1 Le Temps et les lignes de temps ------ Daniel L’un des concepts les moins con

1 Le Temps et les lignes de temps ------ Daniel L’un des concepts les moins connus de l’homme est celui du temps. Une grande partie des progrès en ce qui concerne la nature du temps a été réalisée par l’ingénieur Dewey B. Larson, dans son livre publié en 1959, La structure de l’univers physique 1. Larson affirme que l’espace et le temps sont simplement les aspects d’un rapport réciproque qu’il qualifie de mouvement 2, n’ont pas d’autre sens, et ne peuvent exister indépendamment en dehors de cette relation. Il a souvent établi l’analogie avec une boite dont l’extérieur représenterait l’espace, le temps représenterait l’intérieur et la boite, le mouvement. Si vous avez l’intérieur et l’extérieur, alors vous avez une boite. Si vous avez une boite, alors vous avez l’intérieur et l’extérieur. Si vous avez l’extérieur, alors vous avez l’intérieur. L’intérieur, alors vous avez l’extérieur. Il en est ainsi avec l’espace (l’extérieur), le temps (l’intérieur), et le mouvement (la boite). Les trois concepts sont toujours connectés et ne peuvent pas fonctionner de manière indépendante. La théorie de Larson s’est fait connaitre comme étant le Système Réciproque de la théorie physique. La réévaluation du Système Réciproque, le RS23, souligne l’analogie du concept de l’espace-temps avec le concept asiatique du Ying-Yang, dans lequel l’espace est l’aspect Yang et le Ying est l’aspect temps. Comme on le verra dans le symbolisme Taijitu, le ying et le yang ne peuvent être séparés, tout comme le rapport de l’espace au temps chez Larson ne peut être séparé. Larson est allé un peu plus loin, en observant que toutes les caractéristiques de l’espace doivent également avoir un caractère similaire dans le temps. Dans l’espace, nous voyons une grille spatiale tridimensionnelle coordonnée avec l’horloge du temps. Là-bas, dans la perspective de réciprocité, il doit également exister un royaume qui comprend un temps tridimensionnel coordonné avec l’horloge spatiale. Il se réfère au premier comme étant le "secteur matériel » et au second comme étant le « secteur cosmique », identifié en physique traditionnelle comme l’univers de l’antimatière.4 Le secteur matériel représente notre cadre de référence commun, qui contient les structures observables et mesurables de l’univers. Le secteur cosmique, cependant, demeure inobservable et non mesurable par nos sens physiques, bien que nous puissions voir ses effets sur la manière dont le temps change l’espace, ces effets étant appelés champs de force (champs électriques et magnétiques). Nous ne pouvons voir une ligne de force magnétique avant qu’elle n’interagisse avec un objet matériel, comme la limaille de fer, et modifie son comportement dans l’espace. Donc, dans le modèle du Système Réciproque de l’Univers nous avons deux secteurs différents d’existence : le spatial 3D, secteur matériel de notre expérience commune, et le temporel 3D, secteur cosmique que nous ne pouvons pas percevoir directement, mais qui est toujours là, influençant l’espace. Avec une bonne compréhension du temps, le concept des lignes temporelles peut être compris comme un chemin à travers un paysage temporel en 3D, dans lequel les notions de passé, présent et futur ne sont que des abstractions de ce chemin dans le paysage temporel : ce qui est derrière vous est le passé, là où vous vous tenez est le présent, et ce qui est devant vous est le futur. ________________________________________________________________________ 1The Structure of the Physical Universe is an incomplete work that is currently out of print, superseded by the 3-volume set, Nothing But Motion, Basic Properties of Matter and Universe of Motion. 2Larson originally used “space-time,” and later changed the label to “motion” as not to be confused with the common, coordinate representation of space-time used by conventional physics. 3The Reevalunation of the Reciprocal System of theory, website: http://rs2theory.org 4In the Reciprocal System, it is technically “inverse matter”, not antimatter, since the relation is the multiplicative inverse, not the additive inverse inferred by the prefix, “anti-”. Phoenix III, une investigation de la nature du temps 2 Il s’agissait d’une série d’emails envoyés à David Wilcock pendant la dernière année (2012), qui traitaient d’un certain nombre de sujets relatifs au temps et aux lignes de temps. Vidéo de Projet Camelot : entretien de David Wilcock avec Bill Wood Comme indiqué dans la vidéo : « Bill Wood : Live Q & A »5, Wood en était apparemment aux trousses de tout, mais je peux clarifier un peu les choses qui ont été discutées. Comme le mentionne Wood, ils (le Nouvel ordre mondial) ne comprennent pas le « temps ». En particulier, la distinction entre « l’horloge du temps » et le concept de « temps-coordonné ». Le temps tridimensionnel et son équivalent spatial, ont des coordonnées. Dans le temps coordonné, il y a « l’horloge spatiale » (notre concept de la distance). Wilcock6 mentionne cela à la 45mn, en lorsqu’il parle de déplacement dans des coordonnées de temps, de périmètre de marche, et de conversion en retour à des coordonnées de l’espace, où l’on apparait dans une horloge de temps différente. C’est essentiellement juste et il donne un aperçu de ce qu’est vraiment « l’horloge » – c’est un « facteur d’échelle » que notre conscience utilise afin d’échelonner les coordonnées du temps pour apparaitre comme une distance temporelle – de durée. Le mécanisme pour l’espace est similaire lorsque, en doublant la distance, un objet semble avoir la moitié de sa taille (le transfert par rapport à l’échelle). Les gens du NWO ne comprennent pas cela et essayent d’appliquer des vecteurs temporels 1D à un système temporel 3D – ce qui a abouti à la nécessité d’un dispositif appelé générateur de vecteurs temporels, ou TGV. A peu près à 58 mn, Wilcock déclare que l’objet du TGV était d’aligner les lignes de temps…. Pas exactement, mais il peut les affecter. Le TGV est un dispositif pour naviguer dans le temps 3D, juste comme vous pourriez cibler un objet dans l’espace avec une arme à feu, sauf qu’ils ciblent une coordonnée temporelle. Une fois que vous avez les coordonnées de l’endroit où vous êtes et de l’endroit où vous voulez aller, vous pouvez tracer le parcours de l’un à l’autre – le tunnel 7. Le TGV lui-même, n’est guère plus qu’un instrument d’arpenteur pour le paysage temporel. Si vous deviez cibler un emplacement spatial avec une arme et tirer sur quelque chose, le paysage spatial serait modifié. Il s’agit donc d’envoyer quelque chose à une coordonnée ciblée dans le temps 3D. C’est ce que vous envoyez qui altère la ligne de temps… et non l’orientation des vecteurs. Encore une fois, comme pour l’analogie spatiale, il est facile de faire exploser un bâtiment à distance, mais assez difficile de tirer une « bombe à défaire » pour le remettre à son état d’origine. C’est la même chose dans le paysage temporel. Si vous faites exploser quelque chose là-bas, vous ne pouvez pas le remettre à l’état d’origine parce que le « passé » et le « futur » sont des abstractions, pas des situations réelles. Vous êtes coincés avec la modification. Les structures dans le paysage temporel ne sont pas affectées par ce que nous considérons être l’«horloge du temps » – là-bas, c’est l’«l’horloge de l’espace» qui agit d’une manière analogue à l’horloge conventionnelle 8. Une fois qu’ils ont commencé à déconner dans les coordonnées du paysage temporel, ils sont incapables de défaire ce qu’ils avaient fait et doivent essayer de continuer à manipuler les régions à proximité pour modifier _________________________________________________________________ 5Youtube, “Bill Wood: Live Q&A,” http://www.youtube.com/watch?v=9k7J0RWLFGo 6I introduced David Wilcock to Larson's theories, including coordinate time, back in 2005, so he does have a fundamental understanding of the Reciprocal System. 7Exactly like Daniel Jackson, in the original Stargate movie, described the 7th chevron as the “point of origin.” 8The material sector is based on the space/time relationship, how space changes with respect to time. In the cosmic sector, the situation is reversed: structure is based on the time/space relationship, how time changes with respect to space, hence “clock space.” 3 l’écoulement de l’endroit où ils veulent que les choses aillent. Et commence l’oscillation, qui rebondit d’un côté à l’autre, comme l’a décrit Wood. Ils sont toujours en surcompensation et ont à peu près perdu le contrôle, et ils ont littéralement « détruit » le futur (la partie lointaine du paysage temporel qu’ils ciblaient, pas la causalité). Comme mentionné précédemment, il faut avoir les coordonnées de l’endroit où l’on est avant de pouvoir tracer un parcours vers un autre emplacement temporel. Comme on avait discuté il y a des années avec Wilcock, il s’agissait du ZTR, la Référence de temps Zéro. Cette référence fut établie pour le projet Phoenix III au cours de l’expérience Philadelphie, lorsqu’ils ont renvoyé un bateau en 1943 – la ZTR pour les réalités artificielles est centrée sur 1943 et ils ont une portée de tir d’à peu près 50 ans, pour ainsi dire. Dans le temps, on ne tire pas les structures spatiales – on tire des « ondes », car le royaume du temps coordonné est éthérique – le temps parait solide, parce qu’il est la réciproque uploads/Geographie/ le-temps-et-les-lignes-de-temps-daniel.pdf

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