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Méthodologie - fiches de lecture → Je cherche des documents à l’aide de mots clés : Autres supports de recherches : Des sites spécialisés : Des émissions télévisées/ radio : Réalisation de fiches de lecture �Je lis le document, surligne les passages clés et je réalise sa fiche de lecture : �Mon document : → ( je copie/colle mon document ou j’ajoute un imprim écran du document ) puis je réalise sa fiche de lecture ( comme la fiche de lecture réalise sur facebook) A noter : Pour chaque document, je n’oublie surtout pas de conserver la source ! En effet, une fois que j’aurai sélectionné les documents à conserver pour l’élaboration de mon étude, je pourrai l’utiliser en annexe ! Mon document 1 : La culture d’entreprise façon Apple 1000 milliards de dollars. C’est la valeur que l’entreprise Apple a capitalisé en bourse en 2018. Ca donne le vertige, n’est-ce pas ? Ce succès ne s’est pas fait du jour au lendemain. La route a parfois été cahoteuse pour en arriver là, mais Steve Jobs, redoutable homme d’affaires s’il en est, n’a jamais lâché prise. Très tôt, il s’impose - puis impose à ses collaborateurs et employés - une façon de faire, de penser, et de s’exprimer (ou pas !) qui mis bout à bout façonnent une culture d’entreprise propre à l’univers d’Apple. Quels sont les fondements de la culture d’entreprise Apple ? Que se cache-t-il derrière le succès de la fameuse marque à la pomme ? Qualité : le luxe à portée de tous Depuis 1976, année de la création de la marque, jusqu’à aujourd’hui, la philosophie d’Apple est la même : démocratiser l’usage de produits technologiques conçus à l’origine pour un public expert. Mais attention, pas question de négliger la qualité du produit. Il sera luxueux, design et ergonomique, ou ne sera pas. En fait, le fondateur de la célèbre marque à la pomme est un idéaliste qui perçoit le monde de façon assez manichéenne. Pour lui, soit un produit est génial, soit il est carrément nul. Les membres de l’entreprise le savent bien. La qualité a une place prépondérante dans la culture d’entreprise Apple. Apple est un peu la référence en termes de User Experience. Les produits sont conçus dans l’optique de satisfaire le client, voire d’aller au-delà de ses attentes. Avec plus d’un milliard d’utilisateurs Apple à travers le monde, et des fans prêts à se battre pour obtenir le dernier né de la marque, on peut considérer que le pari est gagné, non ? Confidentialité : Steve Jobs, le roi du silence Travailler chez Apple, c’est un peu comme travailler pour les services secrets. Mais si cela paraît assez anodin de prime abord, le culte du silence imposé par l’entreprise est souvent difficile à vivre pour les employés. Car si Steve Jobs a lui-même avoué avoir piqué quelques idées à ses concurrents, il a tout fait pour que personne ne puisse voler les siennes. Lorsque Steve Jobs était à la tête d’Apple, il tenait à annoncer lui-même l’arrivée d’un nouveau produit au cours d’une présentation publique. Aujourd’hui encore, Apple veille au grain. Et malheur à celui ou celle qui divulguerait quelques informations top secret sur les applications ou produits hi-tech de la marque. La règle est claire : ce qui se passe dans l’entreprise, doit rester dans l’entreprise. Recrutement : s’entourer des meilleurs « Ça n'a pas de sens d'embaucher des gens intelligents puis de leur dire quoi faire. Nous embauchons des gens intelligents afin qu'ils puissent nous dire ce qu'il faut faire ». Steve Jobs Cette citation reflète bien la mentalité du fondateur d’Apple. Et pour ce qui est du recrutement, rien à dire ! Steve Jobs a toujours su s’entourer des meilleurs, comme le prouve sa collaboration précoce avec Steve Wozniak, dans le rôle du génie en informatique. Steve Jobs s’est toujours davantage fié à son flair qu’aux CV qu’il recevait pour embaucher une nouvelle recrue. Aujourd’hui encore, la méthode de recrutement Apple obéit aux règles fixées par la culture d’entreprise insufflée par le père fondateur. Compétences et personnalités des candidats sont analysées et passées au crible par les RH au cours d’entretiens pour le moins surprenants, avec des questions réputées déroutantes. Mais le géant du Web n’en attire pas moins une foule innombrable de jeunes diplômés qui rêvent de voir inscrit en lettres d’or sur leur CV, leur passage chez Apple. Être employé chez Apple Bon, on ne va pas se mentir, le bien être des employés n’est pas la préoccupation majeure de la marque à la pomme. La preuve : Apple arrive 71ème au concours Glassdoor 2019, tandis que Facebook occupe la 7ème place. Alors si vous trouvez que les