A ma fille Elle était pâle, et pourtant rose, Petite, avec de grands cheveux. E
A ma fille Elle était pâle, et pourtant rose, Petite, avec de grands cheveux. Elle disait souvent : je n’ose, Et ne disait jamais : je veux. Qu’elle fût bien ou mal coiffée, Que mon cœur fût triste ou joyeux, Je l’admirais. C’était ma fée, Et le doux astre de mes yeux !... Victor Hugo, les contemplations. A ma fille Elle était pâle, et pourtant rose, Petite, avec de grands cheveux. Elle disait souvent : je n’ose, Et ne disait jamais : je veux. Qu’elle fût bien ou mal coiffée, Que mon cœur fût triste ou joyeux, Je l’admirais. C’était ma fée, Et le doux astre de mes yeux !... Victor Hugo, les contemplations. A ma fille Elle était pâle, et pourtant rose, Petite, avec de grands cheveux. Elle disait souvent : je n’ose, Et ne disait jamais : je veux. Qu’elle fût bien ou mal coiffée, Que mon cœur fût triste ou joyeux, Je l’admirais. C’était ma fée, Et le doux astre de mes yeux !... Victor Hugo, les contemplations. A ma fille Elle était pâle, et pourtant rose, Petite, avec de grands cheveux. Elle disait souvent : je n’ose, Et ne disait jamais : je veux. Qu’elle fût bien ou mal coiffée, Que mon cœur fût triste ou joyeux, Je l’admirais. C’était ma fée, Et le doux astre de mes yeux !... Victor Hugo, les contemplations. uploads/s1/ copie-transcription-du-script-au-cursif-n02.pdf