Conservatoire National des Arts et Métiers Se former dans les métiers du BTP De

Conservatoire National des Arts et Métiers Se former dans les métiers du BTP Des diplômes de Licence à Ingénieur Formations Hors Temps de Travail et à Distance Une organisation en Unités d’Enseignement UE Le système est composé d’Unités d’Enseignement. Chaque UE a une valeur définie en crédits ECTS (European Credit Transfert System) et correspond au nombre d’heures de travail (cours, TD, travail personnel, mémoire…) que l’audi- teur doit fournir pour obtenir son UE. En plus des UE, de nouvelles unités apparaissent dans la description des diplômes : les Unités d’Activité (UA). Strictement rattachées à un diplôme, elles expriment des apprentissages, complémentaires aux UE, tels que : pro- jet, séquence, test d’anglais, expérience professionnelle… Comme pour les UE, des crédits sont comptabilisés pour les UA. Les formations proposées au Cnam Picardie Les diplômes LMD : Pour inscrire son offre de formation dans un contexte international et l’insérer dans le contexte européen de l’harmonisation des diplômes, le Cnam met en place le dispositif LMD, c’est-à-dire Licence Master Docto- rat correspondant à bac+3, bac+5, bac+8. Les titres professionnels : L’homologation des diplômes est remplacée par un nouveau dispositif le « Registre National des Certifications Professionnelles », RNCP. Les diplômes inscrits au RNCP bénéficient de la reconnaissance de l’État. A chaque diplôme correspond un niveau de qualification et des débouchés spécifiques. Les diplômes d'établissement : le Diplôme de Premier Cycle (DPC) et le Diplôme de Premier Cycle Technique (DPCT) correspondent au niveau III (Bac+2). Le Diplôme d’Études Supérieures Techniques (DEST) et le Diplôme d’Études Supérieures Appliquées (DESA) correspondent au niveau II (Bac+4). Tous, sont des diplômes d’établissement. Les certificats d’établissement : les certificats profession- nels et les certificats de compétence sont des formations courtes et à caractère professionnel. Ils répondent à des besoins spécifiques exprimés par les entreprises. Une organisation en semestre Semestre 1 : Du 8 octobre 2012 au 9 février 2013. Semestre 2 : Du 4 mars 2013 au 22 juin 2013. Sommaire Se former dans le secteur industriel Les parcours de formation Licence Ingénierie des Travaux du BTP Responsable de travaux BTP Ingénieur spécialité construction et aménagement parcours travaux Tarif des formations Financements La V.A.E en 8 questions Page 3 Page 4 Pages 5 et 6 Pages 7 et 8 Pages 9 à 11 Page 12 Pages 13 et 14 Page 15 2 QUELQUES EXEMPLES D’INTITULÉS DE POSTES OU FONCTIONS : Ingénieur (sciences et techniques du vivant, bâtiment, de production, énergétique, mécanique, instrumentation mesure et contrôle industriel, matériaux, recherche/développement, informatique industrielle...) • Hygiéniste du travail et de l’environnement • Ma- nager en qualité, sécurité et environnement • Responsable en production automatisée • Logisticien industriel (supply chain) • Conseiller (en énergie, électrotechnique et développement durable, en instrumentation, contrôle qualité) • Responsable mainte- nance industrielle, méthodes, de production • Chargé d’affaires (spécialisé BTP, industrie...)... Se former dans le secteur industriel pour quels métiers ? Marché de l’emploi L’industrie emploie un salarié français sur six, soit 4 millions de personnes au sein de quelque 170 000 entreprises. Les pays dé- veloppés connaissent cependant de véritables mutations dans le secteur industriel, confrontés aux conjonctures économiques fluctuantes et aux délocalisations vers des pays à faible coût de main d’oeuvre. Cependant certaines branches industrielles se res- tructurent et entament une nouvelle croissance : l’industrie aéronautique offshore, métallurgique, ferroviaire, pharmaceutique... Les postes peu qualifiés sont les premières victimes des mutations et des évolutions de productivité. En revanche, la proportion de cadres et techniciens qualifiés continue de croître. Certaines entreprises, comme en mécanique, ont des difficultés à attirer des ingénieurs en production. Les branches très innovantes, comme l’aéronautique ou l’énergie, ont un besoin important en ingénieurs «études et le développement». De même les spécialistes en mécanique ou électrotechnique sont très recherchés, ainsi que les techniciens formés aux techniques industrielles. 