1 22 AOUT 2016 CHAPITRE 1er : GESTION DE L’ENVIRONNEMENT INFORMATIQUE I- INTROD

1 22 AOUT 2016 CHAPITRE 1er : GESTION DE L’ENVIRONNEMENT INFORMATIQUE I- INTRODUCTION GENERALE Qu’est-ce que la bureautique ? Par définition, la bureautique est l’ensemble des techniques qui tendent automatiser et informatiser les travaux de bureau. Le mot bureautique est donc la concaténation de « bureau » et « informatique » c’est- à-dire : bureau+ tique. Qu’est-ce que l’informatique ? Le mot informatique a été proposé 1962 par le français Philippe DREYFUS et se définit comme la « science de traitement automatique de l’information ». De cette définition, il ressort deux (2) mots à savoir information et automatique. La concaténation de infor et matique donne informatique. Le mot information désigne les objets (les données) qui sont manipulés pendant les traitements et considérés comme support de connaissances. L’information traitée doit être exacte, récente, véritable … Quant au mot informatique, il fait allusion à l’utilisation de l’ordinateur. Qu’est-ce que l’ordinateur ? Le mot ordinateur se définit comme une machine électrique capable d’enchainer seule une suite finie d’instructions élémentaires préalablement enregistrées en mémoire. Rappelons que ce mot a été inventé en 1955 par le français Jacques PERRET, professeur agrégé de lettres à l’université » la Sorbonne ». Pourquoi a-t-on créé l’ordinateur ? A quoi sert l’ordinateur ? En réalité c’est pour se libérer des taches pénibles et répétitives parfois complexes que l’homme a créé l’ordinateur. Il reçoit des données, les traite et restitue le résultat de son traitement. On peut s’en servir comme une machine à écrire, un agenda, une calculatrice, une table de dessin, un terrain de jeu, etc. II- HISTORIQUE DE L’ORDINATEUR Déjà au moyen âge, les chinois ont inventé le boulier, appareil totalement manuel dont l’utilisation est encore répandue dans les pays d’extrême orient. Cependant, les premiers moyens utilisés pour calculer furent les cailloux (calculi en latin) ainsi que les dix (10) doigts. Plus tard en 1642, la première machine qui sait faire des additions et des soustractions a été créée par le français Blaise PASCAL (1623-1662). En 1833, le britannique Charles BABBAGE (1792-1871) a construit la première mémoire mécanique destinée à conserver non seulement les nombres nécessaires au calcul, mais aussi les instructions pour les effectuer. En 1889, l’américain Hermann HOLLERTH (1860-1929) a inventé l’une des premières machines à traiter l’information. Cette machine avec sa table de tri, a permis le dépouillement des résultats du recensement de la population de Chicago aux ETATS UNIES à cette époque-là. Les informations à traiter étaient alors conservées sur un support appelé « carte perforée ». 2 Jusqu’à la deuxième guerre mondiale, les ordinateurs sont demeurés mécaniques et leurs développements sont restés liés à ceux des sciences et techniques. C’est en 1946 que le premier ordinateur électronique a été créé grâce aux travaux de recherches du mathématicien américain d’origine hongroise John VON NEUMANN (1903-1957) En 1951, après de nombreux essais, le premier ordinateur commercial a vu le jour. C’est également à cette époque-là que la société IBM (Industrial Business Machines) s’est lancée dans la construction des ordinateurs. A partir de 1976, les premiers ordinateurs individuels commerciaux ont été disponibles. Depuis lors, il y a eu des développements considérables. III- LES PRINCIPALES COMPOSANTES D’UN ORPINATEUR L’ordinateur est constitué de deux principales parties à savoir : le matériel (Hardware) et le logiciel (Software). III .1- LE MATERIEL OU HARDWARE C’est la partie physique et palpable d’un ordinateur. Elle comprend : - l’Ecran, - la souris - l’unité centrale - le clavier ainsi que - des périphériques III .1.1- L’ECRAN L’écran c’est un dispositif qui affiche les données traitées par l’utilisateur. Il peut ainsi identifier les erreurs et les corriger. L’écran dispose les câbles d’alimentation en électricité et d’échanges de données avec l’unité centrale. Il dispose également de bouton (mise en marche et arrêt, divers réglages, etc.). On distingue l’écran cathodique et l’écran plat. Le premier présente beaucoup d’inconvénients : consommation en électricité, risque d’électrocution, ondes électromagnétiques, nuisible à la santé de l’utilisateur, facteur d’encombrement, etc. III.1.2- LA SOURIS La souris est un instrument qui permet de sélectionner et d’ouvrir une fenêtre. Elle permet surtout d’accéder rapidement à un objet sur un écran d’ordinateur. Généralement, elle est constituée de deux (2) boutons et une roulette : le bouton gauche permet de sélectionner et celui de droite pour ouvrir une liste de choix (menu contextuel). La roulette par contre, permet de faire défiler les pages à la verticale. Voici quelques actions que l’on peut faire avec la souris : - Pointer : C’est placer le pointeur (représenté par une flèche) de la souris sur un objet. - Cliquer : C’est appuyer sur l’un des boutons de la souris. - Double-cliquer : C’est appuyer deux fois successivement (rapidement) sur le bouton gauche de la souris. 