Analyse le thème de l’ethnicité dans le roman La peau d’un lion de Michael Onda

Analyse le thème de l’ethnicité dans le roman La peau d’un lion de Michael Ondaatje Selon vous est ce que le roman de Michael Ondaatje a réussit à présenter une vision du passé canada. Si la langue d’une population et les travaux de construction sont témoins de l’évolution du pays, alors l’histoire peut donc être le seul moyen de trouver certains information valable dans des journaux, des récits et évidemment dans des romans. Michael Ondaatje nous brosse dans le roman « la peau d’un lion » un tableau fort appréciable car il n’est pas facile de transcrire, comme il se doit la souffrance d’un peuple aussi bien que la joie d’un individu. En effet, on peut entrevoir le passé du Canada dans l’œuvre d’Ondaatje. D’abord, un tour d’horizon des actants du roman dans « la peau du lion » qui touche ‘l’ethnicité se constituent de Kosta le propriétaire` du restaurant et Nicolas Temelcoff qui sont macédoniens, Caravaggio le gérant de la boulangerie est Italien, Patrick Lewis et Clara Dickens sont Canadien tandis qu’Ambrose Small et Alice Gull sont d’origine inconnu. Il y a donc une diversité des ethnies travaillant sur le sol canadien. Cet document traitera le passé du canada au niveau de la langue et de la construction. Les travaux d‘urbanisation du Canada est un des lieux qui a réuni différente ethnies venu en quête du travail ou fuyant leur pays d’origine, pour chercher bonheur et vie paisible. On rencontre : des fermiers-évidemment des colons, des vachers et des bucherons qui vivent dans une misère incroyable de l’hiver canadien. Ondaatje décrit les travailleurs comme « une escouade silencieuse »1 matinale qui ne font que des « muet rencontre » [p.16]. L’auteur nous 1 ONDAATJE, Michael. » la peau du lion », Edition d l’Olivier, Le Seuil, 2003. p16. donne une idée de la situation sociale sur le lieu de travail. Outre que le travail est dure, l’hygiene environnementale est insalubre a telle point que « certain meurent de pneumonie » [p. 16] parce qu’ils vivent dans des cabanes. C’est-à-dire la vie dans l’Amérique du Nord n’était pas facile, voire que certain n’ont jamais connu la neige. Notamment le problème pulmonaire a sans doute fait plusieurs victimes. L’auteur cite les bucherons vivant dans des bidonvilles qui marchent plus « de trente kilomètres » [p.26] par des températures moins quarante et même moins cinquante degrés » [p. 26] sur des « terre qui leurs sont inconnues [p. 26]. Certes, dans un pays ou il n’y avait pas de moyen de transport la vie n’était pas facile et sans douleurs, surtout de marcher après toute une journée de travail. C’était le début de l’acclimater de immigrés en Amérique du nord. D’abord, le roman mentionne des colons exploiteurs en quête de richesse aussi bien que les immigrants de classe laborieuse sur de site de constructions. Ensuite, Michael Ondaatje met à nue le danger de travailleurs dans le fond du tunnel en ces termes « nul autre n’accepterait l’insécurité claustrophobique de ce travail » [p.133] justifiant que les travailleurs ont donc « trimé »2 pour construire le viaduc de Bloor. L’écrivain fait mention de travailleurs méconnaissable dans le fond du tunnel, utilisant des dynamites [p.29] au risque de leurs vies. Les acrobaties décrites par l’auteur autour de la construction du pont est un autre récit de l’endurance qu’a subit les immigrants. Plus encore, dans un autre métier où les travailleurs de différentes ethnies sont réunis dans le roman est dans la tannerie. On rencontre des macédoniens, des polonais et des lituaniens vivants ensemble même s’ils « connaissaient en tout et pour tout trois ou quatre phrases d’anglais » [p.136] parmi les canadiens comme Patrick Lewis. Le passé était dur pour ces individus qui ne pouvaient soit parler ou raconter leurs souffrances. Sans oublier que certains ne pouvaient pas expliquer aux médecins traitant ce qu’ils ressentaient quand ils étaient malade ou qu’ils avaient besoin de repos pour récupérer leur santé. Plus encore, ils 2 P.133 allaient se restaurer dans le restaurant de Kosta l’Italien, même s’ils travaillaient dans une odeur maléfique3 ils étaient unis dans la couleur des teintureries représentant « ainsi différente nations » [p.163] Michael Ondaatje sert de la voix d’Alice pour mieux expliquer le passé du constructeurs du canada en suant « sang et eau4 » même s’il y a « des centaines des barrières »[p.165]. L’auteur met quand même un trait - d’union entre les différentes ethnies à travers Alice qui manipule l’anglais, le finnois et macédoniens. Malgré ce semblant unificateur des travailleurs, le roman mentionne que les minorités ethniques la grande majorité des travailleurs immigrés ont péri en grand nombre parce que qu’il n’y a pas de document pour le nombre des morts dans des travaux d’urbanisation quand Patrick interroge Lewis ,l’architecte de la construction du réservoir. Au niveau de la langue, Ondaatje nous expose comment différentes ethnies ont étaient des victimes de la violence silencieuse5, quotidien qu’ont vécu les travailleurs pour leur survit. En outre, ces travailleurs : bitumiers et tanneurs entre autre, qui sont des bâtisseurs du canada ont fait des efforts en apprennent la langue officiel de leurs pays d’adoption. Même s’ils avaient besoin d’appeler leur ami en « Eh L’Italie » ou « Eh canada » ils ont appris non seulement à vivre en paix. Certain ont fait l’effort d’étudier l’anglais à travers les chansons peut être sous la frayeur d’être « en prison » [p.166] « s’ils parlent en public dans n’importe quelle autre langue » [p.166]. Quel frayeurs ont subit les immigrants ? Par ailleurs, Ondaatje note que le chef du personnel des travailleurs donnait « un surnom anglais « [p.164] que ces derniers « rappelaient ces symboles…….Bizarres » [p. 164]. Il nous semble qu’ils étaient traités comme un meuble : voire une chose ayant un numéro. La langue ne fut pas barrières pour les différents ethnies qui 3 P.i63 4 P.165 5 http://www.iccs-ciec.ca/pages/z_pdfs/reader_guide/08_elit.pdf devait vivent au canada puisse qu’on constate qu’ils vont au café des Balkans, manger dans des restaurant chinois et même acheter « des herbes pour la fièvre » [p. 172] au « Hoo’s Trading Company »[p.172]. On constate par ces faits que le passé du canada obligeait les immigrant de survie dans l’inconnu parce qu’ils ne pouvaient pas communiquer logiquement. Certes, les immigrants n’on pas seulement connu que la misère même s’ils travaillaient avec des étranger, ne connaissant pas la langue ni même comprenant un seul mot. Ils travaillaient pour un salaire d’un dollar par jour mais « ….parlaient et jouaient dans leur propre langue » [p. 197]. La situation dans le passé du canada n’était pas toute en rose pour les immigrants parce qu’ils avaient participé au rassemblement « illégale et cosmopolite » [p.144] afin d’organiser des fêtes dans auquel participait l’Indien qui guidait « une marionnette » [p.149] sous l’acclamation de la foule. En effet, certains immigrant ne savait peut être qu’une langue étrangère, parce que Ondaatje écrit a la page 70 « bramait dans une langue étrangère ».A lumière des lignes avançaient, à propos des langues, nous pouvons dire que l’ethnicités, la culture la musique aussi bien que le mélange des activités récréatives de tous les composantes de la société canadienne du passé n’est pas différent de ce que nous voyons aujourd’hui. Il semblerait que le multiculturalisme d’aujourd’hui a été semé dans le passé. En guise de conclusion, on peut dire que la diversification artificielle6 qu’impose le monde du travail et la séparation ethnique et géographique qu’on vécu les différentes nationalités travaillant dans la construction et ferme ne peut pas être raconte comme il se doit. Par ailleurs, L’auteur nous donne un aperçu de l’époque historique du passé canadien. Certes, c’est la sueur et force des ethnies qui ont construit le canada du passé. Toute fois, Il sera bon de rappeler les mots de John Berger « jamais plus une histoire ne sera contée comme si elle était unique » 6 www.umanitoba.ca/canlit/michael_ondaatje.shtml [1310 mots] Bibliographie ONDAATJE, Michael. » la peau du lion », Edition d l’Olivier, Le Seuil, 2003. 291p www.umanitoba.ca/canlit/michael_ ondaatje .shtml http://www.iccs-ciec.ca/pages/z_pdfs/reader_guide/08_elit.pdf uploads/Litterature/ dissertation-sur-l-x27-ethnicite.pdf

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