Helmbacher Strasbourg - 2007 Helmbacher Strasbourg - 2007 Les 7 contrastes de c

Helmbacher Strasbourg - 2007 Helmbacher Strasbourg - 2007 Les 7 contrastes de couleurs Contrastes ? Une question de rapport ! Le contraste, c’est ce qui se passe quand deux «choses» de même nature mais très différentes sont à côté l’une de l’autre. Apprendre à faire des comparaisons et apprendre aussi à relativiser ces comparaisons. Cela semble un outil d’éducation de la pensée. Pour une information approfondie : Johannes Itte en - Art de la Couleur - Dessain et Tolra 1- Contraste de Couleur en soi 2- Contraste Clair obscur 3- Contraste Chaud froid 4- Contraste de complémentaires 5- Contraste Simultané 6- Contraste de qualité lumineux terne 7- Contraste de quantité Le plus simple. Les trois primaires au mi- nimum sont nécessaires pour un effet multicolore. Plus les couleurs utilisées s’éloignent des primaires pures, moins l’effet de contraste fonctionne. Ici le jaune pourrait être plus saturé pour un effet plus puissant. Que ce soit pour des valeurs de gris ou des valeurs d’une couleur, l’écart entre les valeurs claires et sombres doit être le plus grand possible pour un contraste maximum. De l’obscurcissement total à l’éclaircissement maximum. Bien entendu il s’agit là des réglages extrêmes, mais tout contraste peut et doit être dosé. Les couleurs dites « chaudes » sont le Rouge, le Jaune, l’Orangé et leurs déri- vées. Les couleurs dites «froides» sont le Bleu, le Vert, le Violet et leurs déri- vées. Cette classification est parfois très relative. Le jeu des complémentaires semble une règle de base de toute création artistique, car son utilisation bien dosée crée pour l’oeil une harmonie parfaite. Le contraste avive la luminosité de ces couleurs, leur mélange la détruit et produit un gris coloré tirant soit d’un côté soit de l’autre. L’utilisation des complémentaires en publicité, dans la décoration, en peinture, ne répond pas aux mêmes règles. Une même couleur, placée sur différentes couleurs, ne produit pas le m ême effet. « c’est le contraste simultané qui rend la couleur propre à l’usage esthétique » Goethe. Il n’y a pas de couleur laide, il n’y a que des rapports colorés séduisants ou ratés. La qualité d’une couleur c’est son degré de pureté ou saturation qui lui donne une lumi- nosité maximum. Le contraste de qualité oppose de telles couleurs à des couleurs ternes. (obscurcies, éclaircies, rabattues, rompues) Opposition de grandeur entre les surfaces occupées par deux couleurs ou ensembles de couleurs suffisamment distincts : beaucoup et peu ou grand et petit. uploads/s3/ 03-les-contrastes-pdf 2 .pdf

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