Remerciez-le!

Remerciez @Admin pour avoir partagé cet document gratuitement, de la manière la plus simple, en partageant sur les réseaux sociaux.

La misasa Universit? ts- und Landesbibliothek Sachsen-Anhalt Digitale Bibliothek des Sondersammelgebietes Vorderer Orient L ? mis ?sa Goldziher Ignác Alger urn nbn de gbv - C C C W ' i ? u ?urj ?wX c i vr i yC x Extrait de la REVUE AFRICAINE N' Trimestre

Universit? ts- und Landesbibliothek Sachsen-Anhalt Digitale Bibliothek des Sondersammelgebietes Vorderer Orient L ? mis ?sa Goldziher Ignác Alger urn nbn de gbv - C C C W ' i ? u ?urj ?wX c i vr i yC x Extrait de la REVUE AFRICAINE N' Trimestre L? MIS? SA PAR I GOLDZIHER -- ??znn Ei s r ALGER TYPOGRAPHIE ADOLPHE JOURDAN IMPRIMEUR-LIBRAIRE- ED TEUR PLACE DE LA REGENCE C CExtrait de la REVUE AFRICAINE N Trimestre L? MIS? SA PAR I I GOLDZIHER ALGER TYPOGRAPHIE ADOLPHE JOURDAN IMPR MEUR-L BRAIRE-EDITEUR PLACE DB LA REGENCE r C CLA MISASA Le recit de la Bible sur l'adoration du Veau d'Or est utilise ? deux reprises par le Coran S vii v - xx v - et ? la deuxieme avec une ampli ?cation caractcristique dans le premier recit IS vn le peuple d'Israel a de sa propre impulsion fait l'idole et Aaron n'est bl? me quo pour son attitude passive envers l'idol? trie dans le second recit qui doit etre considere du fait m? me de cette addition comme posterieur apparalt le S? mirl avec le r? le d'instigateur conscient du peuple d'Israel dans ce retour ? l'idol? trie v sa punition pour cette faute est qu'il devra crier toute sa vie La mis? sa ? 'nolirne tangerej II n'est pas douteux que le recit du Coran relatif ? l'adoration du Veau d'Or provienne d'une Information juive Sigmund Fran kel suppose m? me que la source de ce recit du Coran est un Midrach juif non conservd en tout cas Mohammed n'a pu en avoir connaissance que par tradition orale Les Juifs dont Mohammed tint ce recit connaissaient le schisme des Samaritains re'pandus sur une aire asscz vaste encore ? cette epoque et dans l'idee qu'ils avaient de ces schismatiques ils faisaient une part au crime d'idol? trie dont ils les accusaient Leur sens historique n'elait pas choquc par l'anachronisme qu'impliquait l'existence du Samaritain schismalique a l'epoque de l'Exode et son r? le d'instigateur de l'apostasie des Israelitcs seul un pareil schismastique pouvait avoir ramenc ? l'idol? trie les compagnons de Moi'se C'est La litterature arabe postArieure consid ?re encore le S? mirl comme le type de l'avarice Ag? ni xvii p eile en fait un person nage errant iacertain sur la direction qu'il doit prendre Naqaia' gartr wa-Farassdaq ed Bevan p l ? joVj A X ? Z D M G Bd lvi p Talmud de Jerusalem 'Abod? ?ür? V Talmud de Babylone Cholin fol Cf S Reinach Cultas mythes et religwn Paris p citont Jos Halevy dans Revue semitiqub p et s C- ?? encore ? cettc epoque ancienne que los informateurs juils faisaient remonter un trait particulier de la loi rituelle samaritaine aussi connu d'eux sürement par des recits oraux ? savoir que le contact avec d'autres hommes etait une souillure pour un Samaritain et qu'il devait crier ? tout l'univers un Noli me tangere Ceci repose sur une verite historique et se rattache ? un groupe de faits