Des Hommes au temps des dinosaures 18 juillet 2015 A l’heure actuelle, personne

Des Hommes au temps des dinosaures 18 juillet 2015 A l’heure actuelle, personne ne peut plus affirmer que l’homme n’a pas connu les dinosaures. Trop de preuves at- testent du fait que l’homme les a connu.Sinon, comment au- rait-il pu les dessiner ou les reproduire ? Aujourd’hui, grâce à l’étude des squelettes et des fossiles, nous avons pu reconstituer l’apparence extérieure de ces énormes bêtes. Sans ces moyens d’étude, comment le sculp- teur antique a-t-il pu sculpter l’image qui suit ? Stegosaurus carving, Ta Prohm temple, Angkor district, Cambodia - photo Andrew Collins Ce bas-relief vient du temple hindu-bouddhiste de Ta Prohm, près d’Ang- kor, Cambodge. Comment le sculpteur a-t-il fait pour représenter un par- fait stégosaure ? Réponse : il en avait un sous les yeux. En chair et en os, ou en reproduction. Dans un cas comme dans l’autre, c’est la preuve que l’homme a connu les dinos. Notre espèce a une ancienneté dont nos anthropologues sont loin de se douter. Mais pour un anthropologue chinois ou coréen, par exem- ple, cette ancienneté est admise. Pour celui-ci, le fait que nos ancêtres aient pu connaître les reptiles géants n’aurait donc rien d’extraordinaire. Pierre d'Ica, Pérou. No comment Sur des dizaines de pierres gravées du Pérou, dites pierres d’Ica, on peut voir des scènes variées présentant des humains en compagnie des dino- saures. Ces pierres ont fait l’objet de forts soupçons de la part de la communauté scientique, et le découvreur, le Docteur Cabrera, avoua les avoir toutes gravées lui-même. S’il avait dit le contraire, on l’aurait con- damné pour vente illégale d’antiquités. Bien sûr, Wikipédia instruit le procès à charge, car Wikipédia est toujours du côté du manche. (source) Fausses ou pas, le lecteur jugera. Mais sur le fait que nos ancêtres aient fréquenté les dinos, aucun doute. L’ancienneté de notre espèce est ahu- rissante. Trop d’artefacts datés de plusieurs centaines de millions d’an- nées en attestent déjà, quand de nouveaux, plus troublants encore, s’ajoutent chaque année, chaque mois, à une liste déjà longue. La dernière trouvaille en date serait une tige métallique manufacturée, voire usinée, datant de l’époque des dinosaures. « Une baguette métalli- que crantée, pressée dans du charbon, a été retrouvée par un habitant de Vladivostok, alors qu’il était en train d’allumer le feu dans sa cheminée. Il a montré son étonnante trouvaille aux scientifiques du Primorié (dont la capitale est Vladivostok). Ils ont conclu, après une analyse scrupuleuse, que l’objet datait d’il y a 300 millions d’années et qu’il avait été fabriqué par un être humain. Ils n’ont cependant pas pu déterminer qui l’avait fabriqué exactement. »(source) L’étrange artefact pressé dans du charbon est loin d’être un cas unique. Le premier objet de ce type, un vase, a été découvert en 1851 au Massa- chusetts lors des explosions des carrières. Ce vase en argent et en zinc pressé dans du charbon remonte à la période du Cambrien, commencée il y a 500 millions d’années. En 1912, en Oklahoma, un petit chaudron de 312 millions d’années a été, lui aussi, trouvé dans du charbon. En 1974, un objet inconnu en aluminium a été découvert dans les grès d’une carrière en Roumanie. La pièce, qui ressemblait à un marteau ou au support d’une des jambes du train d’atterrissage du module lunaire Apollo « n’a pas pu pas être con- fectionnée par un être humain, car elle remonte au Jurassique », ont confes- sé les scientifiques non sans naïveté. La baguette métallique encore incluse dans le charbon est ici titillée par un stylo bille qui nous donne l'échelle" Pour eux, tout ce qui n’est pas conforme à leur credo sacré n’est pas scientifique. On en rirait si la chose n’était pas si tragique pour l’avenir de la connaissance. Dans les articles suivants, le lecteur trouvera l’étude d’un certain nombre de ces artefacts hors d’âge, pour la plupart récusés par les scientifiques oxydantaux.On comprend que toutes ces trouvailles surprenantes laissent les scientifiques sans voix, car elles sapent tous les fondements possibles de la conception de la science moderne. Mais on est gêné par leur mauvaise foi qui préfère l’ignorance à cette douloureuse mais nécessaire remise en question. Dolmen à tête de dinosaure, Inde. Ce sont peut-être les dinosaures qui l'ont construit ?" Dans un tel contexte, l’inexplicable artefact de Vladivostok n’a guère dé- rangé les scientifiques. Le charbon dans lequel cet objet a été trouvé a pu être daté de 300 millions d’années, d’où ils ont conclu tranquillement que la pièce métallique devait avoir le même âge. moebius-pecheur-dentiste A mon tour d’être