4 4 Infos métiers L’industrie ouvre ses portes à de multiples compétences scientifiques, techniques souvent couplées à des qualités humaines et managériales. Les définitions de fonctions et les responsabilités exercées dans les métiers de l’industrie sont multiples. Participer à la conception des énergies nouvelles, mettre au point des emballages bio-dégradables ou des tissus indéfroissables ne requièrent à l’évidence pas les mêmes formations et les mêmes profils de personnalité que de régler les problèmes d’organisation de la production, tech- niques, de maintenance ou de logistique dans les ateliers. A titre d’illustration • Les ingénieurs de production ont pour mission de mener à bien les opérations de fabrication du produit dans le respect des contraintes de coûts, qualité et délais. Ils s’impliquent souvent dans la mise en oeuvre de nouveaux modèles de développement industriel et coopèrent de ce fait avec les spécialistes en charge des systèmes d’information, de la logistique et de la supply chain... dans l’entreprise. • Les ingénieurs en informatique industrielle participent à la modernisation et à l’automatisation de tâches industrielles ou scien- tifiques, en créant des outils destinés à modéliser, simuler ou calculer la résistance de matériaux. Ils sont amenés à rationaliser les chaînes de production, à créer des interfaces hommes-machines ou à concevoir de nouveaux modes opératoires. • Les cadres de direction de service technique coordonnent l’ensemble des services connexes à l’activité de l’entreprise (services généraux, maintenance, logistique, équipements...) et à ce titre définissent la stratégie des services non productifs de l’entreprise ou de l’établissement (immobilier, maintenance...). Ils garantissent la disponibilité des moyens techniques (bon fonctionnement des appareils, sécurité des hommes et des bâtiments...), s’assurent de l’application réglementaire en matière d’hygiène, sécurité, environnement... 3 Sortez avec un Bac + 3 Licence Ingénierie des Travaux du BTP diplôme d’état Bac + 3 Responsable de travaux BTP Titre RNCP niveau II Bac +4 Ingénieur spécialité construction et aménagement parcours travaux Diplôme d’état Bac +5 Sortez avec un Bac + 4 Sortez avec un diplôme d’ingénieur Avec un Bac + 2, le Cnam en Picardie vous offre la possibilité de : - Poursuivre votre formation et valider un diplôme d’état Bac + 3. - Poursuivre après ce Bac + 3 et valider un diplôme Bac + 4. - Poursuivre après ce Bac + 4 jusqu’au diplôme d’ingénieur. A chaque étape, vous avez la possibilité d’arrêter votre cursus en validant un diplôme ou de poursuivre votre cursus en validant un diplôme plus élevé. Continuez en Bac + 4 ou 4 Continuez en diplôme d’ingénieur ou 4 Pour connaître nos conditions consultez nos conseillers formation. Accès après un Bac Accès après un Bac Accès après un Bac Accès après un Bac + 2 Accès après un Bac + 2 Accès après un Bac + 2 Accès après un Bac + 3 Accès après un Bac + 3 Accès après un Bac + 4 4 Licence Ingénierie des Travaux du BTP Diplôme d’état Bac + 3 LG035p2 Objectifs : Le premier objectif de la licence est de per- mettre aux élèves du Cnam en situation professionnelle de poursuivre leurs études en cycle ingénieur. Le second objectif du parcours Ingénierie des Travaux du BTP est de former des cadres techniques intermédiaires des entreprises de construction. Publics / conditions d'accès : La formation est destinée aux conducteurs de travaux, aux techniciens de bureaux d'études, aux contrôleurs techniques ainsi qu'à tous les professionnels du BTP exerçant une activité de préparation technique et de conduite de travaux. Conditions d'accès en Licence L3 1) Sans condition - BTS Bâtiment ou Travaux Publics - DUT Génie Civil option Bâtiment ou Travaux Publics - Diplôme de projeteur d’études de niveau III du Cnam (DIE13) - Formation équivalente de niveau III 2) Avec une remise à niveau spécifique en technologie des structures. - Diplôme de conducteur de travaux de niveau III du Cnam (DIE12) - BTS Économie de la construction - Formation équivalente de niveau III 3) Avec une remise à niveau spécifique en technologie des structures et en sciences. - Licence L2 d’architecture - Formation équivalente de niveau III 4) Avec une remise à niveau générale en technologie de la construction. - L2 ou Niveau III dans le domaine des sciences et techniques industrielles Compétences : - Mobiliser les ressources d'un large champ de sciences fondamentales - Maîtriser le champ scientifique et technique de la spécialité. - Prendre en compte des enjeux industriels, économiques et professionnels : compétitivité et productivité, innovation, propriété intellec- tuelle et industrielle, respect des procédures qualité, sécurité. - Respecter les valeurs sociétales : connais- sance des relations sociales, environnement et développement durable, éthique. - Maîtriser les enjeux de la construction durable. - Mettre en oeuvre une veille technologique et réglementaire dans un contexte européen. Rédiger un mémo technique et communiquer. - Réceptionner et étudier le dossier technique transmis par l’architecte et étudier la faisabi- lité de l’ouvrage du point de vue de sa structure et des moyens techniques à mettre en oeuvre pour le réaliser. Étudier les détails techniques du projet. - Modéliser la structure à partir du dossier de consultation des entreprises (DCE) et en particulier des plans d’architecte. - Calculer les sollicitations et les contraintes agissant sur la structure modélisée en utili- sant les théories de la mécanique des milieux continus et de la résistance des matériaux. - Concevoir, dimensionner et vérifier une structure et uploads/Industriel/ 2014-htt-btp.pdf

  • 17
  • 0
  • 0
Afficher les détails des licences
Licence et utilisation
Gratuit pour un usage personnel Attribution requise
Partager