntroduction Le volume que voici est je crois la reuiière oeuvre de Georg Brandes que l'on ait entrepris de traduire en français Le nom du grand critique danois n'est certes pas inconnu chez nous M Brunetière l'a plus d'une fois recommandé bien qu'avec des réserves à ses lecteurs M Jean Thorel lui a consacré dans la Eevue des Deux-Mondes une étude beaucoup trop sévère à mon sens mais sérieuse et complète Il a eu avec M Faguet et M Jules Lema? tre des polémiques retentissantes qui des revues ont fait passer son nom dans les quotidiens qui dispensent la grande réputation Non il n'est plus vrai le mot d'une si jolie imipertinence que M Jules Lema? tre dit à M Brandes il y a quelques années et que celui-ci m'a transmis avec une self- ironie un peu amère ? Mais on vous conna? t très-bien à Paris seulement on vous y appelle Marthe Mais ce qui est vrai c'est que jusqu'ici les lecteurs français ne sachant pas l'allemand ne pouvaient conna? tre M Brandes que de seconde main Les voilà en ?n en face non plus d'une analyse ou d'une appréciation critique mais d'une oeuvre Pour mon compte il y a de longues années que j'ai formulé le voeu de voir l'ouvrage principal de M Brandes incorporé dans notre littérature critique et dans un article de Cosmopolis j'avais attiré tout particulièrement l'attention sur l'Ecole m K a n t i

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