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Almonor Stanley A . ·. L .·. G .·. D .·. G .·. A .·. D .·. L .·. U .·. Plan de formation pour les apprenties CAHIER D’APPRENTIE Preparé par :Véné :. Almonor Stanley Jerry et tirez aussi des livres Almonor Stanley Plan de formation pour les apprentis 1 - Origine de la Franc-Maçonnerie. Opérative Dieu et sa création (Adam et Eve, Cherubin garde du Temple) • Les Corporatives de métiers : Maçonnerie – Menuiserie – Tapisserie – Parfumerie. Les Seigneurs – Les Prélats et Hommes de lettres 1- Origine de la Franc-Maçonnerie : De la Maçonnerie opérative a celle dite Spéculative (24 Juin 1717 – Grande Loge d’Angleterre. Spéculative 24 JUIN 1717 : LES 4 LOGES D’YORK : L’Oie et le Gril THE GOOSE AND THE GRIL – Le Pommier T HE APPLE TREE– La Grappe de Raisins et le Gobelet THE GRAPPE JUICE and THE RUMMER – La C ouronne THE CROWN. Anthony SAYER, 1e Grand Maître. Les outils changent de pratique (MORALE ET PHILOSOPHIQUE) Responsable D’apprentie : c’est la belle Suzerenne 2 - Année maçonnique Anus Lucis ou Année Lumière. Année maçonnique (Ano Lucis) 4000+ année en cours - 21 mars ; printemps ; Nouveau temps, r éveil. Nouveau départ.Ere Vulgaire (E.V) ou année en cours Est-ce que les Femmes ont le droits d’Initier Oui , parce qu’elle avait une femme qui s’appelle Eve :1ere initiée , les femmes sont nées mysti ques sauf si elles sont en menstrubations, qu’elles soient vigilance pour que leurs sang ne tomb ent pas sur le sol, si c’est le cas on droit stopper tous pour nettoyer et purifier jette de l’eau bé nite encenser et recommence le rituel. 3 - FEMME et Franc-Maçonnerie Almonor Stanley Eve – Les Grandes Prêtresses – Les Déités féminines – ANNA- MARIA- DESRAIMES – Les Loges d’ adoption – Le Droit Humain – Loges Féminines – Loges Mixtes. Peu sur Origine de la Franc Maçonnerie La 1er révélation se transmit sous forme d’enseignement ,de génération, de maitre en discipline ,d’architecte en compagnon ,toujours accru par de nouvelles découvertes .Cela explique la mult iplicité des opinions concernant l’ésotérismes en générale et les ordres initiatique en particulier .On trouve toujours un historien découvrant les sources de la franc maçonnerie dans l’antiquité Egyptienne tandis que d’autres les trouveront dans les récits d’Homère ,notamment lorsque cel ui –ci s’écrie ‘’ Heureux les initiés car ils boivent l’eau de mémoire pour d’autres encore , la dé marche initiatique qui aboutit à la maçonnerie était d’origine biblique . Les ennemis de la franc maçonnerie été parfois les maçons eux-mêmes ,ont voulu détruire leurs frères , et ces origines qu’ils jugeaient inconvenantes ,entre les ordres modernes actuels comm e par exemple Rites Memphis Misraim ,R.F.M A(Rith français moderne actualisée) et les templ es des religions antique. C’est pourquoi ils mirent en exergue l’adage latin <<Vétuste prolège h auteur>> c’est –à-dire ‘’ l’ancienne a force de loi ‘’pour montrer que l’ancienne de la tradition n’était qu’un leurre, un procédé utilisé par les sociétés initiatiques pour souligner leur sérieux l eurs authenticité et justifier le secret qui voile leurs mystères . Pendant près de deux siècles la maçonnerie n’a jamais perché ni la révolution ni l’athéisme et e ncore moins l’anticléricalisme . Non seulement on coïnciderait qu’un bon maçon devait révérer la religion quelques soit leurs religions mais encore il fallait être baptisé pour avoir la possibilit é d’être initié dans une loge Maçonnerie et aussi avoir l’amour au cœur, il ne faut pas faire au a utrui ce qu’on voulait pas qu’on te fasse. La franc maçonnerie n’est pas une réligion, mais elle est la base et le principe de toutes les reli gions .C’est une « école philosophique qui a pour but l’amélioration de l’espèce humaine au do uble point de vue matériel et spirituel. Il n’y a jamais eu d’Histoire complète de la franc maçonnerie pour la simple et bonne raison qu e son origine commence depuis l’ ère Adan et Eve et avec l’homme humaine, on trouvera toujo urs quelques historiens qui parlent , découvrent que la franc maçonnerie sortent de l’Antique E gyptien tandis que d’autres le trouvent dans les récits d’Homère lorce qu’il disait ‘’Heureux les i nitiés car il boivent l’eau de mémoire. Pour d’autres encore la démarche initiatique qui aboutit à la franc maçonnerie. LES ORIGINES DE LA FRANC-MACONNERIE Textes Fondamentaux Les Grandes Constitutions de 1786 Version anglaise, traduite en français. En 1763, débarqua dans l’île de Saint-Domingue (aujourd’hui Haïti) un négociant