C’est l’homme du terrain ! Depuis sa baraque de chantier, il organise le travai

C’est l’homme du terrain ! Depuis sa baraque de chantier, il organise le travail quotidien des chefs d’équipe et s’assure du bon avancement de tout ou partie du chantier. Réception des engins et des matériaux, réalisation des travaux, tenue des délais : il a un œil sur tout. Et il vaut mieux car il aura à rendre des comptes au conducteur de travaux, dont il est le bras droit opérationnel, lors notamment des réunions de chantiers. En homme pivot du chantier, le conducteur de travaux coordonne et dirige les travaux. Son but, réaliser une construction de qualité qui réponde aux attentes du client, dans les délais et aux meilleurs coûts. Tout en apprenant à gérer les priorités ainsi que les imprévus. Qu’il exerce dans le bâtiment ou les travaux publics, son travail sur un chantier se déroule en trois phases. D’abord, la préparation des travaux. Une fois le dossier de construction (plans d’architecte, devis, cahiers des charges...) en main, il met au point un planning et prévoit les périodes d’intervention de chaque entreprise sur le chantier. Il s’occupe d’évaluer la quantité de matériels et de matériaux, ainsi que le nombre de gens nécessaires pour achever la construction dans les délais et sans faire exploser le budget. Pendant toute la durée des travaux, il est sans arrêt en vadrouille, naviguant entre les bureaux du client, des fournisseurs ou son bungalow sur le chantier. Là, il coordonne et dirige les travaux en essayant de faire respecter son planning. Il fait face aux imprévus (retards dans les livraisons de matériaux ou dans la réalisation, manque de matériels, de personnel, soucis techniques...). Tout en gardant un œil sur le budget... Enfin, à la réception du chantier, il assiste son supérieur, le directeur de travaux, et se tient déjà prêt à dresser un bilan de son travail.Parfois, il est amené à conduire plusieurs chantiers en même temps. Il est alors épaulé par un ou plusieurs chefs de chantier, qui constituent ses relais permanents sur le terrain. Définition En homme pivot du chantier, le conducteur de travaux coordonne et dirige les travaux. Son but, réaliser une construction de qualité qui réponde aux attentes du client, dans les délais et aux meilleurs coûts. Tout en apprenant à gérer les priorités ainsi que les imprévus ! Qu’il exerce dans le bâtiment ou les travaux publics, son travail sur un chantier se déroule en trois phases. D’abord, la préparation des travaux. Une fois le dossier de construction (plans d’architecte, devis, cahiers des charges...) en main, il met au point un planning et prévoit les périodes d’intervention de chaque entreprise sur le chantier. Il s’occupe d’évaluer la quantité de matériels et de matériaux, ainsi que le nombre de gens nécessaires pour achever la construction dans les délais et sans faire exploser le budget ! Pendant toute la durée des travaux, il est sans arrêt en vadrouille, naviguant entre les bureaux du client, des fournisseurs ou son bungalow sur le chantier. Là, il coordonne et dirige les travaux en essayant de faire respecter son planning. Il fait face aux imprévus (retards dans les livraisons de matériaux ou dans la réalisation, manque de matériels, de personnel, soucis techniques...). Tout en gardant un œil sur le budget... Enfin, à la réception du chantier, il assiste son supérieur, le directeur de travaux, et se tient déjà prêt à dresser un bilan de son travail.Parfois, il est amené à conduire plusieurs chantiers en même temps. Il est alors épaulé par un ou plusieurs chefs de chantier, qui constituent ses relais permanents sur le terrain. Fondation (construction) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Aller à : Navigation, rechercher Pour les articles homonymes, voir fondation. Fondations superficielles(à gauche) et fondations profondes (à droite). Une fondation se définit comme un élément architectural d’un bâtiment qui assure la transmission et la répartition des charges de cet ouvrage dans le sol (poids propre du bâtiment, forces climatiques et surcharges liées à son utilisation). Les fondations d’un bâtiment représente un enjeu essentiel de son architecture, car elles forment la partie structurelle qui s’oppose au tassement et aux infiltrations. Selon la capacité portante, les forces mises en jeu et les tassements admissibles, le constructeur choisira une solution du type fondation superficielle, semi-profonde ou profonde, qui diffèrent par leur géométrie et leur fonctionnement. En dernier recours, si le sol en place ne possède pas les qualités suffisantes pour qu'on puisse y fonder l'ouvrage, des techniques de renforcement des sols sont utilisables. Sommaire [masquer]  1 Dimensionnement des fondations  2 Fondations superficielles o 2.1 Présentation o 2.2 Mise en