Étude sur l’exercice des métiers de guide-interprète et conférencier Ministère
Étude sur l’exercice des métiers de guide-interprète et conférencier Ministère de l’économie, de l’industrie et de l’emploi Direction générale de la compétitivité, de l’industrie et des services Sous-direction du tourisme Rapport d’étude Richard Lewy Consultant 51 avenue Monclar 84000 AVIGNON Tél. : 04 32 76 29 74 Fax : 04 32 76 33 80 rlconsultant@rlconsultant.fr 2 Richard Lewy Consultant – Direction générale de la compétitivité, de l’industrie et des services/MEIE – Rapport final « Étude sur l’exercice des métiers de guide-interprète et conférencier » (2008/2009) 3 Richard Lewy Consultant – Direction générale de la compétitivité, de l’industrie et des services/MEIE – Rapport final « Étude sur l’exercice des métiers de guide-interprète et conférencier » (2008/2009) Sommaire du rapport Le contexte de l’étude 6 A. La demande du ministère en charge du Tourisme 7 Aa. Réaliser un état des lieux des métiers de guides-interprètes et conférenciers 7 Ab. Diagnostiquer l’existant, la réalité de ces professions en les confrontant aux attentes des professionnels 7 Ac. Formuler des propositions d’évolution en termes de formation, de recrutement et d’emploi 8 B. Note méthodologique 8 Ba. Le recueil des données auprès des guides 8 Bb. Le recueil des données auprès des employeurs 10 Bc. Le recueil des données auprès des institutions 10 C. Le glossaire des principaux sigles et abréviations 11 Introduction : L’exercice des métiers de guide-interprète et conférencier 12 A. Des métiers réglementés 13 B. La terminologie unique fait défaut 15 C. Les répertoires des métiers 17 Partie 1 : Les guides-interprètes et conférenciers 19 1.1. Près de 10 000 cartes recensées pour un tiers d’actifs 20 1.1.1. Une forte croissance des enregistrements de cartes en 2007 20 1.1.2. En moyenne : 1,5 carte détenue par répondant 21 1.1.3. Un délai relativement court entre la date de délivrance de la carte et le début d’exercice 22 1.1.4. 84% des répondants exercent principalement leur activité dans la région d’implantation de la préfecture de département ayant délivré la carte la plus récente 23 1.2. Plus de 4 employeurs en moyenne par GIC 24 1.2.1. Le temps de travail des GIC est, en moyenne, partagé entre 4,08 employeurs 24 1.2.2. Les GIC sont plutôt recentrés sur des secteurs spécifiques d’activité 25 1.3 .Les guides en quête de statut 26 1.3.1. Les guides qualifient majoritairement leur activité comme précaire et peu reconnue 26 1.3.2. Des contrats de travail précaires et souvent ponctuels 28 1.3.3. Une absence de statut, conséquence d’une hétérogénéité des situations d’embauche 28 1.3.4. Pour moins d’un demi équivalent temps plein à l’année 29 1.4. Les guides et la formation 30 1.4.1. Des cursus très variés pour une même activité 30 1.4.2. Une attente : des formations initiales encore plus proches des réalités du terrain 33 1.4.3. Des besoins en formation affirmés 35 1.4.4. Ils sont 60% à considérer qu’il leur manque la pratique de certaines langues 37 1.4.5. Les formations complémentaires 37 1.5. Quatre titres, est-ce pertinent ? Est-ce nécessaire ? 39 1.5.1. À quelques nuances près, le même métier et le même salaire 39 4 Richard Lewy Consultant – Direction générale de la compétitivité, de l’industrie et des services/MEIE – Rapport final « Étude sur l’exercice des métiers de guide-interprète et conférencier » (2008/2009) 1.5.2. La pertinence de passerelles entre les quatre titres 40 1.5.3. La compétence régionale, un critère pertinent ? 42 1.5.4. La VAE peut-elle être un moyen pertinent d’accéder à la profession ? 42 1.6. Les critères de recrutement révèlent une grande proximité entre guides et employeurs 44 1.7. La réglementation plutôt bien vécue par les GIC si elle « clarifie le droit de parole » 46 1.7.1. La réglementation, une réponse au besoin de protéger le métier 46 1.7.2. La réglementation n’est gage de qualité qu’à un moindre degré 46 1.8. L’externalisation des services de guidage vécue comme une augmentation de la précarité 48 1.9. Les outils issus des TIC, entre complément et concurrence 49 1.9.1. Les GIC, très majoritairement contre les audio-guides 49 1.9.2. Audiophone, une méconnaissance des apports de l’outil 50 1.9.3. Internet et l’informatique, une aide forte à la recherche et à la présentation 51 1.10. Quelques visions prospectives 52 1.11. Les GIC, portrait express 54 1.12. Regards critiques des GIC 55 1.12.1. Forces et marges de progression de l’activité de guidage telles que les GIC les expriment 55 1.12.2. Opportunités et risques tels qu’ils les ressentent 55 Partie 2 : Mieux connaître les employeurs des GIC 56 2.1. Quinze grands types d’employeurs ont répondu à l’enquête 57 2.1.1. Deux tiers des répondants disent organiser des visites pour lesquelles ils sollicitent les services de conférenciers ou de guides-interprètes 57 2.1.2. 