COURS ECONOMIE INDUSTRIELLE ET DES SERVICES (manque séance amphi 1) AMPHI 2 : I

COURS ECONOMIE INDUSTRIELLE ET DES SERVICES (manque séance amphi 1) AMPHI 2 : I. j 2.1 Thèse 2 : Part de l’Afrique divisée par 3, Asie 67% des échanges  on assiste à une régionalisation de la mondialisation. Amérique  ALENA Afrique  n’a pas de stratégie car difficultés de faire coexister tout les pays  contient un grand nombre d’union régionale mais qui sont en réalité des coquilles vide. Asie  leadership dispute entre l’Inde et la Chine mais aussi l’influence des USA sur leur mode d’échange et de vie. 4ième thèse : L’Europe n’est pas capable de créer un vrai système fiscal unifié. IS en France = 20 % alors que 2% en Irlande. Il faut une unification de la législation fiscale, sociale etc… en Europe. Qu’est ce que doivent faire les états pour nous sortir de la crise ? La convergence est un mirage, trop de disparité entre les pays au niveau de l’éducation, de la connectivité internet même au niveau du revenu net global par habitant. 2.2 Le souverainisme suppose que les entreprisse accepte une baisse de ses bénéfices et que les ménages accepte une baisse de leur pouvoir d’achat. 2.3 Plusieurs facteur sont toujours favorables à la mondialisation : - les sorts des investissement internationaux  retour des investissement en France mais départ des investissements  oscillation, creux et pic du aux évolution de changes. Il y a des moments de baisse mais il y a également des moments de hausses très fortes. Ex récession en 2020 de 8.3%  œuvre de la mondialisation - L’OMC est en crise  les usa sont sorti de l’OMC mais l’ouverture reste à la mode  Accord régionaux (ACR). Quand la chine signe un accord avec l’Europe ou le Canada avec l’Europe c’est pour dynamiser l’échange. Environs 420 ACR. Donc pas libéralisation des échanges mais libre échanges. - Jeux des firmes - La mondialisation est favorisée par le réveil des pays du sud  la zone euro = croissance la plus faible au monde, région qui peine à dialoguer avec les GAFAS (point de vue de Paris, Lyon), point du vue du Nord  L’Europe est notre ennemi (D.Trump)  isolationnisme/mercantilisme. La Chine ne redoute pas le libre échange comme le fait les USA = désire de faire plus de performances commerciale de la part de la Chine. La production sera l’affaire des pays du sud dans quelques années  économie émergente viennent du sud (Chine et Corée). On pourrait se dire que la mondialisation est une menace mais ce n’est pas totalement le cas car selon le point de vue que se soit en occident ou en Asie, le libre échange et la mondialisation n’a pas le même effet. - La période de récession sont des période de recul du commerce international, lorsqu’elle est prospère les gouvernement sont moins soucieux d’ouvrir leur frontière (ex : 30 glorieuses). Le modèle optimal du libre-échange est lorsque celui-ci permet l’import et import entre tous les pays. Le climat social et politique joue beaucoup sur cet échange (ex : épidémie) - Le dialogue a changer de nature  donnant/donnant  inverse aujourd’hui => les nations se reproche mutuellement d’être déloyale. « La chine sont des tricheurs » alors que lorsque l’on regarde le code de commerce des USA, on remarque que son code vise à soumettre les autres. La démondialisation n’aura pas lieu  c’est plus une revendication. 2.4 Faut-il avoir peur de la mondialisation ? Le discours en France et en Europe exprime une peur sur les changement envahissant le monde. Spectaculaire vue pas l’Europe car pour un long moment elle dominait le monde. Les USA ont pris le relais de l’Europe mais depuis 2009 la Chine est dans un continent qui s’intègre et est la 1ere puissance. L’Europ assiste à l’émergence d’autres pays du monde rendant les rapports avec ceux-ci complexes (inde, Mexique, chine, Corée…) Chapitre 2 : L’analyse économique de la firme Vers un renouvellement du cadre théorique de l’entreprise contemporaine ? Soutenir la productivité pérenniser l’entreprise = but principal de l’entreprise Introduction : Il y avait 4,7 millions d’entreprises en France en 2017 (selon l’INSEE) dont 3,4 situées en France métropolitaine. La composition de ce tissu est la suivante : - Par secteur d’activité :  30% dans les services aux entreprises  28% dans le commerce, le transport et la restauration-hébergement  22% dans les services marchands aux particuliers  20% dans le divers (industrie, construction, etc.) - Par taille :  Microentreprises représentent 91,5%  PME : 6,5%  ETI : 