THEME : LA CONTRIBUTION DE L’APPROCHE FONDAMENTALE A LA MINIMISATION DES RISQUE

THEME : LA CONTRIBUTION DE L’APPROCHE FONDAMENTALE A LA MINIMISATION DES RISQUES DE CREDIT BANCAIRE : CAS DE LA BANQUE POPULAIRE DE COTE D’IVOIRE i SOMMAIRE ii DEDICACE Je dédie ce travail à : iii REMERCIMENT Ce mémoire de Master est le résultat d’un travail de recherche de plusieurs mois. Aussi nous ne saurions commencer la rédaction du présent travail sans toutefois adresser nos remerciements à certaines entités et personnes qui ont contribué à la réalisation de ce mémoire de recherche. Nos remerciements vont donc à : ………………………………………………., pour avoir accepté de diriger le présent mémoire, et pour ses nombreux conseils et orientations pour l’accomplissement de ce travail. …………………………………………., pour son assistance tout au long de ce travail, et ses précieux conseils qui nous permettent de voir la vie, comme un verre à moitié plein. ……………………………………., pour ses orientations et suggestions qui nous ont été d’un grand secours. Tous mes amis de la promotion et le personnel de l’établissement d’accueil. A Tout ceux qui de près ou de loin auront contribué à la réalisation de ce mémoire de recherche. Prière retrouver ici, l’expression de notre infinie gratitude. iv RESUME LISTE DES TABLES Tableau 1 : Les différents types de crédits……………………….. Tableau 2 : Définition des types de crédits……………………….. Tableau 3 : Les différents types de crédit-bail……………………. Tableau 4 : Représentation des menaces liées au risque de crédit… Tableau 5 : Synthèse des méthodes……………………………….. LISTE DES FIGURES Figure 1 : le processus de gestion des risques…………………………. Figure 2 : Processus de maitrise de risque de crédit, inspiré du risque de crédit………………………………………………………………... Figure 3 : Séquence de l’analyse financier……………………………. SIGLES ET ABREVIATION AVS : Avance sur Salaire ACPR : Autorité de Contrôle Prudentiel et de Résolution BCE : Banque Centrale Européenne ABE : Autorité Bancaire Européenne PME : Petite et Moyenne Entreprise PPD : Privilège de Prêteur de Deniers EDF : Expected Frequency PD : Probability de Fefault EAD : Exposure of Default LGD : loss given default ETI : Entreprises de Taille Intermédiaire COFACE : Compagnie Française d’Assurance pour le Commerce Extérieur CCT : Crédit à Court Terme CDL : Créances Douteuses ou Litigieuses CIC : Comité Interne de Crédit CNCE : Caisse Nationale des Caisses d’Epargne DAB : Distributeur Automatique de Billets DAI : Direction de l’Audit Interne DCP : Direction du Contrôle Permanent DG : Directeur Général DGE : Direction des Grandes Entreprises DJC : Direction Juridique et Contentieuse DOSI : Direction de l’Organisation et du Système d’Information DPP : Direction des Particuliers et des Professionnels DRH : Direction des Ressources Humaines INTRODUCTION GENERALE Une banque est une institution financière qui met en relation les agents en déficit de capitaux et les agents en excèdent de capitaux. En plus de cette prérogative la banque remplit une pluralité de fonctions depuis la gestion des moyens de paiement jusqu’à l’octroi du crédit. Dans les années 80 et 90 l’explosion des activités de la bancaires et financières ont contribué à l’émergence de la banque de marché et de la bancassurance. A partir du XVème siècle l’évolution du système bancaire et les différentes péripéties qui ont suivi l’a forcée à se redéfinir afin de répondre aux exigences d’une nouvelle population bancarisée plus vaste et éventuellement pour faire face aux différentes crises qu’elle a rencontré au cour de ces dernières décennies. De la crise du marchés à terme de 1637 au Pays-Bas à la crise économique argentine en 2018 , les analyses ont révélé que le facteur prépondérant de ces crises trouve sa source dans l’incapacité de certaine institution financière et plus précisément de certaine banque à faire face aux différents risques qu’elle encoure. De plus en plus, les banques font face à d’énormes circonstances impulsées par la non maitrise du risque. Dans son œuvre « Gestion des risques et risque de crédit » (2019) Vivien Brunel responsable du service en charge des modèles de risques et capital pour le Groupe Société Générale affirme qu’il existe deux formes de risques en établissement bancaire les risques spécifiques pourtant sur un débiteur, les risques systémiques portant sur les banques. En parlant de risque systémiques portant sur les banques, les Etat Unis ainsi que le reste du monde ont connu entre les années 2007 à 2012 une crise financière sans précédent qui a plongeait tout le système économique dans un gouffre. Cette grande récession similaire à la grande dépression de 1929 fut une crise majeure qui jusqu’à présent laisse des stigmates. Elle tire sont origines de la crise des subprimes au Etat Unis et se rependit dans le reste du monde par la titrisation. Résultat d’une mauvaise appréciation du risque de crédit, la crise des subprimes a participé à la