45% des répondants disent faire appel à des guides non titulaires d’une carte 58 2.2. De bonnes raisons de faire appel, en priorité, à des guides titulaires d’une carte 60 2.2.1. D’abord le professionnalisme de la prestation rendue 60 2.2.2. Par obligation réglementaire ensuite 60 2.2.3. Pour la compétence technique, enfin 61 2.3. L’hétérogénéité des employeurs reflète les diverses situations d’embauche des guides 62 2.4. Des relations complexes avec les GIC 65 2.4.1. Les GIC devraient représenter l’organisme 65 2.4.2. Les critères de recrutements grande proximité entre guides et employeurs 66 2.4.3. Les besoins en langues étrangères 67 2.4.4. Zoom sur les employeurs importants 69 2.5. La politique sociale, la concertation et la formation : des contradictions 70 2.5.1. Des contradictions qui tiennent aux statuts hétérogènes des employeurs 70 2.5.2. Un contexte peu favorable à l’incitation des guides à la formation 71 2.5.3. La VAE, un moyen pertinent d’accès à la profession 71 2.6. La pertinence des titres et la réglementation 73 2.6.1. Quatre titres, « c’est trop ! » 73 2.6.2. La réglementation apparaît comme favorable à la qualité du service 75 2.7. Externalisation des services et NTIC, une forme de concurrence 76 2.7.1. L’externalisation, « un risque pour la qualité ! » 76 2.7.2. Les outils issus des NTIC, des réactions qui laissent perplexe 77 2.8. Entre secteur public et secteur privé, chacun a ses propres règles 80 2.9. Remarques et commentaires 81 2.10. Regard critique des employeurs sur les métiers de guidage 84 5 Richard Lewy Consultant – Direction générale de la compétitivité, de l’industrie et des services/MEIE – Rapport final « Étude sur l’exercice des métiers de guide-interprète et conférencier » (2008/2009) 2.10.1. Forces et marges de progression de l’activité de guidage telles que les employeurs les expriment 84 2.10.2. Opportunités et risques tels qu’ils les ressentent 84 Partie 3 : Le diagnostic 85 3.1. Les principaux atouts et les marges de progression de la profession et son exercice 86 3.1.1. Les principaux atouts de la profession et de son exercice 86 3.1.2. Les principales marges de progression de la profession et de son exercice 87 3.1.3. Les marges de progression pour les GIC 89 3.1.4. Les marges de progression des employeurs 89 3.2. Les principales opportunités pour la profession et son exercice 90 3.3. Les principaux risques qui pèsent sur la profession et son exercice 91 Partie 4 : Créer les conditions d’exercice et de développement d’un vrai métier 92 4.1. D’abord, qu’est ce que la visite guidée ? À quoi sert le guide ? 93 4.1.1. Donner du sens à l’activité avant de s’occuper du statut des personnes 93 4.1.2. Arrêter un statut juridique pertinent et mobiliser le dialogue social 93 4.1.3. Limiter la précarité de l’emploi en régulant le processus de délivrance de cartes professionnelles 94 4.2. Enjeux et défis à relever 95 4.2.1. Mettre un terme à une situation juridiquement peu sécurisante 95 4.2.2. Œuvrer pour faire de l’activité, un métier lisible et reconnu 95 4.2.3. Engager l’harmonisation des titres 95 4.2.4. Fédérer les guides pour faire sortir la profession de la marginalité 96 4.3. Actions prioritaires, feuille de route pour un groupe de travail 97 4.3.1. La mise en place d’un groupe de travail Tourisme /Culture 97 4.3.2. La suppression progressive du statut de GIR ? 98 4.3.3. La refonte de la formation des GIN 98 4.3.4. La clarification de l’état du droit 99 4.3.5. Bâtir un mémento à l’usage des guides et de leurs employeurs touristiques 99 Remerciements 100 6 Richard Lewy Consultant – Direction générale de la compétitivité, de l’industrie et des services/MEIE – Rapport final « Étude sur l’exercice des métiers de guide-interprète et conférencier » (2008/2009) Le contexte de l’étude 7 Richard Lewy Consultant – Direction générale de la compétitivité, de l’industrie et des services/MEIE – Rapport final « Étude sur l’exercice des métiers de guide-interprète et conférencier » (2008/2009) A. La demande du ministère en charge du Tourisme L’objectif de l’étude est de connaître avec précision la composition de cette population de professionnels, les modalités d’exercice de l’activité de guidage et les attentes, tant des guides interprètes et conférenciers (GIC) que des organismes qui les emploient ou ont recours à leurs services. Et, à travers leurs visions du marché de la visite guidée, ce que pensent ou attendent les touristes, bénéficiaires de la prestation. La demande s’exprime en trois volets : - réaliser un état des lieux sur les métiers de GIC uploads/s1/ etude-guide-interprete 1 .pdf
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- Publié le Fev 26, 2022
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