William s burroughs junky William S Burroughs Junky C CWilliam S Burroughs Junky Préface d ? Allen Ginsberg Traduit de l ? américain par Catherine Cullaz et Jean-René Major ÉDITION REVUE ET COMPLÉTÉE PAR PHILIPPE MIKRIAMMOS Gallimard CTitre original JUNKY

William S Burroughs Junky C CWilliam S Burroughs Junky Préface d ? Allen Ginsberg Traduit de l ? américain par Catherine Cullaz et Jean-René Major ÉDITION REVUE ET COMPLÉTÉE PAR PHILIPPE MIKRIAMMOS Gallimard CTitre original JUNKY Cet ouvrage a paru précédemment aux Éditions Pierre Belfond en ? Allen Ginsberg LLC ? William S Burroughs All rights reserved ? Éditions Gallimard pour la traduction revue par Philippe Mikriammos CNé en à Saint Louis Missouri William S Burroughs a étudié la littérature anglaise et l ? anthropologie à Harvard Préférant les aléas de l ? errance à la vie bourgeoise il choisit de partager la destinée des drogués et des marginaux Des années quarante aux années soixante il vit le plus souvent dans les bas-fonds de New York de Mexico de Tanger de Londres et de Paris exerçant pour survivre tous les métiers possibles employé d ? une agence de publicité détective privé spécialisé dans les a ?aires de divorce destructeur de parasites à Chicago ? Burroughs a commencé d ? écrire à l ? ? ge de trente-cinq ans Son premier ouvrage Junky para? t en à New York Le festin nu refusé par tous les éditeurs américains sera publié à Paris en Le procès pour obscénité ? qui accompagne sa parution quatre ans plus tard aux États-Unis contribuera paradoxalement à parfaire sa notoriété d ? écrivain et à l ? imposer comme l ? une des ?gures majeures de la littérature contemporaine Figure tutélaire de la beat generation ? longtemps considéré comme un auteur maudit dont les livres étaient interdits William S Burroughs mort en est tenu aujourd ? hui pour un des plus grands écrivains américains C CPRÉFACE Je connaissais Bill Burroughs depuis No? l et au début des années cinquante nous échangions une volumineuse correspondance J ? avais toujours respecté en lui un a? né possédant plus de sagesse que moi et c ? est d ? ailleurs avec étonnement que je constatai dans les premières années de nos relations qu ? il me manifestait de son côté du respect Le temps passant et au gré de la fortune de chacun ?? moi me retrouvant quelque temps dans la solitude d ? un asile de fous lui suivant sa trajectoire et ses tragédies propres ?? j ? eus l ? audace d ? abuser de ce que je pensais être chez lui de la timidité et je l ? encourageai à écrire par vocation Dès cette époque Kerouac et moi nous nous considérions comme écrivainspoètes par Vocation tandis que Bill hésitait beaucoup à faire de lui-même un tel thé? tre Quoi qu ? il en soit il répondait à mes lettres par des chapitres de Junkie commencé je crois Ccomme simples croquis de curiosités mais bientôt devenu ?? à ma surprise ravie ?? une suite de fragments très travaillés constituant une vraie narration C ? est ainsi que le plus gros du manuscrit arriva consécutivement dans mon courrier en partie à Paterson New Jersey Je croyais que je

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