L’Afrique et La Nuit: La Poésie de Léopold Sedar Senghor Sarah Berks 4 mai 2015
L’Afrique et La Nuit: La Poésie de Léopold Sedar Senghor Sarah Berks 4 mai 2015 | FRN 368 1 La poésie de Léopold Sedar Senghor représente dans quelques façons la culture des immigrants des nations colonises du vingtième siècle. Il parle de l’épreuve des personnes noires françaises qui regarde en face les entreprises difficiles leur applique par la société des personnes qui sont capable de s’identifier avec une nation. Avec les métaphores de la nature et les femmes, Senghor développe la poésie ainsi que l’idée de la Négritude et comment les deux sont les débouches pour les personnes qui sent ostracise par la société. Sans une façon pour s’entendre avec les racines culturel ou le monde blanc, la poésie crée une méthode pour se plaire les deux. Les thèmes de la mémoire, l’histoire, et l’Afrique s’unissent la poésie de Léopold Sedar Senghor avec l’imagerie intense et un sentiment vrai de l’expérience immigrante. En faisant connaissance de Aime Césaire, un poète, homme politique, et spécialiste mais seulement un étudiante a ce temps, Senghor a trouve une grande portion de son inspiration pour la Négritude. Hakim Adi et Marika Sherwood dit, « As well as studying French literature, he began to read the work of the African American writers and poets of the Harlem Renaissance and the ‘New Negro’ movement and was strongly influenced by them » (Adi et Sherwood 170). La poésie des autres auteurs noires ouvrir le monde des expériences immigres encore plus pour lui, aidant Senghor pour développer son propre style. Il a trouve les liens a son histoire ancestral et a travers de l’histoire de l’Afrique, il a découvert les liens avec la nature. Le poème de Senghor, « L’ouragan », pour exemple, a l’imagerie explicite d’une catastrophe naturelle et son expérience avec l’ouragan. Senghor écrit, « L’ouragan arrache tout autour de moi / Et l’ouragan arrache en moi feuilles et paroles futiles. / Des tourbillons de passion 2 sifflent en silence / Mais paix sur la tornade sèche, sur la fuite de l’hivernage ! » (Senghor 1- 4). L’ouragan, ici, peut être voir comme la vie de Senghor et comment il est irrésistible mais puissant. Sa vie était rongée par le monde blanc que se comporter comme l’ouragan avec le pouvoir et le caractère impitoyable. Senghor révèle qu’avec ses expériences, pour vivre dans le monde blanc étaient très confuses avec l’intégration extrême de colonisation, mais la désintégration extrême avec la décolonisation que suivre. Parce que la nature de la France comme un colonisateur, la langue française est maintenant universel comme il existe et est utilise dans presque chaque continent. Senghor était bien conscient de la langue, mais Senghor était aussi conflit avec la présence mondiale de la langue de française, particulièrement de l’affiliation de Senghor avec le Sénégal comme une francophone. Kathleen Shields note, « He was an important contributor to resilient neo-colonial and universalist ideas about the French language, ideas that are still enshrined in much French language legislation and that have been criticized outside the metropolitan centre » (Shields 107). Pendant qu’il a du mal avec la langue française, sa frustration avec la France est bien plus évidente dans ses poèmes. Avec la décolonisation vient beaucoup des changes économique et politique, mais culturellement, les états ont du mal avec des changements sur la langue et essayer revenir a la style de vie qu’existe avant le colonisateur. Senghor mets par écrit, « L'essentiel est que la France accepte de décoloniser culturellement et qu'ensemble nous travaillions à la défense et expansion de la langue française comme nous avons travaillé à son illustration » (Senghor 140). L’auteur insinue qu’avec tout de la littérature et la poésie qu’il a écrit, il s’est répandu la langue française avec de la culture, parce que la culture de la France et 3 fondamentalement une partie de lui, même s’il veut désespérément pour être une partie de sa culture africaine. Senghor écrit beaucoup de sa lignée avec l’Afrique. Le poème de Senghor, « Femme noire », parle d’une femme noire, bien sur, mais aussi de l’Afrique comme sa femme noire. Senghor note, « Femme nue, femme noire / Vêtue de ta couleur que est vie, de ta forme qui est beauté / J’ai grandi a ton ombre ; la douceur de tes mains bandait mes yeux » (Senghor 1-3). Il est évident comment il parlerait d’une femme, mais après plus ample vérification, on peut voir comment la femme nue et noire représente la terre vole de l’Afrique par les colonisateur et les