1 Contes et histoires courtes 2 E. hoffma Edward care Giambattista Ahm al-tîfâc
1 Contes et histoires courtes 2 E. hoffma Edward care Giambattista Ahm al-tîfâc Tchingu g aitmato Ken graha Wash irvin Kenneth g hoff Edwar ca 3 Des Mille et Une Nuits au Conte des Contes de Giambattista Basile, trésor de littérature populaire né dans la ville baroque de Naples au xviie siècle ; de la langue sulfureuse et des scènes libertines de La Prairie parfumée, summum de l’érotisme, aux Crimes exemplaires de Max Aub, devenu classique de l’humour noir ; des histoires brèves de Stevenson ou de Washington Irving aux utopies de Topor et au récit de Kenneth Grahame, la forme du conte, et ses dérivés, est universelle. Elle est la genèse de toutes les autres formes de narration : un patrimoine sans cesse à redécouvrir. Contes et histoires courtes . T. A. ann ey Basile mad chî iz E. T. A. hoffmann Edward carey Giambattista Basile Ahmad al-tîfâchî Tchinguiz E. T. A. hoffmann Edward carey Giambattista Basile Ah d E. T. A. hoffmann Edward carey Giambattista Basile Ahmad al-tîfâchî Tchinguiz aitmatov Kenneth grahame Washington irving E. T. A. hoffmann Edward carey Giambattista Basile Ahmad al-tîfâchî Tchinguiz aitmatov Kenneth grahame Washington irving E. T. A. hoffmann E. T. A. hoffmann ov nneth ame hington ng g aitmatov Kenneth grahame Washington irving Ahmad al-tîfâchî Tchinguiz aitmatov Kenneth grahame Washington irving grahame E. T. A. fmann rd rey Kenneth grahame E. T. A. hoffmann Edward carey Edward carey Giambattista Basile Ahmad al-tîfâchî Tchinguiz aitmatov Kenneth grahame Washington irving Edward carey Giambattista Basile Ahmad al-tîfâchî Tchinguiz aitmatov Kenneth grahame Washington irving 4 Le Roman d’Aladin (xie siècle) 222 p. • 9 782 859 408 473 • 8,50 € • n° 117 Traduction intégrale à partir des manu- scrits originaux par René R. Khawam Voici pour la première fois Aladin débarrassé de ses habits d’emprunt et revêtu de son costume d’origine. Et c’est un autre héros, et une autre œuvre qui apparaissent. Car ce texte est à l’évidence antérieur de deux bons siècles aux Mille et Une Nuits, auxquelles il fut par la suite rajouté par erreur. Le génie arabe, alors à son sommet, y parle haut et clair, et le monde s’ouvre largement à l’appétit de connaissance des voyageurs qui font rayonner l’Islam aux quatre coins du monde. L’aventure y trouve son compte et le plaisir de lire aussi : peu de textes offrent une saveur à ce point relevée. Le romanesque oriental convie ici à son plus fastueux banquet. « Tout dans ce conte d’apprentissage, d’initiation si on veut, apparaît comme le rêve d’un monde où la jeunesse et la grâce triomphent des ténèbres. » Christian Giudicelli, Lire -:HSMIPJ=YU]Y\X: quantité: Abou-Moutahhar al-AZDI Vingt-Quatre Heures de la vie d’une canaille (xe-xie siècle) 384 p. • 9 782 752 903 556 • 11 € • n° 277 Édition traduite et présentée par René R. Khawam Nous sommes à Baghdâd, peu après l’an mil des chrétiens. Le raffinement des mœurs s’échappe de l’enceinte des palais et prend racine dans les rues – où la poésie, comme toujours en Orient, tient le haut du pavé. Abou’l-Qâsim al- Tamînî est l’un de ces amoureux des mots. Sa spécialité : brocarder le ridicule en de féroces couplets. Sa profession : insulteur public. Convié dès le matin à la table d’un riche citoyen de la ville pour un banquet qui durera jusqu’à l’aube, notre héros a pour mission de disputer ses compagnons de table, d’épingler les absents, d’égratigner les tartuffes, de ridiculiser les bien-pensants. Sorte de Panurge qui se pique de pratiquer avec art – et sans remords – toutes les formes de débauche et d’impiété, il ne se refuse aucune gourmandise, pas même celle d’un éloge éperdu de la Beauté. Un des ouvrages les plus sulfureux de la langue arabe qui, mille ans plus tard, n’a rien perdu de son feu. « Aux jérémiades des tristes jeteurs de fatwas, préférons les divines insanités du Diogène de Bagdad. C’est un bonheur de voyager aux enfers en sa providentielle compagnie. » André Clavel, Le Temps -:HSMHPC=^UXZZ[: quantité: 5 Les Aventures de Sindbad le Marin (vers 835-840) 256 p. • 9 782 859 407 674 • 9,50z • n° 87 Traduction intégrale à partir des manus crits originaux par René R. Khawam A-t-on vraiment lu Sindbad le Marin ? Si, pour des millions de lecteurs, le nom magique de Sindbad est inséparable de celui de Schéhérazade, c’est grâce à un subterfuge d’Antoine Galland, premier traducteur des Mille et Une Nuits au xviiie siècle. Car les aventures de