surpris ! Mais enfin, il n’y avait pas d’homme, d’après la science, il y a trois cent millions d’années ? Exact, répondent-ils, cette pièce métallique n’a donc pas été faite par l’homme. Il est vrai que les savants russes nous ont habitué de longue date à une ébouriffante largeur d’esprit : dans l’affaire des nano-objets de l’Oural, ils ont émis sérieusement l’hypothèse que ces objets usinés minuscules aient pu provenir d’un accident d’ovni. Pour les Russes,l’hypothèse extra- terrestre n’est pas extravagante. Et cette fois encore, ils ont recours à la même explication. Ici l'artefact a été totalement dégagé du bloc de charbon. On observe la régu- larité de la pièce métallique qui l'identifie à un morceau de crémaillère" « Lorsque les scientifiques ont délicatement brisé le charbon, ils ont décou- vert un objet léger et souple d’une longueur de 7 centimètres, composé à 98 % d’aluminium et à 2 % de magnésium. On peut rarement rencontrer de l’aluminium pur dans la nature, donc les chercheurs ont supposé que la pièce a été fabriquée de manière artificielle. D’un autre côté, cet alliage peu commun leur a permis de comprendre com- ment l’objet a pu rester dans un tel état de conservation après tout ce temps. Sous sa forme pure, l’aluminium est recouvert d’une solide couche d’oxydes, qui lui permet de résister à la corrosion. Ainsi, l’alliage d’aluminium à 98 % supporte de hautes températures et un milieu naturel agressif. Oui, nous avons connu les dinosaures. Ils n'étaient pas commodes, dans l'en- semble." Les scientifiques se demandent si cet aluminium vient de l’espace. Grâce à l’étude des météorites, la science a appris l’existence de l’extra-terres- tre aluminium 26 qui se désintègre en magnésium 26. Les 2 % de ma- gnésium présents dans l’alliage prouveraient justement la provenance spatiale de cet objet. Toutefois, d’autres recherches sont nécessaires pour prouver cette hypothèse. La dernière chose qui a étonné les scientifiques est la ressemblance de cette pièce avec une crémaillère. crémaillère moderne. Saisissante similitude... Il est difficile d’imaginer que la nature ait conçu un objet avec six crans parfaits et des intervalles aussi réguliers. De plus, l’espace entre chaque cran est bien large par rapport aux crans eux-mêmes. Il est possible que cette crémaillère fit partie d’un mécanisme complexe.On trouve ce genre de piè- ces dans des microscopes modernes. Comment une pièce si complexe a-t-elle pu être conçue par un être humain il y a plusieurs millions d’années ? »(source) L’article ajoute ceci : « Lorsque l’information sur cette décou- verte s’est répandue, certains ont émis l’hypothèse que la crémaillère appartenait aux OVNIs. Cependant, les chercheurs russes préfèrent ne pas tirer de conclusions hâti- ves et effectuer des études supplémentaires. »(source) L’article est daté de 2013, on attend toujours les conclusions. Mon petit doigt me dit qu’on pourra les attendre longtemps et que la crémaillère gênante finira dans une boîte en carton au fond du débarras où on fourre les archives et le mobilier cassé. Singularités archéologi- ques L'homme a même connu certains dinosaures d'un peu trop près. Décidément, l’étude de notre passé est en bien mauvaise posture. Les spécialistes universitaires se sont fait leur scé- nario, et tout ce qui ne cadre pas avec, ils le rangent dans une boîte marquée « singularité ».Le tour est joué, la singu- larité finira au troisième sous-sol dans sa boîte oubliée sous la poussière. Pour faire exploser cette pratique non-scientifique, j’ai entrepris ici de dresser le catalogue de quelques-unes des singularités archéologiques. Tâche énorme. A vrai dire, tout le site est bâti sur l’effarante somme de singularités que la science récuse sans raison et qui dressent un tout autre tableau de notre fabuleux passé. Je poursuis donc cet inventaire. crâne du type Homo sapiens daté de 30 millions d'années En 1885, dans une mine allemande, un objet cubique a été trouvé dans un bloc de charbon extrait d’une couche datée de 60 millions d’années. L’objet tient dans la main, une rainure profonde en fait le tour à mi-hauteur. Des études ont montré que ce cube de fonte a été coulé dans un moule. Mais la communauté scientifique a décidé de faire comme si cet artefact n’existait pas. Certains chercheurs ont émis des doutes quant à l’authenticité de sa provenance : cet objet ne serait-il pas issu d’une fonderie actuelle ? (source) Mortier et son pilon, 33 à 55 millions d'années En 1890, en Californie, un mortier et son pilon façonnés dans la pierre, des pointes de lances et une hache en silex ont uploads/Geographie/ des-hommes-au-temps-des-dinosaures.pdf

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