Scott walter sir oeuvres t 19 quentin durward trad albert montemont

CKK WalHr Scott C'aSes ouiiuoqj oj q ws ' oui np uniuuioD uoq -daaoBj suBp ' lojp quauuop in s aons sas i U p -lud BS anbionb ' qi uins iuuioq un iuuioa apa Saj cH 'pjB ? unani? c 'qngd U uo? -assoag U saooad nos p U UIOIU ne aj CSjyj s j i noiiaBd sajn l S iAi jiOABj S 'asna uoq srnd v aqoBi bj gjioui -am BS ans auiuduii b inb -anbqsBisgpog ? U ui -sssqqeia pAtiou nd iiBjnej p nb ine nB 'nu ? ? xinoMv a anaMMOixnxiisMOD anioxsm og C o'i OEUYRES DB WALTER SCOTT QUENTIN DURWARD C C QUENTIN D U RWAR D par m xlut M mi TRADUCTION DE M ALBERT MONTÉMONT NOUVELLE ÉDITION REVUE tr COnniCF E D'apRKS L I EI NIF I? E l'Ct? MF E A i i ?i Mnoi nf PARIS MÉNAKD LIBRAIRE-ÉDITEUR PLACE SORBO C t CINTRODUCTION MISE EN TÈTE DE LA PREMIÈRE ÉDITION D'EDIMBOURG La scène de ce roman se trouve placée au xv siècle à l'époque o? le système féodal sur lequel reposait la défense du pays et l'esprit de clievalei-ie qui avait été l'ame de ce système commen- çaient à être abandonnés par des hommes moins généreux qui concentraient leur félicité dans la possession de jouissances dont ils faisaient les objets constants de leurs v ?ux Le môme égo? smc s'était montré dans des temps plus anciens mais c'était pour la première fois qu'on osait l'avouer et l'ériger en principe L'esprit de chevalerie avait en lui-même cela de bon que quelque outrées et bizarres que nous paraissent beaucoup de ses doctrines elles étaient tontes fondées sur la générosité et sur l'abnégation de soi- même qualités sans lesquelles il serait di ?cile de concevoir l'exis- tence de la vertu sur la terre Parmi ceux qui se montrèrent les premiers à ridiculiser et à renier les principes d'abnégation de soi-même dans lesquels on élevait les jeunes chevaliers se trouvait Louis XI qu'on y avait formé avec tant de soin lui-même c'était le chef de nos frondeurs du temps Ce prince était d'un caractère si foncièi-emont égo? ste si étranger à tous sentiments à tous desseins qui ne se rapportas- sent point à l'ambition à l'avarice et aux désirs d'une satisfaction personnelle qu'il semble jeté sur la terre comme un être malfai- sant destiné à corrompre dans leurs sources toutes les idées d'honneur Il ne faut pas perdre de vue que Louis possédait à un haut degré cet esprit caustique et ?n qui sait tourner en ridicule toute espèce d'action désintéressée il avait les qualités requises pour jouer le rôle d'un homme froid et moqueur Sous ce point de vue la conception de Goethe dans le caractère de IMéphistophélès esprit tentateur du singulier drame de Fauit me para? t plus heureuse que celle qui a été imaginée par Byron et même que le Satan de IMilton Ces deux derniers grands écri- vains ont donné au principe du mal quelque chose qui élève ennoblit sa faiblesse

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  • Publié le Aoû 24, 2022
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  • Langue French
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