MANIAC 3 Si la femme n’est pas toujours l’amie la plus fidèle de l’homme, elle

MANIAC 3 Si la femme n’est pas toujours l’amie la plus fidèle de l’homme, elle est de loin la créature la mieux balancée de la planète. MANIAC 9 Les chiens aussi sont des gens comme les autres. MANIAC 7 La Poupée est aussi docile qu’on puisse l’imaginer, mais peut-on vivre le parfait amour avec un être qui n’a de chair que son prix ? MANIAC 6 Sexe et nourriture ! Les deux plaisirs font bon ménage pour les gourmands du corps et de la bonne chair. MANIAC 8 De la romance, du sexe, de la luxure ! Maniac, une idée fixe qui se conjugue à l’infini. MANIAC 4 Ces personnages au pouvoir quasi divin : les dominatrices. MANIAC 5 Le délire des machines amoureuses. Avis aux bricoleurs ! 10 € le numéro R e v u e d ’ a m o u r c r i t i q u e MANIAC L'ABONNEMENT Fer de lance de la galerie Les Larmes d'Éros, cet abonnement permet de recevoir quatre numéros de notre célèbre revue, de faire partie de la Société des Maniacs, donc de bénéficier de toutes les informations de notre galerie dont les superbes cartons d'invitation aux vernissages. 30 € seulement pour quatre numéros ! I l s'agit de l'important ouvrage que nous avons réalisé dans le cadre du Mois de la Photo 1994. Il contient environ deux-cent-cinquante photos inédites de l'époque des années trente revélant l'histoire de ce talentueux photographe méconnu, où modèle et artiste se confondent. Indispensable pour tous les amateurs de fétichisme, lingeries, corsets, bottines et autres jolies choses… English translation inside Un des 2000 ex. de 128 pages (21 x 26), reliés tissu avec jaquette, impression en bichromie - 49 € L’âge d’or du fétichisme C urieux projet de concevoir un livre sur une maison d’édi- tion qui n’existe pas, dont on ne trouve aucune trace adminis- trative ou publicitaire, et sur son photographe n’ayant publié guère plus d’une dizaine d’images signées. Malgré tout, un millier de clichés a pu être sélectionné pour cet ouvrage par mi la collection impressionnante qui a été rassemblée, témoignage démesuré d’une œuvre fétichiste apparue à une période où le plaisir touchait à son paroxysme. Car, suite aux horreurs de la Grande Guerre, aucune autorité ne put contraindre les survivants à des carcans d’ordre moral. Les années dites « folles » furent avant tout une joyeuse extase euphorique dont l’érotisme était au premier plan dans toute sa diversité. Pour illustrer cette particularité, à l’abri d’un atelier discret, un photographe – confrère de Brassaï et Germaine Krull –, quelques danseuses de music-hall ou prostituées des grands lupanars parisiens réalisaient des images, reflets des fantas- mes et fantaisies de leurs contemporains. Après trente ans de recherche, douze ans après la publication d’Yva Richard, Alexandre Dupouy nous dévoile ce deuxième volet de L’Âge d’or du féti- chisme, désireux de partager sa passion pour ces protagonistes quasi anonymes à l’origine de ce délicieux délire glacé, permettant ainsi de nous éclairer sur cette éphémère bacchanale, trêve libertine entre deux tourmentes. English translation inside Un des 2000 ex. reliés de 280 pages (19 x 27), impression en quadrichromie - 49 € alexandre dupouy COLLECTION PRIVÉE DE MONSIEUR X R éédition augmentée de notre « best-seller » publié il y a une dizaine d’années, révélant la vie et l'œuvre du mythique Monsieur X, bien connu des amateurs de photographies licencieuses anciennes. Les travaux présentés dans cet ouvrage sont aussi osés que modernes. Certaines images très crues, réalisées dans l’intimité des maisons closes, témoignent de l’obsession tenace de leur auteur, nous évoquant Gustave Courbet et son Origine du Monde. English translation inside Un des 6000 ex. brochés de 96 pages (15 x 21) - 22 € A u lendemain de la Grande Guerre, les carcans qui maintiennent les mœurs sous le joug du puritanisme explosent. L’image pornographi- que quitte sa marginalité, révélant qu’elle est la seule image véritable, car elle seule montre ce qu’il faut voir sans tricherie. Mieux que tout autre photographe, un anonyme immortalise cette époque qui révolutionne l’imagerie érotique. Ses modèles, souvent en groupe, dévoilent avec violence leurs différences aux regards des hommes. Ou est-ce lui le coupable qui, abusant de la situation, profite d’elles pour fixer sur ses plaques ses fantasmes les plus obscènes ? Il n’a pas daigné nous l’ex- pliquer, ni même signer son œuvre. Qu’importe. Il nous reste ses images… English translation inside Un des 3000 ex. brochés de 96 pages (15 x 21) - 22 € IMAGES INTIMES & SECRÈT L’ALBUM OBSCÈNE D’UN PHOTOGRAPHE ANONYME P our clore notre trilogie