faillite d’importantes institutions financières, dont Lehmann Brothers l’une des plus vieillies et des plus puissantes banques au monde. Parallèlement à cela nous avons le cas de la banque BPCI (Banque Populaire de Côte d’Ivoire) qui fera l’objet de notre étude. BPCI connu sous la bannière de la CNCE (Caisse Nationale des Caisses d’Epargne) est une banque ivoirienne financer en grande partie par l’Etat de Côte d’Ivoire qui à observer au cour des années précédentes des pertes considérables en fond propres qui l’a contraint de passer en administration provisoire, suite à de mauvaise évaluation des prêts qu’elle octroyait a certaine entreprises et particuliers qui n’ont malheureusement pas été à mesure de respecter leur engagement soit partiellement ou totalement aux dates d’échéance on parle alors du risque de crédit ou le risque de contrepartie. Le risque de crédit également appelé le risque de contrepartie fait partie des risques les plus rependu et actuellement l’un des plus grand sujet économique. S’il existe plusieurs genres de risque de crédit mais celui de non remboursement reste le majeur. Le risque de crédit est le risque que l’emprunteur ne parvient pas à rembourser sa dette en partie ou dans sa totalité, à l’échéance fixée. De nos jours, sa maîtrise est l’une des principales préoccupations pour la plupart des responsables dans le domaine de la finance raison pour laquelle, de nombreuses banques sont aujourd’hui amenées à l’intégrer dans leur gestion afin de le minimiser. Ce risque est en effet lourd de conséquences pour la banque, car tous prêts non remboursées constituent une perte économique à supporter par le créancier. Comptablement parlant, les créances et les emprunts accordés à des tiers constituent une position spécifique dans le bilan de l’entreprise et toute évolution négative obère d’autant la survie de l’entreprise à moyen ou long terme. Selon Beaver (1966) « l'entreprise est comme un réservoir d'actifs liquides, alimenté par des flux entrants et drainé par des flux sortants, ce réservoir doit protéger ces entreprises contre les variations défavorables des flux » alors l’épuisement de ce réservoir traduit une incapacité de la part de l’entreprise affaire face à ces obligations à l’échéance1. Les prêts accordés aux entreprises représentes éléments les principaux de pertes en fond propre car ils représentent un fort risque d’apparition du risque de crédit. Les établissements bancaires vont donc cherchés se mithridatiser contre ce 1 APPROCHES D'ÉVALUATION DU RISQUE DE CRÉDIT BANCAIRE ESSAI D'ORGANISATION DE LA LITTÉRATURE, Revue D’Etudes en Management et Finance D’Organisation N°7 Juillet 2018 risque en mettant sur place des techniques et méthodes plus sophistiqués d’atténuation du risque de crédit, mêlant à la fois calcul et intuition. En Côte d’ivoire l’analyse a priori d’un dossier de crédit ce fait par des méthodes classique pour éviter un risque de crédit. Parmi ces méthodes nous avons l’analyse financière et la prise de garantie occupent une place centrale dans la stratégie d’atténuation du risque de crédit par les banques. Malgré la pertinence de ces outils d’évaluations du risque crédit des banques observent tout de même des défauts de payements de la part de ses detteurs ce qui peut remettre en cause la performance de la banque. Pourtant il existe des méthodes d’évaluations de risque plus objectives qui facilite et donne des éléments de réponse plus concrète lors de l’appréciation du risque de crédit qui peuvent être complémentaire aux méthodes déjà existant. Aujourd’hui la bancaire se trouve dans une conjoncture très volatile qui la contraint à prendre des mesures drastiques pour se prémunir de tous risques susceptible de se produit lors d’opérations bancaires. Afin de maitriser le risque de crédit, les établissements bancaires procèdent à la mise en place d’une hiérarchisation, une charte de contrôle de chaque risque et clarifient les responsabilités. En plus de ses directives constituées en internes par les banques, ils existent des accords aux normes internationales qui a pour but de réguler l’activité de la banque, entre autre nous avons les réglementations prudentielles (Bale II, puis III) qui sont censés corrigés les erreurs liées à une mauvaise maitrise du risque en imposant une strictes méthode de pilotage des risques et des fonds propres. En plus de ces règlementation prudentielle aux internationales les banque en Afrique de l’ouest sont encadrés par les règles des bancaires émis par l’UEMOA. Les opérations de crédit font naturellement appelle un risques : la probabilité que l’emprunteur n’arrive pas à rembourser ces engagements. Alors pour s’en prémunir uploads/Finance/ memo-charles-new-new-a-faire.pdf

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  • Publié le Mar 11, 2021
  • Catégorie Business / Finance
  • Langue French
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