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Guide pratique complet du spiritualisme L’essentiel de l’essence du ciel © DANI

Guide pratique complet du spiritualisme L’essentiel de l’essence du ciel © DANIELE SASSI Copyright © 2013-2019 Daniele Sassi All rights reserved. ASIN: B07MTJ2T65 ASIN: 1794147322 ISBN-10: 1794147322 ISBN-13: 978-1794147324 A PROPOS DE L'AUTEUR Qui suis-je ? Daniele SASSI ! • Tessinois (Tessin, Suisse) • Habite à Vétroz (Valais, Suisse) depuis le 1er octobre 2002 • En couple avec Doreen (Anglaise), pas d'enfant, que je sache… • MEDIUM-GUERISSEUR, conférencier, écrivain, dipl. formateur • Cours, conférences et consultations en 6 langues : français, italien, dialectes tessinois et du nord de l’Italie, anglais, allemand, dialecte suisse allemand (ZH) Pourquoi je travaille ? • Pour le plaisir de servir avec amour et compassion. • Pour vous accompagner dans l'apprentissage, à un rythme respectueux de vos connaissances et de vos attentes. Comment me contacter ? E-mail d.sassi@live.com Internet: www.danielesassi.net Tél. mobile: 076 537 27 47 (0041 76 537 27 47) PREFACE Tout commença il y a une soixantaine d'années (déjà !) quand, enfant, après m'avoir frappé, on m'enfermait à la cave. Ma grande sœur me disait : "Si tu n’es pas gentil, il y a le Babao qui viendra te chercher" ! Le Babao (ou Babonneau, plus rarement Barabao) est comme le Croquemitaine, un monstre imaginaire aux caractéristiques mal définies et qui est traditionnellement évoqué pour effrayer les enfants ! Enfermé à clé dans la cave, tout seul, sans lumière, j’étais conscient de "présences". Je leur demandais Mais pourquoi ? Pourquoi on m'enferme dans une pièce noire ? Pourquoi moi ? Qu’est-ce que j’ai fait pour mériter ça ?" Personne ne me répondait. J’ai compris maintenant pourquoi. Malheureusement je reçois encore des enfants à qui on inflige des punitions extrêmement violentes. Enfant, on me demandait : "Que veux-tu faire quand tu seras grand ?". Je répondais toujours "Devenir enseignant parce qu’on a beaucoup de vacances." Comme je me trompais ! Ma grand-mère Liseta était guérisseuse et avait une sorte de secret. Elle faisait le signe de croix sur les blessures en récitant une prière. Elle préparait aussi une espèce de pommade avec des herbes qui dégageait une odeur nauséabonde ! Elle la passait sur les blessures et sur les brûlures pour soulager la douleur. Tristement, elle est partie dans l'Autre Monde avec son secret… A l’âge de 16 ans, j'ai commencé à lire les cartes, j’utilisais celles de "Madame Lenormand" et surtout les "Milanaises". Finalement, j’arrête mes études, pas trop envie. Je commence ma carrière dans une grande banque où je remplis des formulaires à la machine à écrire, bof… Un an après, je pars pour Zürich travailler dans une autre banque, cette fois au Département Bourse. A mon arrivée on me demande ma pièce d’identité, vu mon prénom (Daniele), ils attendaient une jeune femme…. C'est qu'ils ne m’avaient pas vu avant, j'avais juste postulé par lettre, sans photo. Les temps ont bien changé ! A 19 ans, je suis allé à Lucerne pour voir une médium. "Elle écrit ce que les morts lui disent.", m’avait raconté un ami. Une expérience très… intéressante. A 22 ans, retour au Tessin en qualité de caissier. Joli ! C’était comme aller chez le boucher. Un grand banc nous séparait des clients. On leur serrait la main, il n’y avait pas de vitre, juste une alarme pour la nuit. Un beau jour, vu ce qui se passait, on a été obligé de changer de locaux. Portes, vitres blindées, accès sécurisé, l'impression d'être enfermé, comme à l'intérieur d'un bunker. Je décide de changer et je deviens conseiller en assurances. Après une dizaine d’années, me voilà à gérer un portefeuille de presque 2 millions de francs suisses. Sans oublier que j’avais été aussi chef du service interne et responsable d’agence ! Puis je passe Area Manager pour la Suisse alémanique pour une autre compagnie d’assurances ; j'y gère une dizaine d’agences, ayant ainsi la responsabilité d'une vingtaine de vendeurs et d'une dizaine de personnes à l’interne. Mais "mon goût pour l'inconnu" me taraude toujours et s'affirme un beau jour de 1993, après une séance chez un médium à Genève. Dans sa salle d’attente, je "tombe" sur sa publicité pour des cours de médiumnité. C'est le déclic et le début d'une passion. Je commence des cours de médiumnité en France. Et de la passion il en faut… de Saint-Moritz où j’habite et travaille alors, je descends en voiture à Lugano, là