FORMES DE PRESENCE SUR INTERNET Cas de l’entreprise Banque Populaire AYOUB SNAN

FORMES DE PRESENCE SUR INTERNET Cas de l’entreprise Banque Populaire AYOUB SNANI ISCAE Mastère en Entrepreneuriat et Développement des Affaires Sommaire Sommaire__________________________________________________________________1 Introduction_________________________________________________________________2 1. Présentation de l’entreprise________________________________________________3 1.1. Activité____________________________________________________________________3 1.2. Marché____________________________________________________________________3 1.3. Concurrence_______________________________________________________________3 1.4. Analyse SWOT______________________________________________________________3 2. Formes de présence sur Internet_____________________________________________4 2.1. Site Web__________________________________________________________________4 2.2. Mobile____________________________________________________________________4 2.3. Réseaux sociaux____________________________________________________________4 2.4. Autres____________________________________________________________________4 Conclusion__________________________________________________________________5 Bibliographie & Webographie__________________________________________________6 Introduction Le secteur bancaire représente un pilier de l'économie national. En qualité d'entreprise commerciale et dans un monde de plus en plus concurrentiel, la banque doit tout mettre en oeuvre pour être rentable, développer une réelle stratégie de marché, respecter les équilibres financiers et faire évoluer les métiers qui composent son activité. Le secteur bancaire marocain est considéré comme l'un des moteurs du développement de l'économie du pays et de sa prospérité, ce dernier est devenu dans une courte période un secteur moderne et efficace En qualité d'entreprise de service et dans un monde de plus en plus concurrentiel, la banque est tenue de se conformer aux lois de marché et aux préférences des clients qui sont devenus de plus en plus exigeante, mieux formée et informée. Elle doit aussi tout mettre en œuvre pour être rentable, développer une réelle stratégie de marché, Matière vivante, le marketing suit les mutations de la société et les nouveaux comportements des consommateurs. Bien plus qu’une simple fonction ou d’un nouveau département figurent dans l’organigramme, le marketing est d’abord l’ensemble des techniques commerciales qui commencent à la conception du produit et finissent lors de sa distribution finale, en vue de satisfaire au mieux le besoin de la clientèle En dehors de leurs spécificités et de leurs caractéristiques, les institutions bancaires ont deux fois besoin de faire du marketing en raison de leur position doublement orientée vers deux marchés différents : le marché des ressources (collecter des capitaux) et le marché des emplois destinés à (l’octroi des crédits). La mise en œuvre des instruments du marketer renvoie, traditionnellement, à deux rôles complémentaires dans l’entreprise :le marketing stratégique et le marketing opérationnel. Tout d’abord, nous allons commencer par le rôle du marketing stratégique dans la démarche marketing, ensuite les outils d’aide à la décision stratégique, puis le choix stratégique et finalement une étude de cas. I) Présentation du marketing stratégique : 1. Présentation de l’entreprise La Banque Populaire existe depuis 1926 au Maroc, crée à l'époque sur le modèle Français institué par le dahir du 25 mai 1926, portant sur l'organisation du crédit au petit et moyen commerce et industrie, et ce par la création des sociétés à capital variable dite « Banque Populaire ». Ce n'est que vers l'année 2000 que la Banque Centrale Populaire s'est transformée en société anonyme à capitale fixe avec comme première recommandation l'ouverture de son capital aux Banques Populaires Régionales à hauteur de 21% et au secteur privé à concurrence d'au moins 20%. Ainsi, les Banques Régionales se sont dotées d'une autonomie avec leur implication dans le développement économique et social de leur région. Première institution Bancaire du Royaume, le Groupe Banque Populaire a tissé pendant plus de 3 décennies des relations de partenariat solides, qui permettent aujourd'hui une pluralité de profils, un creuset riche de cultures et de compétences diversifiées et un renouvellement de générations. Ces relations de longue date ont très tôt dépassé le cadre de satisfaction des besoins des communautés pour investir progressivement des produits et services bancaires et financiers spécifiques et d'étendre aux domaines éducatif, culturel et social. La Banque Populaire existe depuis 1926 au Maroc, crée à l'époque sur le modèle Français institué par le dahir du 25 mai 1926, portant sur l'organisation du crédit au petit et moyen commerce et industrie, et ce par la création des sociétés à capital variable dite « Banque Populaire ». Ce n'est que vers l'année 2000 que la Banque Centrale Populaire s'est transformée en société anonyme à capitale fixe avec comme première recommandation l'ouverture de son capital aux Banques Populaires Régionales à hauteur de 21% et au secteur privé à concurrence d'au moins 20%. Ainsi, les Banques Régionales se sont dotées d'une autonomie avec leur implication dans le développement économique et social de leur région. Première institution Bancaire du Royaume, le Groupe Banque Populaire a tissé pendant plus de 3 décennies des relations de partenariat solides, qui permettent aujourd'hui une pluralité de profils, un creuset riche de cultures et de compétences diversifiées et un renouvellement de générations. Ces relations de longue date ont très tôt dépassé le cadre de satisfaction des besoins des communautés pour investir progressivement des produits et services bancaires et financiers spécifiques et d'étendre aux domaines éducatif, culturel et social. 