Souvent remplacé par dérivés organo-----phosphates comme hétérocyclique diazino

Souvent remplacé par dérivés organo-----phosphates comme hétérocyclique diazinon (0,5 L / ha). Le Plantations, lequel produire cacao et café de haute qualité occuper 300 000 et 100 000 hectares 56 C. Defo et al. Respectivement et la quantité totale de pesticides utilisée est d'environ 100,0 (L / ha). Tableau 9 . Eau souterraine Pol dans certaines régions de Cameroun Aquifère Géologie Région Type de polluant / plage La source Auteurs Peu profond Profond Volcanique Formations Sud-ouest (Ekondo Titi) (CVL) As (III): 0,2 mg / l 2 mg / l NO3: 2,9 - 17,28 <50 mg / l (QUI) Agriculture (Pamol Plantation). Sédiments des lobes N- engrais (banane Pla ntation). Animal Déchets. Mbotake (2006) Ako et al. (2012) Peu profond Roches basaltiques Nord-Ouest (Ndop) TC: 1,100 UFC / 100 ml pH: 5,89; Le pâturage du bétail. Fosse Latrines Mengnjo et al. (2013) Peu profond Sédimentaire Formations Bassin Benue - Nord (Garoua) TC: 8,19 * E9 CFU / 10 0 ml FC: 3'8 E3 CFU / 100 ml E.Coli: 5,8E1 CFU / 100 ml FS: 3,8E1 CFU / 100 ml Latrines à fosse. Ouvert Décharges. Ouvert Drains Moussa et al. (2013) Bien Sédimentaire Formations Bassin de Douala - Littoral Bactéries hétérotypiques: 2,5 E3 UFC / 100 ml; TC: 1,4E3 - 44E3 CFU / 100 ml FC: 6,03E3 - 29E5 UFC / 100 ml Population élevée densité; latrines à fosse. Réservoirs sceptiques. Pauvres Système de drainage Akoachere et al. (2013) Djuikom et al. (2009) Peu profond Gneiss Centre (Yaoundé) Pb: 0,33 Cd: 0,08 Cr: 1,31 Ni: 0,61 en mg / l CF: 270 - 37E4 UFC / 100 ml; FC: 5 - 35 E2 UFC / 100 ml; FS: 5 - 9,6E3 CFU / 100 ml NH4: 11,02 mg / l> 0,5 ppm (QUI) Échappement automatique. Ruissellement. Déchets des décharges. Agriculture urbaine. Latrines à fosse. Ouvert Drains. Réservoirs sceptiques Defo et al. (2015) Bemmo et al. (1998). Nganti (2012). Kouam Kemogne et al. (2011) Bien Ba roches saltiques Ouest (Bafoussam) NO3: 220,9 mg / l; NH4: 0,7 mg / l FC: 30 - cinq mille UFC / 100 ml TC: 10000 UFC / 100 ml Mauvaise hygiène Système. Agriculture Mpakam (2008) Souvent remplacé par dérivés organo-phosphates comme hétérocyclique diazinon (0,5 L / ha). Le Plantations, lequel produire cacao et café de haute qualité occuper 300 000 et 100 000 hectares 56 C. Defo et al. Respectivement et la quantité totale de pesticides utilisée est d'environ 100,0 (L / ha). Tableau 9 . Eau souterraine poldans certains régions de Cameroon Aquifère Géologie Région Type de polluant / plage La source Auteurs Peu profond Profond Volcanique formations Sud-ouest (Ekondo Titi) (CVL) As (III): 0,2 mg / l 2 mg / l NO3: 2,9 - 17,28 <50 mg / l (QUI) Agriculture (Pamol plantation). Sédiments des lobes N- engrais (banane Pla ntation). animal déchets. Mbotake (2006) Ako et al. (2012) Peu profond Roches basaltiques Nord Ouest (Ndop) TC: 1,100 UFC / 100 ml pH: 5,89; Le pâturage du bétail. fosse latrines Mengnjo et al. (2013) Peu profond Sédimentaire formations Bassin Benue - Nord (Garoua) TC: 8,19 * E9 CFU / 10 0 ml FC: 3'8 E3 CFU / 100 ml E.Coli: 5,8E1 CFU / 100 ml FS: 3,8E1 CFU / 100 ml Latrines à fosse. ouvert décharges. ouvert drains Moussa et al. (2013) bien Sédimentaire formations Bassin de Douala - Littoral Bactéries hétérotrphiquesa: 2,5 E3 UFC / 100 ml; TC: 1,4E3 - 44E3 CFU / 100 ml FC: 6,03E3 - 29E5 UFC / 100 ml Population élevée densité; latrines à fosse. réservoirs sceptiques. pauvres système de drainage Akoachere et al. (2013) Djuikom et al. (2009) Peu profond Gneiss Centre (Yaoundé) Pb: 0,33 Cd: 0,08 Cr: 1,31 Ni: 0,61 en mg / l CF: 270 - 37E4 UFC / 100 ml; FC: 5 - 35 E2 UFC / 100 ml; FS: 5 - 9,6E3 CFU / 100 ml NH4: 11,02 mg / l> 0,5 ppm (QUI) Échappement automatique. ruissellement. déchets des décharges. agriculture urbaine. Latrines à fosse. ouvert drains. réservoirs sceptiques Defo et al. (2015) Bemmo et al. (1998). Nganti (2012). Kouam Kemogne et al. (2011) bien Ba roches saltiques Ouest (Bafoussam) NO3: 220,9 mg / l; NH4: 0,7 mg / l FC: 30 - cinq mille UFC / 100 ml TC: 10000 UFC / 100 ml Mauvaise hygiène système. agriculture Mpakam (2008) SUJET 2 : SOURCES DE POLLUTION ET LEUR IMPACT SUR LES EAUX La pollution de la ressource en eau se caractérise par la présence de micro-organismes, de substances chimiques ou encore de déchets industriels. Elle peut concerner les cours d’eau, les nappes d’eau, les eaux saumatres mais également l’eau de pluie, la rosée, la neige et la glace polaire. A. Les sources de pollutions Cette pollution peut avoir des origines diverses :  La pollution industrielle : avec les rejets de produits chimiques comme les hydrocarbures ou le PCB rejetés par les industries ainsi que les eaux évacuées par les usines  La pollution agricole : avec les déjections animales mais aussi les produits phytosanitaires/pesticides (herbicides, insecticides, fongicides) contenus dans les engrais et utilisés dans l’agriculture. Ils pénètrent alors dans les sols jusqu’à atteindre les eaux souterraines.  