LECTURE 6 18/10 chajappyogibob ido (au sens large) ido goukeon yagchap Mots ple

LECTURE 6 18/10 chajappyogibob ido (au sens large) ido goukeon yagchap Mots pleins (termes conceptuels) => transcription sémantique Mots vides (éléments grammaticaux) => transcription phonétique par exemple assez complexe pour écrire des noms étrangers en sinogramme (voir yidali ou pari = bali) comme pour Paris déjà écrire en hangul avec la bonne sonorité difficile. regarder les trois caractères de l’affiche par exemple neoguri  un mot purement coréen donc pas besoin d’écrire en caractère chinois. Pour essayer de traduire neoguri il y a une équivalence. Ils choisi les trois caractères mais ensemble cela ne veut rien dire. Les coréens les ont choisis car ils avaient besoin d’un son « li » le sens on s’en fiche mais le son est important. La valeur phonétique du sens (la prononciation du sens est importante mais pas le sens) Ils regardaient les textes traduits en chinois et ensuite traduire en coréen Tableau 2 de l’article de Daniel Bouchez Voir l’article Comment indiquer la prononciation des caractères chinois. Au 19ème siècle on a commencé à déchiffrer le système mais c’était trop tard. Les caractères souvent utiliser dans ce système de détournement. eumkaja hounongaja  certain nombre de caractère chinois pris Un document qui existe ou l’auteur met des signes pour dire là il faut prononcer le sens et là le son 향찰(6e ou 7e environ 14e siècle) système avec but de tout- transcrire les chansons transmises oralement. ils ont fait un effort considerable pour garder avec authenticité ces chansons => ce système à donner un genre littéraire = yanga (genre littéraire) Genre littéraire  Hyangga (Korean: 향가; Hanja: 鄕歌) were poems written using Chinese characters in a system known as hyangchal during the Unified Silla and early Goryeo periods of Korean history. Only a few have survived: 14 in the Samguk yusa and 11 by the monk Kyunyeo.[1] 이두 idou était utilisé plutôt par les petits fonctionnaires (prose admin) qui n’avait pas une maitrise parfaite de l’écriture chinoise. ça leur permettait 구결koukyeol : système d’annotation encore pratiquer ce qui étudient les textes anciens qui utilise les textes chinois. Extrement précieux pour comprendre l’état ancien de la langue coréenne. Indication sur la façon de la langue parlée (lecture de textes religieux) Le hangul était mal vu. écriture coréenne considérée inferieur à l’écriture chinoise.  écriture du peuple écriture de femme. Ecriture chinoise introduite en Corée pas forcément comme une méthode de speaking mais plutôt avec tout une tradition. tableau de gougyeol mis en d’accord de caractere a utiliser + simplification. Rangement des sinogrammes dans l’ordre syntaxique de la langue coréenne (4 e -7 e )  Indiquer l’ordre dans lequel lire  Ajouter des affixes fonctionnels du coréen  Signaler la manière de lire un caractère. Annotation des textes chinois en vie de la traduction orale (gukyeol) Enregistrement de la langue verniculaire tableau avec sino et valeur prise le sens de chaque caractère n’aide pas pour la prononciation. Valeur prise explique pk on a choisi ces caractères. par exemple 1ere ligne ==W uniquement pour le son. troisième caractere signifie automne et on donne le sens mais en vert un automn précoce vent  le vert caractere pris par le son (caractere détourner) et noir pour le sens. antiquités de trois royaumes samgukyusa on retrouve les Hyangga uploads/Litterature/ lecture-6-iec-mardi-18.pdf

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