hommes blancs. Sa couleur de vie est noire parce qu’une femme noire lui a donne la vie est l’Afrique est d’ou sa famille est. La partie dernière presque certainement fait référence à sa mère parce que ses mains douces bandaient ses yeux, ou lui protégeaient de la réalité sévère et cruelle de la vie. Cependant déprimé le poème semble, il a un élément de l’espoir, comme le plus des poèmes de Senghor. Senghor était un poète différente in qu’il presque toujours avait une vision pour comment il voulait le poème être accompli. Jodie Barker ne perds pas de vue le fait que « …Senghor breathes life into the poem and uproots it from the page when he specifies that it is intended to be lived through the body via musical performance - a technique that engages both form… and force… in its storytelling » (Barker 55). L’auteur parle spécifiquement du poème « L’élégie pour la reine de Saba » dans lequel la symbolisme et montre juste devant le public. Tout les actions et émotions peuvent être voir plutôt que seulement imagine, montrer le fonctionnement des métaphores et exactement comment le poète voulait pour le poème être interprété. 4 Comme une figure biblique, la reine de Saba se compte comme un symbole de l’âme africaine et sa personnification dans le poème. Senghor envisage, « Oui! Elle m’a baisé, banakh, du baiser de sa bouche / Et ma mémoire en demeure odorante de l’odeur fraîche du citron, du mimosa indien / Bruiteur de senteurs en avril. C’était au temps du jardin de l’enfance » (Barker 55). Ici avec le baiser et l’interprétation physique du poème comme Senghor avait l’intention, on peut voir la traduction de l’intimité avec un sens général qu’il déclenche un souvenir pour le narrateur. L’imagerie du poème de Senghor est vivide seule avec les senteurs en avril et le jardin pour représenter le Vieux ou une terre duquel il a très envie. Beaucoup de la poésie de Senghor tourner autour de la nostalgie pour le poète et le symbolisme dans chaque mémoire. Charles O’Keefe enregistre, « For francophones or speakers of a native African tongue, the place-name Joal cannot be easily situated because Joal has a Portuguese origin, as its complete form ‘Joal-la Portugaise’ indicates » (O’Keefe 626). Quand parlant de la poème « Joal » de Senghor, l’auteur parle de comment Senghor était soucieux du fait que « Joal » n’est pas un mot très facile pour prononcer mais il l’a choisi pour la titre et pour être répète fréquemment dans le poème comme un mot difficile parce que la signifiance que cette épreuve a. Pas seulement est-ce que le Joal a la signifiance pour le poète, mais il est une ville significative historiquement et c’est évident avec l’imagerie et le symbolisme dans le poème, « Joal ». Senghor documente, « Joal ! / Je me rappelle. / Je me rappelle les signares à l’ombre verte des vérandas / Les signares aux yeux surréels comme un clair de lune sur la 5 grève » (Senghor 1-4). Préparant le terrain avec la difficulté de la prononciation du premier mot et immédiatement l’imagerie de la nuit, Senghor montrer le fonctionnement de ses peuples de Joal et comment ils regardent en face les épreuves physiques, représenté par la nuit. Aussi importante, duquel n’est pas parle beaucoup, est la symbolisme et les références culturelles que Senghor ne déclare pas directement. Des lignes du poème, « Joal », inscrire, « Je me rappelle les fastes du Couchant / Où Koumba N´Dofène voulait faire tailler son manteau royal. / Je me rappelle les festins funèbres fumant du sang des troupeaux égorgés / Du bruit des querelles, des rhapsodies des griots » (Senghor 5-8). Les griots sont des hommes ou femmes dans les villages qui raconteraient des histoires pour maintenir l’histoire d’un peuple. Senghor se comportait comme un griot en qu’il a écrit des histoires pour les générations futures et il a change l’histoire parce que son impact dans le monde. En tout, il est évident comment la poésie et les œuvres de Léopold Sedar Senghor continssent le symbolisme et les métaphores de l’histoire, l’Afrique, et la mémoire. Sans les thèmes, la poésie, ne serait pas la poésie de Senghor avec un vrai élément de le théâtre et la visibilité. La vie et position politique, desquelles aussi ont inspires la poésie, ne seraient pas la même sans l’aide ou l’inspiration de Aime Césaire, un homme de la bien vigilance et détermination comme Senghor. Senghor faisait la uploads/Litterature/ la-dissertation-de-fin-dannee.pdf
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- Publié le Jul 25, 2022
- Catégorie Literature / Litté...
- Langue French
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