La pollution domestique : avec les eaux usées provenant des toilettes, les produits d’entretien ou cosmétiques (savons de lessives, détergents), les peintures, solvants, huiles de vidanges, hydrocarbures…  La pollution accidentelle : avec le déversement accidentel de produits toxiques dans le milieu naturel et qui viennent perturber l’écosystème  Métaux lourds Les métaux lourds réglementés sont les suivants : le plomb (Pb), le mercure (Hg), l’arsenic (As), le cadmium (Cd) et le nickel (Ni). Ils proviennent principalement d’activités industrielles (métallurgie, chimie, procédés, …), mais aussi pour certains du chauffage résidentiel et du trafic routier (véhicules diesel catalysés).  NH3 (Ammoniac) Ce polluant est surtout lié aux activités agricoles (rejets organiques de l’élevage, épandage de fertilisants). C’est un précurseur de particules. Plus de 90% des émissions d’ammoniac ont pour origine l’agriculture. Une petite part des émissions totales est imputable au trafic routier du fait de l’usage des véhicules équipés de catalyseurs. Au Cameroun l’ensemble des principaux polluant rencontrés dans les régions est regroupé dans le tableau suivant (source :Célestin Defo et al 2016) : B. IMPACT SUR LES EAUX : La qualité de l’eau a un impact direct sur l’état des milieux aquatiques, tant sur la faune que sur la flore. Le bon fonctionnement des écosystèmes* dépend de la qualité de l’eau dans laquelle ils se trouvent, l’équilibre des milieux aquatiques étant très fragile. 1. L’eutrophisation des milieux L’eutrophisation est l’ensemble des symptômes que présente un écosystème aquatique à la suite d’un apport excessif de nutriments - en particulier le phosphore et l’azote - d’origine humaine (en savoir plus sur l’azote et le phosphore). L’apport de substances qui contiennent ces nutriments - comme par exemple les nitrates et les phosphates - stimule fortement la croissance des organismes végétaux, entraînant le développement soudain de plantes ou d’algues, qualifié de “prolifération végétale”. Ce phénomène est accentué par les températures élevées, l’abondance de lumière et le faible renouvellement de l’eau. Les proliférations végétales impactent les milieux et leur biodiversité. Elles entraînent une augmentation de la consommation d’oxygène, notamment la nuit (par la respiration des végétaux) ou lorsque des grands volumes de plantes se décomposent. Des mortalités soudaines d’organismes vivants peuvent alors se produire à cause d’un manque d’oxygène. L’eutrophisation peut aussi avoir des conséquences sur la santé : certaines espèces d’algues proliférantes produisent des toxines dangereuses, et peuvent par exemple nécessiter l’interdiction de la baignade en cas de prolifération (cas des cyanobactéries). De plus, la décomposition de volumes importants de plantes mortes produit des gaz toxiques : c’est un phénomène régulièrement observé sur les plages des eaux côtières victimes de l’eutrophisation (cas des algues vertes). 2. Les mortalités liées aux altérations de la physico-chimie Les altérations physico-chimiques sont des modifications des caractéristiques des milieux, comme la salinité, l’acidité ou la température de l’eau. Passé un certain seuil, ces modifications deviennent toxiques pour les organismes vivant dans le milieu. Parmi tous les paramètres qui constituent la physico-chimie, l’oxygène est particulièrement déterminant pour la faune et la flore. Une quantité d’oxygène dissous trop faible pour assurer la vie des êtres vivants est qualifiée d’hypoxie. L’anoxie est le stade ultime, où il n’y a plus d’oxygène dissous dans l’eau. Les épisodes d’hypoxie peuvent être la conséquence d’un apport trop important de matières organiques (en savoir plus sur les matières organiques). Celles-ci sont dégradées par les bactéries du milieu, qui consomment l’oxygène dissous dans l’eau lors de ce processus. Les phénomènes d’hypoxie et d’anoxie ont de lourds impacts sur la biodiversité, essentiellement du fait des épisodes de mortalités qu’ils provoquent. Les poissons sont particulièrement touchés, mais globalement tous les animaux et les plantes pâtissent d’un manque d’oxygène. De nombreux autres paramètres physico-chimiques sont déterminants : par exemple, de nombreux organismes d’eau douce (poissons, amphibiens, etc.) ne sont pas capables de survivre à une salinité supérieure à 3 grammes de sel par litre d’eau. uploads/Geographie/ sujet-2-dr-defo.pdf

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