Les versets sataniques salman rushdie

CDu même auteur aux Éditions Stock L es e n f a n ts d e m in u it L a h o n te L e s o u r ir e d u ja g u a r H aro u n e t la m er des h isto ires CSALMAN RUSHDIE LES VERSETS SATANIQUES Traduit de l ? anglais par A Nasier CHRISTIAN BOURGOIS ÉDITEUR C ? Salman Rushdie et ? Christian Bourgois éditeur ISBN - - - CPour Marianne CSatan ainsi réduit à l ? état de vagabondage et d ? errance chaotique est sans abri sûr bien qu ? il ait d ? après sa nature angélique une sorte d ? empire dans le ux liquide ou l ? air une part de son ch? timent est qu ? il reste sans domicile ni lieu ?xe o? il puisse poser le pied Daniel Defoe L'Histoire du diable CI L ? ange Gibreel C C Pour rena? tre chantait Gibreel Farishta en tombant des cieux il faut d ? abord mourir Ho hi Avant de se poser sur le sein de la terre il faut d ? abord voler Tat-taa Takadoum Comment sourire à nouveau si l ? on ne veut pas pleurer d ? abord Comment remporter l ? amour de celle qu ? on aime monsieur sans un soupir Si tu veux rena? tre baba ? Juste avant l ? aube d ? un matin d ? hiver celle du jour de l ? an ou environ deux hommes réels adultes et vivants tom baient d ? une hauteur vertigineuse de huit mille huit cent quarante huit mètres vers la Manche sans disposer de para chutes ni d ? ailes dans un ciel clair Je te le dis tu vas mourir je te le dis je te le dis ? ? et ainsi donc sous une lune d ? alb? tre jusqu ? à ce qu ? un cri immense traverse la nuit Va au diable avec tes chan sons ? les mots restèrent suspendus comme des cristaux dans la nuit glacée et blanche dans les ?lms tu n ? as fait que mimer des chanteurs en play-back aussi épargne-moi ce bruit d ? enfer ? Gibreel le soliste à la voix fausse faisait des cabrioles dans le clair de lune en chantant son impromptu il nageait dans l ? air en brasse papillon en brasse il se roulait en boule tendant bras et jambes dans la quasi-in ?nité de cette quasi-aube en posture héraldique de l ? aigle éployée ram pant couchant piquant légèrement contre la gravitation Maintenant il roulait heureux vers la voix sardónique Ohé Salad baba c ? est toi Comment ça va-ho camaradeu ? À quoi l ? autre une ombre délicate qui tombait la tête la première en costume gris dont tous les boutons I tell you you must die I tell you ? Brecht Mahagony N d T Cétaient boutonnés les bras collés au corps considérant

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