français, Etien ne Morin, qui était coutumier de ces longs voyages, de la métropole vers les colonies. Natif de Cahors, Morin, alors âgé de 46 ans, aimait le violoncelle et par-dessus tout, la franc-maçonnerie . On l’avait vu en France et dans les îles, collectionnant les hauts-grades et créant des loges, à B ordeaux, à Abbeville et ailleurs. Il était muni d’une patente que lui avait donné, en 1761, la Gran de Loge de France, patente signée par les plus hauts dignitaires parisiens. Elle lui donnait le droi Almonor Stanley t de créer et de former une loge « pour recevoir et multiplier l’Ordre Royal des Maçons libres e t acceptés dans tous les degrés parfaits et sublimes », de diriger ladite loge sous le titre de la « Parfaite Harmonie » et enfin elle le nommait « Grand Inspecteur dans toutes les parties du Nou veau Monde ». Dès son arrivée, il mit ses pouvoirs à exécution. Il créa en 1764, à Port-au-Prince, la loge La Parfa ite Harmonie et dans la foulée nomma les premiers députés Grands Inspecteurs généraux, dont Henry Andrew Francken qui ouvrit, en 1767, à Albany, état de New York, la première logede per fection sur sol nord-américain. Mais il fit plus : il organisa en une série cohérente les grades « écossais » qu’il amenait dans ses bagages et les coiffa d’un degré ultime, le « Prince du Royal Secret » qu’il inventa pour la cause et qui jamais n’exista en France, avant qu’il n’y soit introduit bien plus tard, en 1804, par un de ses lointains successeurs, Germain Hacquet. Ce Rite nouveau, en 25 degrés, Morin l’appela « du Royal Secret » et non « de perfection » quoiqu’en disent les historiens actuels de la maçonneri e. Pour couronner le tout, le même Morin rédigea sans doute les « Statuts et Règlements pour le g ouvernement de toutes les loges royales régulières de perfection », plus connus sous le nom de « Constitutions de 1762 ». Comportant 35 articles, elles décrivent le fonctionnement du Rite et son gouvernement par un Souverain Conseil des Princes Sublimes, la distribution des 23 hauts-g rades du Rite et les délais de promotion entre chacun d’eux. Son article 1er rappelle que « nulle personne ne sera initiée dans les mystères sacrés de cet éminent grade, s’il n’est pas soumis au x devoirs de la religion du pays où il doit indispensablement en avoir reçu les vénérables princip es ». Ces Constitutions sont mieux connues sous le nom de « Constitutions de Bordeaux de 1762 », u ne légende voulant qu’elles aient été rédigées dans cette ville par neuf commissaires dont la tra ce aurait été perdue. La légende est tenace, d’autant que la première version imprimée qu’on e n ait gardée ne fut publiée qu’en 1832. Il en existe heureusement des versions manuscrites plus anciennes dont celle copiée par Henry Andrew Francken en 1771. Toutes situent le lieu de leur rédaction de façon très fantaisiste : en France et en Prusse, à Paris et Berlin, à l’Orient de B…, à Bordeaux enfin. Le plus probable est qu‘elles furent rédigées à Saint-Domingue par Morin lui-m ême. En effet, il avait reçu les « Nouveaux Statuts et Règlements », arrêtés par la Grande Loge d e France en 1763. Or la lecture des Constitutions « de 1762 », Alain Bernheim l’a démontré6, ré vèle quelles ne sont qu’une paraphrase du document réglementaire parisien, le rédacteur s’éta nt contenté de remplacer les titres et offices d’une Grande Loge en ceux utilisés dans un organis me de hauts-grades (loge par chapitre, vénérable par président d’un conseil, Grande Loge par G rand Conseil des Sublimes Maîtres…). Morin décéda en 1771 à Kingston (île de la Jamaïque) mais son œuvre fut poursuivie par ses suc cesseurs. On connaît ainsi une liste ininterrompue de « députés Inspecteurs généraux », titre bi entôt remplacé par celui de « député Grand Inspecteur Général », de 1771 à 1801, année qui vit la fondation, à Charleston (Caroline du Sud) du premier Suprême Conseil du monde des « Grand s Inspecteurs Généraux ». C’est en effet dans cette ville, dans une salle de la « Shepeard’s Tavern (aujourd’hui disparue et remplacée par une banque), au coin de la Broad et de la Church street que fut fondé, le 31 mai Almonor Stanley 18017, ce Suprême Conseil par John Mitchell (1741-1816), natif d’Irlande et vétéran de la guerr e d’indépendance américaine, député Grand Inspecteur Général depuis 1795, et Frédéric Dalcho (1770-1836) que Mitchell uploads/S4/ cours-pour-les-app.pdf
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- Publié le Jan 19, 2022
- Catégorie Law / Droit
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