1.1. Activité Le Crédit Populaire du Maroc est un groupement de banques constitué par la Banque Centrale Populaire et les Banques Populaires Régionales. Fidèle à son esprit d'entreprise, le Crédit Populaire du Maroc s'est fixé comme objectif d'accompagner toutes entreprises moyennes ou petites, artisanales, industrielles ou de services par la distribution de crédit à court, moyen et long terme. Il propose une gamme élargie et complète de services et produits financiers répondant à l'ensemble des besoins de sa clientèle. Il développe également ses activités à travers quatre orientations stratégiques majeures : 1.2. Marché Le secteur bancaire marocain est considéré comme l'un des moteurs du développement de l'économie du pays et de sa prospérité, ce dernier est devenu dans une courte période un secteur moderne et efficace. Il a connu un mouvement de concentration significatif aujourd'hui achevé. Plusieurs banques possèdent une licence d'exploitation mais sept banques contrôlent le marché. Le principal acteur est constitué par le réseau public des Banques Populaires. Viennent ensuite les autres banques et celles contrôlées majoritairement par des actionnaires étrangers, parmi lesquelles la BMCI, filiale de BNP-Paribas, et le Crédit du Maroc, filiale du groupe Crédit Lyonnais-Crédit Agricole. Enfin, la Caisse de Dépôt et de Gestion est extrêmement active dans les secteurs de l'immobilier et du tourisme, en accompagnant les projets d'intérêt général et en intervenant dans une logique d'amorçage pour des projets plus modestes. Il faut ajouter à ceci que le système bancaire marocain est caractérisé par une forte présence de banques étrangères de ce fait toutes les grandes banques privées du royaume comptent dans leur actionnariat des banques étrangères. 1.3. Concurrence 2. Le secteur bancaire marocain correspond à un oligopole avec frange compétitive, selon un rapport du Conseil de la concurrence. Attijariwafa bank (AWB) et la Banque populaire (BP) du Maroc se relaient la place de leader. La Banque marocaine du commerce extérieur (BMCE) et dans une moindre mesure la Société Générale marocaine des banques (SGMA) représentent les principaux challengers, alors que les autres banques représentent moins de 30% des parts de marché, explique le Conseil dans son dernier rapport annuel pour 2013. Ces quatre banques couvrent ainsi 74% des dépôts, 72% du total bilan, 72% des crédits et 70% du Produit national brut (PNB). 3. «L'analyse des parts de marché selon le PNB montre qu'AWB et la BP détiennent respectivement 25% et 24,2% de parts de marché du secteur en 2011», souligne le rapport notant que le niveau de concentration du secteur bancaire calculé à partir du PNB est ainsi resté stable durant les 6 dernières années. Les indices mettent également en évidence un marché concentré puisque 2 opérateurs (AWB et BP) qui totalisent près de 50% du PNB sectoriel, et 4 opérateurs (avec la BMCE et la Société Générale) en accaparent 70%. Par ailleurs, le total bilan du secteur a connu une progression de 13% en moyenne sur la période 2005-2011, passant de 461 milliards de dirhams en 2005 à 971 milliards en 2011. L'analyse des niveaux de concentration à partir du Total bilan montre la forte position des 2 banques leaders en 2011. Pour ce qui est des tarifs exercés par les banques analysées par le Conseil, ils sont cohérents avec leur positionnement. Ainsi, les banques mettant en avant la qualité de leurs prestations (BMCE, BMCI, Crédit du Maroc et Société Générale) sont 10 à 30% plus chères que celles visant des catégories de populations à revenus moins élevés, telles que la Banque populaire et Attijariwafa bank. De même, les écarts entre les acteurs des différents groupes montrent l'absence d'ententes et de convergences sur les tarifs, a estimé le rapport, relevant l'existence d'une place pour la concurrence en matière de tarifs. Ainsi, plus globalement, le poids des commissions dans le PNB des banques marocaines se situe dans une fourchette comprise entre 10% et 15% à fin 2011, et reste largement inférieur à celui constaté par exemple en France (entre 19% et 34%) ou dans d’autres pays occidentaux (entre 19% et 60%). En définitive, bien que des améliorations en matière de concurrentiabilité du secteur bancaire puissent encore être réalisées, il existe une véritable compétition entre les opérateurs, encouragée par l’intervention régulière de Bank Al-Maghrib pour fournir de la liquidité, ainsi que par le potentiel de bancarisation additionnelle, l’amélioration de la transparence en matière d’informations, la forte capacité d’innovation des banques et la politique ambitieuse d’inclusion financière engagée, relève le Conseil de la concurrence. Ceci étant, la décision de plusieurs groupes bancaires de uploads/Finance/ iscae-meda-evaluation-nom.pdf

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  • Publié le Jul 03, 2021
  • Catégorie Business / Finance
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