Dénonciation de m adam e M inette LIBOM LI LIKENG, et de m essieurs BIYITI BI E

Dénonciation de m adam e M inette LIBOM LI LIKENG, et de m essieurs BIYITI BI ESSAM , David NKOTO Em ane, et Com pagnie. Par M . Ondoua Ella G., IPTT Hors Echelle. P a g e 1| 101 ONDOUA ELLA Godfroid Yaoundé, le29 octobre 2018. Ingénieur Principal des Travaux des Télécom m unications Tél : 6 76 00 79 91 e-m ail : ondouaeg@ hotm ail.com ondouaeg@ yahoo.fr. A M adam e la Procureure Générale Près Le Tribunal Crim inel Spécial, Yaoundé. Objet : Dénonciation de m adam e M inette LIBOM LI LIKENG, et de m essieurs BIYITI BI ESSAM , David NKOTO Em ane, et Com pagnie. M adam e la Procureure Générale, Au m om ent où le Chef de l’Etat s’apprête à entam er un nouveau m andat de sept (07) ans à la tête d’un pays déjà fortem ent confronté à de nom breux problèm es, d’ailleurs pour la plupart consécutifs à la m al- gouvernance érigée en m ode de gestion des affaires publiques par une bonne frange de ses collaborateurs véreux, trop occupésqu’ils sont à dilapider la fortune publique pour daigner se soucier, un tant soit peu, de son passage à la postérité, le m om ent venu, et encore m oins du devenir de ce pays, Nousnous en voudrions de ne pas venir auprès de votre hauteinstitution, une fois de plus, dénoncer les agissem ents hautem ent répréhensibles des m is en cause à divers degrés (M inpostel, M inepat, M infi, Cam tel, Cam post, ART, ANTIC, Exim Bank of China, Huawei, China Unicom , etc.) et ce, m êm e si les nom breuses dénonciations antérieures tardent à être suivies d’effets palpables, lesconcernés continuant, plus que jam ais, à pratiquer allègrem ent leur sport favori, à savoir le pillage systém atique des caisses publiques, une situation susceptible d’allers’aggravant, au fil du tem ps, surtout si des actions d’envergure ne sont pas m ises en œ uvrepour m ettre définitivem ent un term e à une telle philosophie, qui hypothèque sérieusem ent les chances de survie m êm e de notre pays, sa capacité à rester un et indivisible m ise à part. En effet, si la situation antérieure venait à se perpétuer, il est fort à craindre que le septennat susvisé ne finisse par se term iner par un cuisant échec et que, l’exacerbation de l’endettem ent de l’Etat, com binée à celle de la m al-gouvernance, ainsi qu’aux effets pervers qu’engendre inéluctablem ent un tel clim at, ne finissent par contribuer au basculem ent de notre pays dans un chaos indescriptible, à unhorizon qui n’est pas si lointain. Raison de plus pour nous de solliciter instam m ent de nouveau l’intervention de la noble institution que constitue la Justice, afin qu’elle consente enfin à jouer pleinem ent son rôle, en m ettant hors d’état de nuire desindividus qui m ettent sérieusem ent à m al la cohésion sociale, offrant enfinde ce faitla possibilité au Chef de l’Etat, son Excellence m onsieur Paul BIYAqui, débarrassé enfin de telles brebis galeuses et, si possible, de bien d’autres, pourrait enfin avoir l’opportunité de transform er concrètem ent son nouveau septennat en celui « des grandes réussites », l’action com binée et soutenue des concernés et de leurs sem blables ayant jusque-là eu un im pact significativem ent négatif sur son œ uvre, la plupart des projets par euxm is en œ uvre«sur très hautes instructions du Chef de l’Etat »jusque-là ayant, au m ieux, connu des retards et/ou surcoûts considérables, quandilsne se term inaient pas tout bonnem ent par des échecs retentissants à l’instar, justem ent, dela presque totalitédes projets engagés dans le dom aine despostes et télécom m unications (CTPhone, Backbone national en fibre optique, projet CAB, GSM CAM TEL, Télécentres Com m unautaires Polyvalents, RASCOM , NBN, Points d’Echange Internet de Yaoundé et Dénonciation de m adam e M inette LIBOM LI LIKENG, et de m essieurs BIYITI BI ESSAM , David NKOTO Em ane, et Com pagnie. Par M . Ondoua Ella G., IPTT Hors Echelle. P a g e 2| 101 Douala, câble sous-m arin Nigeria - Cam eroun (NCSCS), câble sous-m arin Cam eroun - Brésil (SAIL), Push-To-Talk, etc.), dont il sera largem ent question dans la suite de la présente contribution citoyenne. La présente dénonciation, qui m ontre particulièrem ent du doigt certaines structures étatiques nationales et chinoises (M inpostel, M inepat, M infi, Cam tel, Cam post, ART, ANTIC, Exim Bank of China, Huawei, China Unicom , etc.),s’inspire largem ent d’une analyse critique par nous faite, dans le but de faire ressortir