Effet indésirable des pesticides : Prise de note : Les effets indésirables des

Effet indésirable des pesticides : Prise de note : Les effets indésirables des pesticides sur l’environnement, la santé humaine, animale, végétale, faune, flore, le sol. Objectif de notre travail : Avoir l’opportunité de découvrir les effets néfastes occasionner par l’application des pesticides et leur produit de dégradation lors des sites cibles. Introduction : L’usage des pesticides ou produits phytosanitaires a contribué à l’essor considérable des rendements et de la production agricole ces dernières années. Ils ont même aidé à la santé publique dans leur élimination de certain insecte vecteur de la maladie parasitaire. Ils se sont réveillés efficace pour lutter contre les mauvaises herbes champignonnes ou insecte nuisible. Cet usage excite et systématique et aujourd’hui remis en coure avec le développement de résistance au pesticides chez les maladies ou les organismes que l’on souhaite combattre mais plus préoccupants : atteinte avec écosystème et à l’homme. Certaines pesticides sont seraient responsable de disparition d’espèce d’insecte, d’autre provoque des trouble de la reproduction. Une parte du patrimoine végétal et animal. Ils sont un effet sur le changement climatique. Chapitre I : effet des pesticides sur les insectes utiles. Les pesticides peuvent avoir des répercussions majeures sur les insectes utiles, notamment sur les pollinisateurs et les insectes prédateurs. Exemple : près de 80% des insectes ont disparus en moins de 3 ans en Europe selon une étude allemande. D’après des études scientifiques en moyenne seulement 10% de substance actif va être absorbé par la plante, les 90% restant sont rejeté dans le sol. Contamination durable de terre, contamination des nappes phréatiques. 1. effet sur les insectes pollinisateurs : a) mode de contamination : Les pesticides permettent différents chimies pour atteindre leur cible, ils peuvent traverser le tégument des insectes lorsque ceux-ci se trouvent sur le jet d’un appareil du traitement ou lorsqu’ils marchent sur les résidus du produit déposé sur les végétaux et aussi ils sont également ingérés lors de la consommation de nectar contaminée ou bien lorsque les abeilles consomment de l’eau ou de miellat du puceron pollué. Il existe un autre mode de contamination c’est le transport au nid par les butineuses donc elles vont transporter des aliments pollués soit au adulte soit des larves soit des reines. b) effet sur le comportement et la reproduction des pollinisateurs : Généralement les pesticides sont neurotoxique, qui même à des très faible doses agissent sur le système nerveux des insectes, ce qui va attirer durablement leur comportement, capacité de reproduction, faculté d’apprentissage, réduction de la capacité olfactive. Exemple : une étude mené par une équipe de chercheur du centre de l’INRA, CNRS ils sont déposés des puces (RD) RFID radio fréquence identification sur 650 abeilles fonctionnant comme des codes-barres individuelle lors du posage dans la ruche, elle-même mené d’un capteur. Elle sont été ensuite nourrit soit d’une simple solution sucrée soit d’une simple solution sucrée compilé a une très faible dose insecticide et placé à un Km distance habituelle de leur ruche, on comparant les proportion de retour à la ruche des 2 groupes des abeille, les chercheurs ont contacté que l’ingestion de pesticide provoque un phénomène de désorientation chez les abeille. L’intoxication aboutie à une mortalité journalière de 25% à 50% chez les butineurs toxiques. La disparition des abeilles et d’autres insectes pollinisateurs aurait un impact catastrophique sur l’agriculture mondiale, diminution de la production donc augmentation des prix alimentation. N.B : Albert Einstein si l’abeille disparait de surface du globe l’homme n’aurait plus que 4 ans d’année à vive. C. les symptômes typiques d’empoisonnement : Dépeuplements rapides des nids suite à la mort des adultes et des larves. Réaction sublétale par l’hyperactivité (désorientation). Baisse la fécondité des femelles Longévité des ouvrières (abeille réduite) Une capacité de produire des reines nécessaire à la multiplication d’espèce. Chapitre II : effet des pesticides sur les organismes non-cibles 2.1 organisme non cible : La faune non-cible et composé dans une région donnée de toute les animaux vivants qui ne font pas l’objet d’une compagne de lutte, ces animaux peuvent être des mammifères, reptiles, oiseaux ou encoure des poissons mais aussi tous les arthropodes. 2.2 Mode d’exposition des insectes non-cible : Il existe de multiple voix d’exposition chronique et aigues pour de nombreux organisme non-cible le risque porte sur une réduction de la biodiversité en générale et plus particulièrement sur la réduction de population des insectes utiles. 