l’intré- pide marin n’ont jamais fait partie des Nuits. Mieux, le texte qu’en donna Galland, et que tous les éditeurs ont repris après lui, n’est que l’« adaptation », fort édulcorée, d’un roman composé à Baghdâd à la fin du viiie siècle. Ce roman, René R. Khawam en donne ici la première traduction intégrale, établie à partir des manuscrits anciens. Les Aventures de Sindbad le Terrien (vers 800) 288 p. • 9 782 859 408 398 • 9,10 z • n° 114 Traduction intégrale à partir des manus crits originaux par René R. Khawam Composées dès le viiie siècle (le siècle d’or de Baghdâd au temps du khalife Haroun al-Rachid), ces Aventures sont un mélange de rêve et de géographie. À la différence de Sindbad le Marin, qui cherchait à gagner la Chine par la voie maritime, son homonyme le Terrien se lance sur la vieille route de la Soie – non moins fertile en embûches et en merveilles – et traverse les soli- tudes désolées du Ferghana, de la Mongolie et du Sin-Kiang… avant de pousser jusqu’aux rivages du lointain Japon. « “Louanges à Dieu, le Seigneur des Mondes !” dit le conteur quand il a fini de nous narrer les voyages de Sindbad le Marin. Et louanges à ceux qui nous permettent, ici, de les lire ! » Claude Roy, Le Nouvel Observ ateur « Sindbad le Terrien, une lecture pour l’été ? Oui, cela s’impose, mais une lecture aussi pour tous les temps à cause de la charge de poésie des voyages et du rêve de l’inaccessible, de la pure chimère. » Marcel Schneider, Le Figaro -:HSMIPJ=YU\[\Y: -:HSMIPJ=YU]X^]: quantité: quantité: 6 Les Mille et Une Nuits (xiie-xiiie siècle) Édition intégrale traduite et présentée par René R. Khawam « Ancêtre des feuilletons modernes, forme achevée du suspense, Les Mille et Une Nuits, recueil de légendes, sont devenues une légende. » Amin Maalouf, L ’Express -:HSMIPJ=YU\WU^: -:HSMIPJ=YU\WV[: -:HSMIPJ=YU\XU]: -:HSMIPJ=YU\XVZ: On a longtemps lu Les Mille et Une Nuits sous la plume d’Antoine Galland (début du xviiie siècle) qui purgea son texte de toute « inconvenance », ou sous celle du Dr Mardrus (fin du xixe siècle) qui se contenta de traduire la première édition imprimée en arabe par les soins des cheikhs de l’université islamique du Caire, qui avaient châtré le texte au point de le rendre méconnaissable. René R. Khawam, lui, a reconstitué l’œuvre originale en se fondant exclusi- vement sur l’étude des manuscrits antérieurs à l’avènement de l’imprimerie (il y aura passé trente-neuf années). Et c’est une tout autre œuvre qu’il est parvenu à mettre au jour. Une œuvre qui retrouve ses vertus natives : impertinence, âpreté visionnaire, voluptueuse crudité… Dames insignes et serviteurs galants Tome 1 416 p. • 9 782 859 407 209 • 9,90 z • n° 67 Les Cœurs inhumains Tome 2 464 p. • 9 782 859 407 216 • 11,80 z • n° 68 Les Passions voyageuses Tome 3 416 p. • 9 782 859 407 308 • 10 z • n° 71 La Saveur des jours Tome 4 400 p. • 9 782 859 407 315 • 10,50 z • n° 72 quantité: quantité: quantité: quantité: 7 Mouhammad al-NAFZÂWÎ La Prairie parfumée où s’ébattent les plaisirs (xv e siècle) 192 p. • 9 782 752 906 663 • 7,60 z • n° 148 Texte établi à partir des manuscrits ori ginaux par René R. Khawam Aussi fameux que Les Mille et Une Nuits, ce classique absolu de l’éroto logie arabe a été traduit en bien des langues et autant de fois trahi. En fait, toutes les éditions de ce chef-d’œuvre qui circulent de par le monde depuis cent ans ont été réalisées à partir d’un texte fabriqué de toutes pièces, vers 1850, pour complaire à un officier de l’armée française d’Algérie. Fidèle aux manuscrits originaux, cette nouvelle version n’est plus un traité d’éroto logie, mais une œuvre alerte et légère qui mêle considérations inspirées sur l’art de « conjoindre » (et d’en tirer plaisir), sur les mets qui incitent à l’amour, sur la perfidie des femmes, sur la présomption (ou l’indéfendable maladresse) des hommes… Et enfin – et surtout ! – des contes qui enchan- teront tous ceux qui ont goûté la saveur unique des récits érotiques arabes : liberté de ton inconnue en Occident, splendeur des images char nelles, vision déculpabilisée de l’amour sous toutes ses formes. « Un classique de l’érotisme. » Hubert Juin, Le Monde -:HSMHPC=^U[[[X: quantité: Ahmad al-TÎFÂCHÎ Les Délices des cœurs (xiiie siècle) Ce que l’on ne trouve en uploads/Litterature/ bdc-contes-et-histoires-courtes.pdf
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- Publié le Nov 09, 2021
- Catégorie Literature / Litté...
- Langue French
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