quelques-unes des curiosités et/ou contrevérités contenues dans la publication du M inpostel intitulée Postes, télécom m unications et tic : les précieux acquis du septennat. Elle com porte principalem ent deux (02) articulations, à savoir : 1) La dénonciation d’actes hautem ent répréhensibles présentés dans ce bilan du septennat sous les oripeaux d’actes de prom otion du développem ent de l’économ ie num érique ; 2) L’analyse point par point certains aspects dudit docum ent. I. De la dénonciation d’actes hautem entrépréhensibles présentés dans ce bilan du septennat sous les oripeaux d’actes de prom otion du développem ent de l’économ ie num érique Nous nous attardons dans cette section sur certains aspects dudit docum ent, histoire d’attirer l’attention de la Justice de notre pays sur la face cachée d’une publication élaborée dans le but inavoué de faire m iroiter au contribuable, sous les oripeaux de nobles actions destinées à faciliter le développem ent de l’économ ie num érique dans notre pays, des actes qui en réalité lui sont parfois hautem ent préjudiciables, entre autres à travers : 1. La m ise en œ uvre d’infrastructures à la précarité légendaire, et totalem ent incapables de contribuer au développem ent du pays dans des proportions en adéquation avec les sacrifices financiers consentis par le contribuable, à l’instar du génie civil d’accueil de réseaux optiques hauts débits des projets telsque leBackbone national en fibre optique, l’interconnexion des BTS de CAM TEL, le projet «e-POST», leprojet CAB, le «Program m e NBN», etc. ; 2. La m ise en œ uvre duprojet Central African Backbone (CAB), dans laquelle plusieurs dizaines de m illiards de FCFA ont été dilapidés (voir ci-dessous), sans que quiconque ne soit vraim ent capable de déterm iner à quoi auront été consacrées les som m es astronom iques en jeu, étant par ailleurs entendu que l’essentiel des infrastructures optiques y relatives auront été m ises en œ uvre dans le cadre du projet Backbone National en fibre optique; 3. La dégradation prém aturée de l’ensem ble des axes routiers bitum és le long desquels la fibre optique a été posée par CAM TEL, du fait du non-respect systém atique des règles de l’art dans la réalisation des infrastructures de génie civil y relatives et ce, en dépit des innom brables sonnettes d’alarm es par nous officiellem ent tirées qui, naturellem ent, n’ont pas donné lieu à la prise de la m oindre m esure conservatoire pour éviter un tel désastre économ ique et social à notre pays. Résultat des courses, l’Etat va devoir reprendre, à zéro, le bitum age de l’ensem ble de son réseau routier, enregistrant du m êm e coup un terrible bond en arrière dans son développem ent, et devoir en outretrouver, d’ici là, le m oyen de gérer le ressentim ent des populations qui em pruntent lesdites routes qui, soit dit en passant, est susceptible de générerun m écontentem ent social généralisé. C’est aussi cela la rançon de l’autism edes pouvoirs publics; 4. La m ise en œ uvre des Points d’Echange Internet (IXP)de Yaoundé et Douala, pour un coût total déclaré de1,417 m illiards de FCFA, une surfacturation m ém orable qui dém ontre, si besoin en était, la farouche déterm ination des intéressés à profiter de la m oindre opportunitépour piller allègrem ent les caisses publiques; Dénonciation de m adam e M inette LIBOM LI LIKENG, et de m essieurs BIYITI BI ESSAM , David NKOTO Em ane, et Com pagnie. Par M . Ondoua Ella G., IPTT Hors Echelle. P a g e 3| 101 5. La m ise en œ uvre de télécentres com m unautaires polyvalents, dont l’échec est tellem ent cuisant, que leM inpostel n’y fait m êm e pratiquem ent plusallusion dansledit bilan, en dépit des plus de 10 m illiards de FCFA qui y ont été dilapidés ; 6. La spoliation de notre pays des m aigres ressources financières qu’il arrive tant bien que m al à générer, au m oyen de projets abusivem ent surfacturés, et totalem ent im possibles à rentabiliser, au point de contraindrele Chef de l’Etat à aller solliciter uneannulation pure et sim ple de la dette colossale et totalem ent économ iquem ent injustifiable par eux générée, tel que cela vient d’être le cas lors de sa dernière visite officielle en Chine ; 7. La dégradation continue de la qualité de service chez l’ensem uploads/Ingenierie_Lourd/ denonciation-de-madame-minette-libom-li-likeng-et-de-messieurs-biyiti-bi-essam-david-nkoto-emane-et-compagnie.pdf

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