de la photographie prostitutionnelle des années trente, voici une sélection de « délices joufflus », dénomination choisie avec légèreté et gourmandise au vu de cet exceptionnel engouement pour une callipygie violemment et admirablement exprimée par ce troisième photographe anonyme. Au travers de son objectif inquisiteur, toute l’œuvre de cet inconnu semble conter les désirs, les pulsions des modèles vers ces chairs rondes et opulentes, généreusement offertes et prêtes à être dévorées. Deux sujets obsèdent notre artiste : la callipygie et le lesbianisme. Décliné à l’infini, cet ensemble unique de plus de deux cents images forme une véritable encyclopédie, un catalogue raisonné des postures probables entre deux corps de femmes soumis à la volupté. Un des 2000 ex. brochés de 96 pages (15 x 21) - 22 € DÉLICES JOUFFLUS TES DES MAISONS CLOSES LE PREMIER PORNOGRAPHE Photographies clandestines de la fin du XIXe siècle A P A R A Î T R E P R O C H A I N E M E N T C es images ont été réalisées par le même photographe, artiste industriel bien protégé par son anonymat, exerçant entre 1880 et 1890. A l’origine de la pornographie, les corps ne sont pas modelés, retouchés et la sensualité ne réside pas dans le trucage des formes, mais dans la qualité de la composition de l’image. Les modèles sont tels qu’ils sont, interprètes du plaisir et surtout du bonheur de vivre, leitmotiv de la sexualité. Ici, clandestinité oblige, pas de biographie possible. Nous trouvons trace, pour cette période, de quelques lignes en faits divers d’arrestations de libraires, de photographes dont les noms ne sont pas toujours cités, mais rien à l’échelle de cet artisan, cet artiste de l’ombre ayant réalisé plusieurs milliers de tirages. La sélection que nous présentons donne un aperçu de ce que pourrait être une imagerie pornographique de talent, ce qu’elle devrait être si elle pouvait sortir du ghetto imposé par le mercantilisme et l’obscurantisme. Un des 2000 ex. brochés de 96 pages (15 x 21) - 22 € Pierre Louÿs Le Cul de la femme Lesbos clandestin Henri Monnier L’Œuvre secrète Amateurs 1940 D ans les années trente, la démocratisation du matériel et du développement autorise chaque foyer à posséder un appa- reil photographique. L’ambiance libertine aidant, certains hommes quelque peu voyeurs et certaines femmes quelque peu exhibitionnistes, ont vite compris le plaisir qu’ils pouvaient tirer de ce nouveau procédé. Les couples jouent, se provoquent, s’excitent, un tant soit peu conscients tout de même que l’intimité qui se grave dans la gélatine sera lue par d’autres protagonistes. Plusieurs décennies après, ces images pléthoriques au charme désuet et émouvant sont devenues particulièrement rares, victimes de l’obscurantisme des géné- rations suivantes. Car, à chaque succession, la découverte de clichés des chers disparus dans des situations inavouables a entraîné des autodafés familiaux au nom du respect, de la pudeur et de la mémoire. La centaine d’images proposée ici, message nostalgique d’une époque révolue, a été choisie pour l’humour et la tendresse qu’elle dégage, petit rien sensible, pied de nez libertin à l’ordre moral conventionnel. Un des 2000 ex. brochés de 96 pages (15 x 21) - 22 € AMATEURS 1930 N os historiens ont fait plus d’une allusion au document singulier que nous publions aujourd'hui. Berrier d'abord et ensuite Sartine avaient, disent- ils, imaginé de combattre chaque matin l'ennui du roi par le récit des anecdotes de la veille. C'est une entreprise que leur charge de lieutenant de police rendait possible à eux seuls. Le plus souvent galantes, ces historiettes constituaient un tableau vivant de ce Paris du XVIIIe siècle où venait déjà s’égayer toute l'Europe aristocratique. Louis XV avait pris goût à un passe-temps qui lui permettait de savourer, sans quitter sa couche, les jouissances nomades du calife Haroun, et les intéressants rapports avaient si bien exercé sa mémoire, que ses familiers ne pouvaient plus paraître au petit lever sans éprouver la surprise, parfois peu agréable, d'entendre conter leurs secrètes équipées. Lorédan Larchey, Journal des inspecteurs de M. de Sartine, Dentu, 1863 Un des 950 ex., relié, cartonné, imprimé en couleur, 56 pages (20 x 26) - 27 € Un des 50 ex. en tirage de tête, numéroté, accompagné d’un dessin original - 90 € Pierre LOUŸS - Théâtre inédit LE SENTIMENT DE LA FAMILLE S uite à notre découverte de ce manuscrit érotique inédit de Pierre Louÿs, nous avons conçu cet ouvrage dans l'esprit des éditions clandestines des années trente. Erich Von Götha, uploads/s3/ catalogue-astarte.pdf

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