3 Echap - Faire glisser : C’est pointer un objet à l’écran, cliquer bouton gauche puis maintenir enfoncé et faire déplacer le pointeur à un autre endroit de l’écran. - Démarrer un programme avec la souris : C’est placer le pointeur sur l’icône qui représente le programme, puis double-cliquer bouton gauche sans déplacer la souris. On peut aussi cliquer droit avant de cliquer gauche sur l’icône « ouvrir » dans la liste qui s’est affichée. - Fermer un programme ou une fenêtre avec la souris : C’est cliquer bouton gauche sur le bouton « fermer » représenté par une croix dans l’angle supérieur droit de la fenêtre. III.1.3- L’UNITE CENTRALE C’est l’élément essentiel de l’ordinateur. C’est en elle que s’exécute les différents traitements à partir d’instructions préalablement stockées dans la mémoire de l’ordinateur. Elle comporte : - Le processeur : C’est l’unité d’exécution ; il effectue des opérations arithmétiques et logiques. - La mémoire centrale : C’est l’unité de stockage principale ; c’est en elle qu’on sauvegarde les informations. Elle comprend la mémoire vive (RAM : Radom Access Memory) et la mémoire morte (ROM : Read Onlay Memory). La différence entre ces deux (2) types de mémoire interne est que la mémoire vive perd tout son contenu lorsque l’ordinateur est éteint contrairement à la mémoire morte. L’unité centrale dispose d’un bouton de mise en marches et d’arrêt. Elle dispose également de plusieurs ports de branchement des périphériques (clé USB, divers câbles, etc.), de lecteur DVD, de baffles incorporées ou externes, pour ne citer que ces exemples-là. III.1.4- LE CLAVIER Le clavier d’ordinateur est une interface homme-machine, un périphérique d’entrée composé de touches qui envoient des instructions à l’ordinateur une fois actionnées. En général, un clavier comporte une centaine de touches. Il existe de nombreuses dispositions de touches : AZERTY, QWERTY, QWERTZ, DVORAK, BEPO, etc. ; ainsi, l’AZERTY français n’est pas le même que l’AZERTY belge, et le QWERTZ allemand n’est pas le même que le QWERTZ suisse, etc. Dans tous les cas, en plus des voyants lumineux, on regroupe les touches par bloc à savoir : - Bloc des touches de contrôle - Bloc des touches de fonction (de F1 à F12) - Bloc des touches alphanumériques - Bloc des touches de navigation - Bloc des touches numériques ou pavé numérique ETUDE DU CLAVIER La touche echap permet l’annulation d’une commande en cours d’exécution. La touche tabulation permet le déplacement du curseur pour le placé à une position bien défini. La touche caps-lock permet de verrouiller les lettres en majuscule. Les touches shift permettent d’obtenir un caractère en majuscule. 4 La touche entrée permet de valider une commande et de descendre à la ligne suivante. La touche barre d’espacement permet d’espacer les caractères. Les touches de ligne : La première permet de ramener le curseur au début de la ligne, et la Deuxième à la fin de la ligne. Les touches de page : La première, c’est la page précédente, Et la Deuxième, c’est la page suivante. La touche imp, écr, syst, permet d’imprimer le contenu de l’écran. Les touches de combinaison : sont les touches qu’on combine pour avoir le troisième caractère du clavier UTILISER CES DIX DOIGTS, MAIS COMMENT ? En effet, le but de la dactylographie est d’utiliser au minimum les dix doigts pour la saisie, beaucoup de personne utilise les deux doigts, c’est-à-dire les deux index. Donc il existe une position dite de « repos » qui est celle que nous devons respecter avant et après chaque frappe : - Les deux pouces sur la barre d’espacement. - Les deux doigts sont sur la rongé d’appui : de Q à M. - L’auriculaire gauche sur la touche Q, et l’auriculaire droite sur la touche M. - L’annulaire gauche sur la touche S, et l’annulaire droite sur la touche L. - Le majeur gauche sur la touche D, et les majeures droites sur la touche K. - L’index gauche sur la touche F, et l’index droite sur la touche J. Afin de facilité le repère de cette position sans regarder le clavier. Les touches F et J pour les deux index sont munies d’un petit relief. Il faut prendre soin de lever les poignets (pour plus d’instance) de ne pas regarder ces doigts mais de se concentrer uniquement sur l’écran. NB : épeler maintenant les mots à saisir et déterminer uploads/s1/ cours-de-word.pdf

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  • Publié le Fev 18, 2022
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