Dictees 2 Dictée n Dictée n PHILIPPEBESSON En l ? absence des hommes Julliard J ? ai seize ans Je suis né avec le siècle Je sais qu ? il y a la guerre que des soldats meurent sur les fronts de cette guerre que des civils meurent dans les villes et les cam
Dictée n Dictée n PHILIPPEBESSON En l ? absence des hommes Julliard J ? ai seize ans Je suis né avec le siècle Je sais qu ? il y a la guerre que des soldats meurent sur les fronts de cette guerre que des civils meurent dans les villes et les campagnes de France et d ? ailleurs que la guerre plus que les destructions plus que la boue plus que le si ement des balles qui déchirent le poitrail accablé de celles qui attendent parfois contre tout espoir une lettre qui n ? arrive pas un retour que l ? on retarde sans cesse plus que le jeu politique auquel s ? essaient les nations c ? est la mort simple et cruelle et triste et anonyme de ces soldats et de ces civils dont on lira un jour les noms au fronton de monuments au son d ? une musique funèbre Et pourrtant je ne sais pas ce qu ? est la guerre Je vis à Paris Je suis élève au lycée Louis-le-Grand J ? ai seize ans Dictée n Dictée n Au souper papa ne put ne pas remarquer les traces du combat Il fronça les sourcils devint rose ? Mais sa l? cheté eut le dessus Puisque cet enfant ne se plaignait pas pourquoi rallumer la guerre Il trouva seulement le courage de me sourire Les dents serrées les yeux durs je le ?xais longtemps dans les yeux Ce fut lui qui baissa les paupières Mais quand il les releva je lui rendis son sourire et ses moustaches se mirent à trembler Hervé Bazin Dictée n Guy de Maupassant Le Horla Dictée n CJ ? aime ma maison o? j ? ai grandi De mes fenêtres je vois la Seine qui coule le long de mon jardin derrière la route presque chez moi la grande et large Seine qui va de Rouen au Havre couvert de bateaux qui passent À gauche là-bas Rouen la vaste ville aux toits bleus sous le peuple pointu des clochers gothiques Ils sont innombrales frêles ou larges dominés par le èche de fonte de la cathédrale Ecrire au tableau Seine Rouen Havre gothique Dictée n Dictée n Claude Michelet Une fois sept Robert la ?ront Bonne-maman ouvrit son parapluie et très droite sur son banc ?xa la mer d ? un ?il sévère Elle n ? était pas belle la mer oh non pas belle du tout La Méditérranée s ? était mise en frais en notre honneur et roulait d ? impressionnantes vagues Tout alla à peu près bien tant que nous fûmes dans le bassin du port nous avions déjà les pieds dans l ? eau mais ce n ? était pas encore angoissant La danse commença dès que nous eûmes franchi la passe Nous mesur? mes soudain à quel point notre embarcation était petite délabrée surchargée Le patron se cramponna à la barre et augmenta le régime du moteur l ? oncle Marc s ? épongea fébrilement le
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Licence et utilisation
Gratuit pour un usage personnel Aucune attribution requise- Détails
- Publié le Apv 07, 2021
- Catégorie History / Histoire
- Langue French
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