PROGRESSION BTS COM ISIFA 2009-2010 Lundi 19/10/2009 1. Le Hardware et les opti
PROGRESSION BTS COM ISIFA 2009-2010 Lundi 19/10/2009 1. Le Hardware et les options de périphérique scan Le matériel informatique (hardware, quincaillerie en anglais) est la partie physique, essentiellement électronique. 1°) L’ORDINATEUR Un ordinateur est constitué des composants suivants : Un ou des processeurs : CPU, Central Processing Unit, « Unité centrale de traitement », c’est le composant essentiel d'un ordinateur qui interprète les instructions et traite les données d'un programme. De la mémoire vive : ou mémoire RAM de l'anglais Random Access Memory (mémoire à accès aléatoire), est la mémoire informatique dans laquelle un ordinateur place les données lors de leur traitement (mémoire temporaire). De la mémoire morte : Mémoire du disque dur, ROM ou Read-Only Memory est une mémoire non volatile, c’est-à-dire une mémoire qui ne s’efface pas lorsque l’appareil qui la contient n’est plus alimenté en électricité. Des bus informatiques pour relier le ou les processeurs aux mémoires et aux périphériques. Une alimentation PC : bloc destiné à répartir l’électricité sur les différents composants et périphériques. Mais également d’interfaces de communication : Une carte mère (interconnexion des composants de l’ordinateur : système nerveux de l’ordinateur). Une ou des cartes graphiques. Une ou des cartes d'acquisition. Une ou des cartes son. Une ou des cartes réseau Une ou des cartes Modem. Un clavier, une souris et autres périphériques. Un ou des disques durs. 2°) LE MICROLOGICIEL Un micrologiciel, également désigné sous l'anglicisme firmware, ou parfois logiciel interne, embarqué ou d'exploitation, est un logiciel (software en anglais) qui est intégré dans un composant matériel. le Basic Input Output System ou BIOS (système élémentaire d'entrée/sortie) est un ensemble de fonctions, contenu dans la mémoire morte (ROM) de la carte mère servant à effectuer des opérations élémentaires (écrire un caractère à l'écran, lire un secteur sur un disque, etc...). Le terme est souvent utilisé pour décrire l'ensemble du « firmware » ou « microcode » (logiciel embarqué) d'une carte mère. Le BIOS est presque toujours développé par le fabricant de cette carte mère car il contient les routines élémentaires pour effectuer les opérations simples d'entrée/sorties évoquées ci-dessus. 3°) PERIPHERIQUES SCANNER : options de scan -L’OCR : La reconnaissance optique de caractères (ROC) désigne les procédés informatiques pour la traduction d'images de textes imprimés ou dactylographiés en fichiers de texte. Le fichier scanné sera un document noir et blanc pouvant être récupéré par un logiciel à reconnaissance de caractères. - Détramage : En fonction du document à numériser, cocher ou non l'option détramage. Il est impératif de cocher détramage si vous numérisez un document imprimé, par contre, dans le cas d'un tirage photographique argentique, vous n'utiliserez pas l'option détramage. Scan au trait : c’est un scan bitmap noir et blanc qui ne comporte pas de niveaux de gris Scan en niveau de gris, nécessite beaucoup de lumière pour obtenir des dégradés et qui fait par conséquent apparaître la transparence des feuilles : Scan en niveau de gris Scan au trait Mercredi 21/10/2009 2. Les bases de données Une base de données (son abréviation est BD, en anglais DB, database) est une entité dans laquelle il est possible de stocker des données de façon structurée et avec le moins de redondance possible. Ces données doivent pouvoir être utilisées par des programmes, par des utilisateurs différents. Ainsi, la notion de base de données est généralement couplée à celle de réseau, afin de pouvoir mettre en commun ces informations, d'où le nom de base. La gestion des bases de données Afin de pouvoir contrôler les données ainsi que les utilisateurs, le besoin d'un système de gestion s'est vite fait ressentir. La gestion de la base de données se fait grâce à un système appelé SGBD (système de gestion de bases de données) ou en anglais DBMS (Database management system). Le SGBD est un ensemble de services (applications logicielles) permettant de gérer les bases de données, c'est-à-dire : permettre l'accès aux données de façon simple autoriser un accès aux informations à de multiples utilisateurs manipuler les données présentes dans la base de données (insertion, suppression, modification) 3. LES LANGAGES INFORMATIQUES A. Le Langage Script : Le PHP, L’Active Server Pages, Javascript Définition : Un langage de script est un langage de programmation qui permet de manipuler les fonctionnalités d'un système informatique configuré pour fournir à l'interpréteur de ce langage un environnement et une interface qui déterminent les possibilités de celui-ci. PHP est un langage interprété (un langage de script) exécuté du côté serveur (comme les scripts CGI, ASP, ...) et non