je prends l’avion pour Genève et… en taxi pour Ferney-Voltaire ! De retour vers minuit, sur le Julier, en hiver, c’était plein de neige, je ne voyais rien ! Pas un chat sur la route ! Je trouvais un équilibre. D'un coté le travail dans la finance et, de l’autre, avec les cours, je pouvais développer mon intuition, mon imagination, ma créativité, sans oublier le côté social. Je voulais devenir médium… "tout court", mettre de côté "les cartes" et offrir quelque chose de différent et que j'estime bien plus efficace… Un jour, mon enseignant de l’époque, pendant un cours me dit : "Toi, Daniele, tu as une centrale électrique à l’intérieur de toi, tu devrais suivre des cours de médium-guérisseur !". Macché guérisseur ?! Macché centrale électrique ?! Moi qui rêvais et m’imaginais déjà pouvoir quitter la banque, commencer ma carrière de médium au Tessin, avoir mon propre cabinet à la maison, travailler quand je voulais, fixer mes propres horaires et mon propre tarif. Bref, me mettre à mon compte, le Paradis ! Exactement le contraire d’une bonne motivation ! Je pensais…"Il veut m’ajouter à son cours !". Mais ma soif de savoir, ou tout simplement mon ressenti, me disait que peut-être ça méritait un essai. Et voilà que mon amie de l’époque me propose de tenir dans mes mains un citron. "Canalise l’énergie et si tu as un potentiel de guérison, le citron deviendra dur comme un caillou." (Une méthode empirique à oublier !) Croyez-le ou pas, mais environ une minute après le citron était devenu aussi dur qu'un caillou ! Oui, ça m’avait frappé… en si peu de temps… juste "canaliser". Alors j’ai commencé mes cours de "guérison". Un beau jour, j'apprends qu’un médium anglais donne des cours de médiumnité à Lugano. Hourra ! Fini l'avion, l'hôtel, le taxi, les dépenses, la fatigue. Voir autre chose…, suivre des cours en italien car mon anglais à l’époque était encore dans les livres ! Vite m’inscrire et continuer mes cours. En 1996, je poursuis ma formation au collège Arthur Findlay à Stansted (GB) (j’y suis allé une vingtaine de fois depuis !). Les années passent, je suis toujours à l’école de médiumnité. Jusqu’au jour où, accompagné d’autres étudiants, je donne ma première démonstration publique de médiumnité. Il y avait une cinquantaine de personnes. Je me rappelle que le "résultat" avait été "moyen". Une chose avait frappé tout le monde, je n’avais pas été aussi bon que dans les cours ! Beaucoup en avaient été surpris. Ils pensaient : "C’est la première fois, le stress, on ne peut pas toujours être au top". Mais hélas c’était le début de la descente ! Je ne comprenais pas pourquoi…. Paul Jacobs, mon enseignant de l’époque, me dit alors (et je pense qu'il le dit toujours aujourd’hui à ses participants) : "Pour sauter plus haut, il faut prendre du recul. Pense à l’athlète qui saute à la perche… ne prend-t-il pas du recul ?" Eh oui… j’ai compris par la suite que mes facultés de médiumnité "descendaient" pour faire place à celles de médium-guérisseur. On ne peut pas être super dans tous les domaines ! J'ai continué ma formation en "guérison". Je ne sais pas pourquoi mais peu à peu je me suis rendu compte que je commençais à l’aimer, à me passionner, même à être fasciné. Apprendre à ne rien faire pour laisser faire le "Tout". Simple au premier abord, mais absolument pas facile. Je vous invite à réfléchir à cette phrase : "Pour apprendre à ne rien faire… il faut apprendre à Tout faire…". Êtes-vous d’accord avec moi ?! Je rejoins un cercle de rencontre une fois par mois à Lugano. Habitant St. Moritz (dans les Grisons), je devais terminer au plus tard mon travail à 15 heures le vendredi. Mais rien n’aurait pu me retenir, j’étais même prêt à me faire licencier si je n’avais pas pu partir à temps pour rejoindre mon groupe ! Heureusement, je peux continuer mon travail à la banque, même si pendant la haute saison, on arrivait à travailler entre 60 et 80 heures par semaine ! En 2001, je décide de tout quitter. Pourtant "j'avais réussi" comme on dit puisque juste avant l'attentat des tours jumelles à New York, avec mon chef, on gérait la fortune de quelque 500 clients, soit 980 millions de francs suisses ! Mais à vouloir trop faire et bien faire, je finis par un "burn out" (je dors 20 heures par jour pendant environ 8 mois !). Il m’a fallu près de 14 mois en tout pour me reprendre ! Mais il n’y a pas que l’argent qui compte sur Terre, en tout cas décidément pas pour moi ! En 2002, uploads/Finance/ c-guide-pratique-complet-du-spoiritualisme.pdf