2.2.1 contacte directe : a) retombée directe des pesticides a la surface des plantes : *La plante réagie à la pollution atmosphérique en produisant des dérivés réactifs de l’oxygène. Après pénétration dans les feuilles et comme la majorité des stresse biotique et abiotique les polluants sont d’abord entraine chez la plante un stress oxydatif. Correspondent à une agression des cellules par des radicaux libre (espèce réactif de l’oxygène = ERO) car les radicaux libre sont produites en permanence dans l’organisme à partir de l’oxygène dans la cellule au niveau de la mitochondrie (chaine respiratoire). Le ERO sont très toxique si ils ne pas libérés par la plante ce qui va provoquer un vieillissement de la plante. * le qui va générer des dégâts visible et invisible diminution de la taille, baisse de rendement, mort cellulaires, ces dégâts vont provoquer un impact sur les relations plante-insecte. Perturbation de la localisation et la reconnaissance des plantes par les insectes (pollution atmosphérique entraine souvent une modification de la couleur des plantes). Perturbation aussi de la communication chimique entre plante et insecte (médiateur chimique). Ex : certaine polluant comme l’ozone perturbe la relation plante- insecte par l’effet physiologique sur l’émission des terpènes limiter par la fermeture des stomates. b. exposition par voie aérienne : Les études ont montré que l’exposition au pesticide de l’aire plus forte à proximité des exploitations agricole et quel décroit avec la distance aux lieux dépendage. Des résidents proches des lieux de l’utilisation des pesticides peuvent être exposés l’inhalation due à la diffusion et la volatilisation des composées de moments de l’application ou bien par remobilisation de puis les départe de sol. Afin de limiter de l’exposition des pesticides de l’aire on peut faire ce qu’on un objet d’aménagement aux limite des zones résidentielle : les haies qui peuvent constituer des barrières protectrices de migration aérienne des pesticides et aussi des refuges de la biodiversité. c. exposition par des effets de vapeur : Exemple : la fumigation des serres (bromure de méthyle et la fumigation du sol plus l’utilisation dans les serres) cette fumigation laisse des vapeurs très toxiques et surtout à la préparation des traitements. d. exposition par le sol : Par rémanence : c’est la persistance d’un composée ou d’une molécule dans le sol, les substances peuvent ensuite être remobilisées dans l’aire (certaine pesticide persiste plusieurs année dans le sol). 2.2.2 contacte indirecte : En particulier les effets trophique liée à l’alimentation de faune sauvage, ex : les herbicides en détruisant les mauvaise herbes ont affecté du même coup les espèces animales. Traitement contre les pucerons ont un impact sur la population des prédateurs ou parasites de ces derniers (puceron) on réduit le nombre de pois. Plusieurs études ont montré les conséquences des impacts indirectes de l’utilisation des pesticides, 3 aspectes principaux sont à prendre : Les interactions hôte parasite Les relations proies prédateurs Les polinisateurs Généralité globale : La non sélectivité : rare sont les pesticides qui ont un effet sélective, cible sur une seul espèce ou groupe d’espèce car ils interviennent sur des processus fondamentaux du métabolisme photosynthèse, croissance, reproduction) commun à l’espèce vise et à l’autre espèce. La toxicité de la molécule active et de ces produits de dégradation elle est variable d’un groupe à un autre. La rémanence (persistance après disparition de la cause) la rémanence de la molécule et sa capacité d’accumulation dans la chaine alimentaire (DDT) il est peu ou pas dégradable dans le sol et les milieux contaminés (eaux …) de ce fait ces pesticides vont s’accumuler dans les plantes voire dans les graisse animale donc concentration dans la chaine alimentaire. Chapitre 3 : effets des pesticides sur les communautés animales (terrestres et aquatiques) La faune, mise à part celle visé par les pesticides directement exposée à ces derniers. Comme les animaux vivre dans la nature, ils respirent la vapeur des pesticides et les absorbe à traverse leur peau, de plus ces dernier ingérer les alimentes traités et s’abreuvent de l’eau contaminée. Du fait de la chaine alimentaire les prédateurs de ces animaux exposé aux pesticides peuvent aussi être contaminée vu les propriétés de la bioaccumulation. Donc on peut conclure les effets directes et indirectes du au pesticide : Développement des certaines pathogènes Avoir une fertilité diminuée Perturbation du système immunitaire EX : le système nerveux des animaux sauvage et touché par les insecticides ce qui va affectée leur capacité à vivre ces résidus interfère dans l’appareille génitale et perturbe leur production, ou s’infiltre par le placenta ou encoure les œufs d’oiseaux et reptile causant la male formation ou trouble de l’animale. *Les groupes d’espèces les plus touché : Les espèces aquatiques (poisson, insecte, reptile…) sont aussi fortement exposées à ces uploads/Ingenierie_Lourd/ effet-indesirable-des-pesticides 1 .pdf

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