1,3%  Grandes entreprises (GE) : 0,7% - Par région :  Ile de France : 24%  PACA : 11%  Rhône-Alpes : 10,6%  Aquitaine : 5,5%  Auvergne : 1,9%  Franche-Comté : 1,5%  Limousin : 1%  Corse : 0,8% Démographie des entreprises en France en 2017 : -Secteur d’activité :  Industrie : 6.3%  Construction : 13.2%  Commerce de transport, hébergement et restauration : 28.2%  Service marchands et entreprises : 30.2%  Services marchands aux particuliers : 22.1% Création d’établissements par secteur d’activité en 2018 :  Industrie : 4.9%  Construction : 9.3%  Commerce de transport, hébergement et restauration : 31%  Service marchands aux entreprises : 31%  Services marchands aux particuliers : 20% Terminologie : - Une micro-entreprise a moins de 10 salariés et a un CA ou un bilan de moins de 2 millions d’euros (plus de 90% des entreprises).  91.4% - Une PME est entreprise qui a moins de 250 salariés ou un CA qui n’excède pas 50 millions d’euros ou un bilan de moins de 43 millions d’euros. 6.5 % - Une ETI est une entreprise qui a entre 250 et 5 000 salariés ou un CA de moins de 1 milliard d’euros et un bilan de moins de 2 milliards d’euros. 1.3 % - Une grande entreprise occupe au moins 5 000 salariés qui fait plus de 1,5 milliard de CA et plus de 2 milliards du total du bilan. -0.7 % Le tissu industriel français est extrêmement polarisé. Peu de grandes entreprises et peu de régions véritablement industrialisées, spécialisées. Section 1. Firme et structures de marché à travers l’évolution de l’économie industrielle I. Le modèle théorique standard 1.1. Une référence récurrente : la concurrence pure et parfaite Dans son énoncé canonique, la théorie libérale de la firme livre un « modèle sans frottement » : la concurrence est pure et les marchés sont parfais. Dans ce modèle, la concurrence est parfaite, l’information est pure et les agents sont totalement rationnels. Le modèle de la concurrence pure et parfaite repose sur 6 modèles complémentaires : - Sur la pureté : - les prix sont exogènes : les acheteurs et les vendeurs (producteurs et consommateurs) sont en nombre suffisamment nombreux qu’aucun d’eux ne peut peser séparément sur le niveau du prix, autrement dit sur les conditions du marché. - l’entrée est libre : chaque producteur peut librement entrer ou sortir du marché sans aucune entrave : ni juridique ni technique ni financière ni informationnelle. En d’autres termes, le marché est contestable. Libre mobilité des facteurs. - Sur la perfection des marchés : - l’information parfaite : les agents économiques, producteurs et consommateurs, ont un accès total à l’information. Tous les acteurs ont la même information leur permettant de prendre des décisions. Cette information est immédiate, accessible, sans délai, sans coût. - l’homogénéité des produits : les attributs des produits échangés sur un même marché, sont comparables. Il n’y a pas de relation privilégiée entre tel vendeur et tel acheteur. Les consommateurs ne cèdent pas au phénomène de la marque. - Sur le comportement des agents : - unicité permanente de l’objectif des demandeurs : la maximisation de la satisfaction. Cette hypothèse est la condition du comportement rationnel. Par exemple, devant un choix, un demandeur soit dire s’il préfère A à B ou B à A ou équivalence. Cela signifie que si A est supérieur à B et B supérieur à C, un acheteur rationnel doit déduire que 1 est supérieur à C (transitivité). - unicité permanente de la fonction d’objectif du producteur : la maximisation du résultat, du profit. Un entrepreneur n’a d’autres objectifs que de minimiser ses coûts et maximiser ses résultats. Il n’y a pas de considérations autres comme par exemple consommer français ou produire en France. Il s’agit là d’une représentation « caricaturale » du marché. La concurrence pure et parfaite n’a aucune chance d’être rencontré dans la réalité. Ces 6 hypothèses fondatrices sont irréelles. Dans le schéma de la CPP, le marché apparait comme un « commissaire-priseur » qui est un agent qui cherche à égaliser les souhaits du vendeur et ceux de l’acheteur. Les économistes libéraux pensent que la réalité serait bien meilleure si elle s’approchait de la théorie économique. En d’autres termes, de la réalité et de la théorie, c’est la réalité qui a tords. Si on rapproche la réalité de la théorie, la situation s’améliore. Dans une déclaration récente, un uploads/Geographie/ cours-economie-industrielle-et-des-services.pdf

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