produits d’Apple sont cool, sachez qu’ils ne reflètent pas vraiment l’ambiance qui règne dans les locaux de la célèbre firme hi-tech. Parce que Steve Jobs, tout comme son successeur ne se laissent pas charmer par la culture d’entreprise façon startup. Ce qu’il faut avant tout pour mériter sa place (et la conserver !) c’est travailler, travailler et encore travailler. Chez Apple, les employés n’interviennent pas dans la phase d’innovation mais dans la phase de concrétisation du projet. Et mieux vaut être réactif car les employés jugés incompétents sont très vite dirigés vers la sortie. Même si la culture d’entreprise Apple ne met pas en premier plan le bonheur de ses employés, elle suscite fascination et engouement (voire dépendance), chez les utilisateurs de la marque. Le mythe du père fondateur, le culte du silence et la passion de l’excellence qui animent la multinationale depuis sa création contribuent à en faire l’icône des entreprises hi-tech. Alors, Mac ou PC ? Si vous souhaitez améliorer votre culture d'entreprise et booster votre expérience collaborateur, contactez-nous Fiche de lecture n°1 : Source : https://www.ricochet.co/pourquoi-choisir-ricochet/page-contenus/culture-entreprise- facon-apple.html Titre de la source : Ricochet Date de parution : Non précisé Titre de l’article : La culture d’entreprise façon Apple Mots clés : Apple, Steve Jobs, culture d’entreprise Résumé de l’article: Cet article montre les fondements de l’entreprise d’Apple, et tout ce qui se cache derrière le succès d’Apple. Grace notamment à leurs cultures d’entreprises. Informations retenues dans le cadre de l’étude: Les informations que j’ai retenues à propos de ce document est que Apple ce base uniquement sur la qualité de son produit. Tout ça c’est dû au travail de Steve Jobs, redoutable homme d’affaires s’il en est, n’a jamais lâché prise. Très tôt, il s’impose - puis impose à ses collaborateurs et employés - une façon de faire, de penser, et de s’exprimer (ou pas !) qui mis bout à bout façonnent une culture d’entreprise propre à l’univers d’Apple Mon document 2 : Le New York Times vient de publier un article très intéressant sur le culte du secret au sein d’Apple, une firme connue pour entourer le développement de ses produits d’une très lourde chape de plomb. Efficace, cette dernière a permis dans la quasi-totalité des cas de maintenir un secret absolu autour des ordinateurs, périphériques et logiciels à venir, au point que rien n’est jamais réellement sûr avant l’annonce officielle. Selon l’article du New York Times, ce culte est poussé très loin, y compris dans les propres locaux de la société. Ainsi, il y a évidemment un découpage strict des services avec des contrats demandant expressément aux employés de ne pas communiquer sur les projets en cours. Toutefois, on peut considérer ces mesures comme passives, et la firme se montre très pro-active quand il s’agit de protéger ses intérêts. Ainsi, de fausses informations sont construites de toutes pièces pour être livrées en pâture à la presse. Elles ne sont pas communiquées directement, et jamais bien sûr dans un communiqué officiel. La technique est plus « vicieuse » : des réunions sont organisées avec des employés, durant lesquelles de fausses informations sont données. Non seulement les employés gardent ces fausses informations en tête, mais la société peut ainsi traquer les fuites éventuelles vers la presse ou plus globalement le monde extérieur. Ces informations ont été dévoilées par un ancien employé de la société. Il indique en outre que la sécurité physique dans les bâtiments est très complète : de nombreuses portes qui ne s’ouvrent que part des badges magnétiques dûment accrédités, avant d’entrer un code pour entrer dans les bureaux. Dans les secteurs les plus secrets, où certains projets sont développés, les personnes affectées doivent systématiquement couvrir le produit en développement de pochettes noires pour empêcher les éventuels regards indiscrets. De plus, quand le produit est en utilisation, les employés doivent le signaler par une lumière rouge afin qu’un degré supplémentaire de vigilance soit ajouté. Ce culte du secret est un élément important de la stratégie d’Apple. Il permet de garder à plein régime un certain niveau d’excitation pour les nouveaux produits, la liste complète des fonctionnalités d’un produit bénéficiant alors de l’effet cascade au moment de l’annonce. Toutefois, comme le souligne le New York Times, cette tradition de la maison est de plus en plus souvent la cible de critiques, notamment parce qu’elle est appliquée uploads/Finance/ fiches-de-lecture-abdallahi-kays.pdf