du côté client (un script écrit en Javascript ou une applet Java s'exécute sur votre ordinateur...). Ses principaux atouts sont : -Une grande communauté de développeurs partageant des centaines de milliers d'exemples de script PHP ; -La gratuité et la disponibilité du code source (PHP est distribué sous licence GNU GPL) ; -La simplicité d'écriture de scripts ; -La possibilité d'inclure le script PHP au sein d'une page HTML (contrairement aux scripts CGi, pour lesquels il faut écrire des lignes de code pour afficher chaque ligne en langage HTML) ; Origines du PHP Le langage PHP a été mis au point au début d'automne 1994 par Rasmus Lerdorf. Ce langage de script lui permettait de conserver la trace des utilisateurs venant consulter son CV sur son site, grâce à l'accès à une base de données par l'intermédiaire de requêtes SQL. Ainsi, étant donné que de nombreux internautes lui demandèrent ce programme, Rasmus Lerdorf mit en ligne en 1995 la première version de ce programme qu'il baptisa Personal Sommaire Page Tools, puis Personal Home Page v1.0 (traduisez page personnelle version 1.0). Etant donné le succès de PHP 1.0, Rasmus Lerdorf décida d'améliorer ce langage en y intégrant des structures plus avancées telles que des boucles, des structures conditionnelles, et y intégra un package permettant d'interpréter les formulaires qu'il avait développé (FI, Form Interpreter) ainsi que le support de mSQL. C'est de cette façon que la version 2 du langage, baptisée pour l'occasion PHP/FI version 2, vit le jour durant l'été 1995. Il fut rapidement utilisé sur de nombreux sites (15000 fin 1996, puis 50000 en milieu d'année 1997). A partir de 1997, Zeev Suraski et Andi Gurmans rejoignirent Rasmus pour former une équipe de programmeurs afin de mettre au point PHP 3 (Stig Bakken, Shane Caraveo et Jim Winstead les rejoignirent par la suite). C'est ainsi que la version 3.0 de PHP fut disponible le 6 juin 1998. A la fin de l'année 1999 la version 4.0 de PHP, baptisée PHP4, est apparue. PHP en est aujourd'hui à sa cinquième version. ASP (Active Server Pages) est un standard mis au point par Microsoft en 1996 permettant de développer des applications Web interactives, c'est-à-dire dont le contenu est dynamique. Ainsi une page web ASP (fichier repérable par l'extension .asp) aura un contenu pouvant être différent selon certains paramètres (des informations stockées dans une base de données, les préférences de l'utilisateur, ...) tandis qu'une page web « classique » (dont l'extension est .htm ou .html) affichera continuellement la même information. Le Javascript est un langage de script incorporé dans un document HTML. Historiquement il s'agit même du premier langage de script pour le Web. Ce langage est un langage de programmation qui permet d'apporter des améliorations au langage HTML en permettant d'exécuter des commandes (appelés Applet : en français une « appliquette » ou parfois une « applette », est un logiciel qui s'exécute dans la fenêtre d'un navigateur web.du côté client, c'est-à-dire au niveau du navigateur et non du serveur web). Ainsi le langage Javascript est fortement dépendant du navigateur appelant la page web dans laquelle le script est incorporée, mais en contrepartie il ne nécessite pas de compilateur, contrairement au langage Java, avec lequel il a longtemps été confondu. Javascript a été mis au point par Netscape en 1995. A l'origine, il se nommait LiveScript et était destiné à fournir un langage de script simple au navigateur Netscape Navigator 2. Il a à l'époque longtemps été critiqué pour son manque de sécurité, son développement peu poussé et l'absence de messages d'erreur explicites rendant dure son utilisation. Le 4 décembre 1995, suite à une association avec le constructeur Sun, Netscape rebaptise son langage Javascript (un clin d'oeil au langage Java développé par Sun). B. Les Langages de Marquage (HTML, XML) Le HTML (« HyperText Mark-Up Language ») est un langage dit de « marquage » (de « structuration » ou de « balisage ») dont le rôle est de formaliser l'écriture d'un document avec des balises de formatage. Les balises permettent d'indiquer la façon dont doit être présenté le document et les liens qu'il établit avec d'autres documents. Le langage HTML permet notamment la lecture de documents sur Internet à partir de machines différentes, grâce au protocole HTTP, permettant d'accèder via le réseau à des documents repérés par une adresse unique, appelée URL. Il est important de comprendre que le langage HTML est un standard, c'est-à-dire qu'il s'agit de recommandations publiées par un consortium international : le World Wide Web uploads/s1/ cours-informatique.pdf
Documents similaires










-
37
-
0
-
0
Licence et utilisation
Gratuit pour un usage personnel Attribution requise- Détails
- Publié le Fev 16, 2022
- Catégorie Administration
- Langue French
- Taille du fichier 1.4037MB