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m i .j>^?VJv.f<gHWS STORAGE-ITEB MAIN LIBRARY \ , . j ^JtC 'r. i h LPA-BUSB U.B.C. LIBRAPV c*- Digitized by the Internet Archive in 2010 with funding from University of British Columbia Library http://www.archive.org/details/coursdpigraphiOOcagn COURS D'ÉPIGRAPHIE LATINE DU MEME AUTEUR Études historiques sur les impôts indirects chez les Romains jusqu'aux invasions des Rarbares, d'après les documents littéraires et épigraphiques, 1882, 1 beau volume grand in-8, avec cinq cartes coloriées (Thorin, éditeur) 10 » Ouvrage couronné par l'Institut de France (Académie des inscriptions et belles-lettres). De municipalibus et provincialibus militiis in imperio romano. 1880, in-8 (Thorin, éditeur) 3 50 Explorations épigraphiques et archéologiques en Tunisie. 1883 à 1886, 3 fascicules grand in-8, avec nombreuses planches en hélio- gravure et cartes (Thorin, éditeur). Prix de chaque fascicule sépa- rément 7 50 Nouvelles explorations archéologiques en Tunisie. 1887, in-8, avec deux cartes. Epigraphie gallo-romaine de la Moselle, en collaboration avec feu P. Charles Robert, membre de l'Institut. Paris, 1888, in-4, avec planches. L'Année épigraphique, 1888 et années suivantes jusqu'à 1897 (neuf fascicules), in-8. (A continuer.) Corpus inscriptionu.m latinarum (t. VIII, supplément). Rerlin, 1891- 1898, in-4 ; en collaboration avec MM. Joh. Schmidt et Dessau. L'Armée romaine d'Afrique et l'occupation militaire de l'Afrique sous LES EMPEREURS. Paris, 1892, in-4, avec planches. Musée de Lambèse. Paris, 1895, in-4. CIIALON-SUR-SAÔNIi, IMP. KKANÇALSE liï ORIENTALE DE L. MARCEAU COURS D'ÉPIGRAPIIIE OU --C'II^ RENE GAGNAT MEMBRE DE l'iNSTITUT PROFESSEUR D'ÉPIGRAPHIE ET ANTIQUITÉS ROMAINES AU C0LLÈGI3 DE FRANCE TROISIÈME ÉDITION Revue et augmentée PARIS ANCIE]S^'E LIBRAIRIE THORIN ET FILS ALBERT FONTEMOING, EDITEUR Libraire des Ecoles françaises d'Athènes et de Rome, du Collège de France , de l'Ecole Normale Supérieure et de la Société des Etudes historiques 4. RUE LE GOFF. 4 Droits Je traduction et de reproductimi réservés 1898 M. G. BOISSIER Hommage d'affection et de reconnaissance. k Je n'ai que quelques lignes à écrire en tête de cette troisième édition de mon Cours d'épigraphie latine. Le livre, sans avoir subi de remaniements importants, ni dans son plan général^ ni dans ses différentes parties, est loin d'être une simple réimpression. J'ai tenu à y corriger les imperfections que la critique avait bien voulu me signaler, à faire la plupart des additions qu'elle souhaitait, à mettre le texte au courant des découvertes récentes et à ajouter un certain nombre défigures instructives ; ce n'est pas une œuvre nouvelle que j'ofire au public, mais une œuvre sérieusement renouvelée. Paris, juillet uSoS. INTRODUCTION DE LA DEUXIÈME ÉDITION Le travail dont je livre au public la deuxième édition a pris un développement que je ne comptais pas tout d'abord lui donner. Quand j'ai inséré ce cours d'épi- graphie, par article, dans le Bulletin épigraphique, en 1884- 1885, ce ne devait être, dans ma pensée qu'une suite de chapitres, tout à fait élémentaires, destinés à familiariser les étudiants de nos Facultés ou les amis de l'antiquité romaine avec les premiers principes de l'épigraphie latine. Lorsque j'ai réuni ensuite en un livre ces différents articles, j'ai tenu à leur conserver ce caractère; j'y ai, à cet effet, laissé de côté tout ce qui a rapport à la paléographie des inscriptions, et réduit les notes autant que possible. Mais les savants qui ont bien voulu s'occuper de mon travail dans les revues bibliographiques, et bien d'autres encore dont X INTRODUCTION j'ai recueilli oralement le témoignage, n'ont point approuvé entièrement ma conception ; tous ou presque tous ont trouvé que le travail n'était point assez déve- loppé. Je n'avais ni le droit, ni le désir de me sous- traire, dans une seconde édition, aux obligations que m'imposait la critique bienveillante dont j'ai été l'objet, et je me suis empressé de déférer aux souhaits qui m'ont été exprimés. Le lecteur verra lui-même, pour peu qu'il veuille bien comparer ce Cours d'épigraphie avec le Cours élémentaire qui l'a précédé, tout ce que j'ai ajouté d'exemples, de références, de renseignements ; je de- mande seulement la permission d'appeler l'attention sur deux innovations que j'ai cru devoir introduire dans ce livre. Au début, après une bibliographie où l'on trouvera la liste des ouvrages épigraphiques les plus importants, j'ai inséré une partie nouvelle, où j'ai traité de la paléographie des inscriptions, et rassemblé les principes indispensables à connaître pour ceux qui pourront ou voudront se reporter aux originaux, ou même qui auront l'occasion de découvrir des monuments inédits. A la fin, et pour tenir une promesse faite dans ma première édition, j'ai dressé une liste des