place de fondations superficielles  3 Fondations profondes et semi-profondes o 3.1 Presentation o 3.2 Mise en place de fondations profondes o 3.3 Mise en place de fondations semi-profondes  4 Renforcement de sol  5 Fondations parasismiques  6 Notes et références Dimensionnement des fondations[modifier] Carte de France déterminant la profondeur des fondations à une altitude de 150 m Les fondations varient selon la qualité du sol sur lequel le bâtiment doit être implanté, ainsi que selon la nature et la taille du bâtiment. Il est fortement recommandé que ce sol soit de bonne portance et peu sujet au tassement. L'ingénieur chargé de l'étude du type de fondation et du niveau d'assise d'un ouvrage est un ingénieur géotechnicien. Selon la hauteur d'encastrement (« D »), c'est-à-dire l'épaisseur minimale des terres qui se trouvent au-dessus de la base de la fondation, et la largeur de la base (« B » ), on peut définir les fondations comme étant :  superficielle si D < 1,5.B  semi-profondes si 1,5.B < D < 5.B  profondes si D > 5.B Historiquement, le dimensionnement des fondations en France devait respecter la norme française DTU 13.12 qui impose un dimensionnement aux états-limites (ELU et ELS). Lorsque l’on définit les situations de calcul et les états-limites, il convient de considérer les facteurs suivants :  les conditions du site en termes de stabilité globale et de mouvements du sol,  la nature et la taille de la structure et de ses éléments, y compris des exigences spéciales comme la durée de vie de calcul,  les conditions relatives au voisinage du projet (par exemple, structures avoisinantes, circulation, réseaux divers, végétation, produits chimiques dangereux),  les conditions de terrain,  l’état des eaux souterraines,  la sismicité régionale,  l’influence de l’environnement (hydrologie, eaux superficielles, affaissements et subsidence, variations saisonnières de la température et de l’humidité) Depuis 1997, les fondations doivent être dimensionnées selon la norme européenne Eurocode-7. Par ailleurs, les cycles de gel-dégel peuvent déstructurer le sol d’assise des semelles de fondation et c’est pourquoi il est impératif de construire les fondations à une profondeur « hors-gel » suffisante. Cette profondeur varie en fonction de la région à laquelle appartient la construction ainsi que de son altitude. La carte ci-contre indique en mètres la profondeur à respecter en France pour atteindre un niveau hors-gel pour une altitude entre 0 et 150 m. Pour chaque 200 m supplémentaires, on ajoute 5 cm à la valeur lue. Selon la capacité portante du sol, les forces mises en jeu et les tassements admissibles, trois types de fondations sont envisageables : superficielle, semi- profonde et profonde. Fondations superficielles[modifier] Article détaillé : Fondation superficielle. Fondation en semelle isolée (sous un poteau) Fondation en semelle filante (sous un mur) Présentation[modifier] Les fondations superficielles forment un type d'assise pouvant être mise en place sur des sols de bonne portance, c'est-à-dire capables de reprendre les charges du bâtiment en entraînant un tassement minimum[1]. Leur simplicité de réalisation et leur faible coût font de ce type de fondation les structures les plus courantes. Selon la structure qu'elles supportent, les fondations superficielles peuvent porter différents noms :  on parlera de plots de fondation ou semelles isolées si elles se trouve sous un pilier ou un poteau,  on parlera de semelles filantes ou linéaires si elles supportent un voile ou un mur,  on parlera de radier si elles forment une dalle posée sur le sol (par exemple comme plancher de sous-sol). Le niveau de sol sur lequel reposent les fondations superficielles est appelé "niveau d'assise", "fond de coffre" ou encore "fond de fouille". Mise en place de fondations superficielles[modifier] Différentes étapes sont nécessaires à la création de fondations superficielles[2] :  Les premières opérations devraient consister par un débrousaillement et un dégazonnement : tous les végétaux de surface (herbes, arbustes, arbres, racines) sont arrachés de la zone d'emprise des travaux et sont évacués hors des limites du chantier (en effet, ces matières végétales sont impropres aux opérations ultérieures de remblai).  Le décapage en découverte : une couche superficielle, dite de « bonne terre » ou de « terre végétale », est retirée puis stockée sur le chantier. Le produit de cette opération de déblai pourra être utilisé, après achèvement des travaux, pour l'aménagement des abords de la construction.  L'implantation : un piquetage de la zone à terrasser est réalisé, en général par le géomètre et/ou le chef de chantier.  Le creusement des fouilles uploads/Ingenierie_Lourd/ fondation-teras 1 .pdf

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