abréviations et sigles épigraphiques. Mais il m'a paru qu'une liste de cette sorte, où les abréviations sont présentées seulement dans l'ordre alph.'ibctique. était incomplète INTRODUCTION x, et pourrait même, en quelque sorte, être dangereuse puisque, au cas où la même sigle est susceptible de plusieurs explications, rien ne guide le lecteur dans le choix de celle qu'il convient d'adopter en telle ou telle circonstance. J'ai donc cru devoir compléter et éclairer cette liste alphabétique par des listes métho- diques que j'ai réparties entre chacun des chapitres de mon travail : dans la liste qui termine le livre, on rencontrera toutes les explications dont une abréviation est susceptible ; on se rendra compte de la valeur véritable de chacune d'elles et de la place où on la rencontre dans les inscriptions, en se reportant aux différentes listes disséminées dans le cours du volume. Le plan général n'a point été modifié ; on y retrou- vera sous le titre de deuxième et troisième parties, les deux parties qui formaient la division de la première édition. J'ai maintenu à la suite de ces deux parties, les deux paragraphes qui traitent de la restitution des texte mutilés et de la critique des inscriptions. L'ap- pendice relatif aux noms et titres des empereurs a été reporté à la fin de la deuxième partie ; j'y ai ajouté quelques renseignements nouveaux sur les empereurs, et notamment les dates connues de leurs différentes salutations impériales, malgré la difficulté, je dirai presque l'impossibilité, qu'il y a à arriver à des résul- tats précis sur ce point. XII INTRODUCTION Il me reste à payer une dette de reconnaissance envers MM. J. Letaille et H. Dubois. Le premier a transcrit sur fiches, à mon intention, les tables abré- viatives jointes à chaque volume du Corpus et m'a, par suite, considérablement aidé dans la constitution de ma table des sigles et abréviations. Le second a bien voulu mettre son talent à ma disposition et des- siner, au musée du Vatican, une plaque de marbre dont l'image figure en tête de mon livre. C'est une enseigne de marbrier romain bien connue. On me permettra, en terminant, de m'approprier cette ré- clame, de la modifier quelque peu et de dire au lecteur de ce livre : Titidos legendos vel si quid artis iiostrae opiis fuerit, hic habes. Paris, juillet 1880. EXTRAITS DE L1NTRODUCTION DE LA PREMIERE EDITION On nomme épigraphie, d'îriYpx'i^r; (inscription, épigraphe, en latin, fituliis), la science des inscriptions ; et, puisque, dans ce petit livre, il ne sera question que des inscriptions romaines, nous rappellerons que Vépigraphie latine est la science des inscriptions romaines. Par science, nous enten- dons non seulement le savoir pratique nécessaire pour dé- chiffrer les monuments, mais aussi celui, plus important encore et plus difficile à acquérir, qui est indispensable pour interpréter les documents qu'on a lus et en tirer les ren- seignements qu'ils contiennent. Ce sont les éléments de cette science que nous nous proposons d'exposer ici. Tout d'abord, il faut bien se persuader que l'épigraphie. n'est pas une science à part, se suffisant à elle-même et sans point de contact avec le faisceau des connaissances qui XIV INTRODUCTION forment le fond de nos études. Ce n'est, à vrai dire, que l'un des éléments, mais c'est un élément essentiel de la phi- lologie, l'une des sources auxquelles doit puiser quiconque veut connaître la religion, les lois, l'histoire politique, la vie privée et le langage des anciens. Reconnaître ce fait n'est pas diminuer la valeur de l'épigraphie ; c'est, au contraire, lui donner l'importance qu'elle mérite en montrant la part légi- time qui lui revient dans la recherche et la découverte de la vérité. D'autres, plus autorisés, ont insisté avant nous sur cette vérité ; ils ont montré les rapports qui unissent l'épigraphie aux diftérentes branches de notre enseignement classique, à l'histoire, à la géographie, à la linguistique, à la grammaire, au droit'. Nous-même avons essayé, par deux fois, de re- venir sur cette question et avons apporté, à l'appui de nos assertions, des exemples que nous avons choisis parmi les plus concluants \ Nous ne répéterons donc pas ici ce que nous avons déjà eu l'occasion de dire ailleurs ; mais nous in- sisterons sur l'obligation qui s'impose aujourd'hui à tous ceux qui, dans le domaine de l'histoire ou des lettres romaines, ne veulent pas vivre de pensées à demi comprises, de faits à demi connus ou de phrases empruntées à des livres, de se 1. Ph. Le Bas, Dissertation sur lutilité de répigrafhie pour V intelli- gence des auteurs anciens, Paris, 1829 ; L. Renier, article Inscriptions, dans VEncyclopédie jnodertte ; uploads/s1/ coursdpigraphi00cagn-bw.pdf
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- Publié le Oct 19, 2022
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