Mavara Forme chorégraphique mêlant cirque et marionnette Chiara Marchese © Juan

Mavara Forme chorégraphique mêlant cirque et marionnette Chiara Marchese © Juan Tula Première création en solo de Chiara Marchese Un projet multidisciplinaire entre cirque et marionnette - Forme courte de 30 minutes pour l’extérieur: création 2016 - disponible à la programmation. - Forme courte de 30 minutes pour la salle ou chapiteau : création 2017- disponible à la programmation ! sur ! 1 20 Sommaire: Distribution et partenaires……………………………………………………………….p.3 Mavara …….………………………………………………………………………..…p.4-6 L’univers sonore crée par Julie Mondor……….………………………………………p.7 Mavara format court, fiche technique, photos de la tournée 2016..……………p.9-11 Mavara format en salle et fiche technique…………………………..…………..p.12-13 Mavara en poèmes……………..………………………………………………….p.14-15 Équipe.………………………………………………………………………………p. 16-17 Actualités……………………………………………………………………………..…p.18 Historique résidences.…………………………………………………………………p.19 Contact………………………………………………………………………………..…p.20 ! sur ! 2 20 Distribution: Auteure et interprète: Chiara Marchese Dramaturgie musicale et aide à la recherche: Julie Mondor Regard extérieur: Francesca Lattuada Regard complice marionnettique: Morgane Aimerie Robin, Chloée Sanchez, Evandro Serodio Regard complice jeu: Emiliano Pino Conception et construction des masques, marionnettes: Chiara Marchese Partenaires Le Sirque Pôle National des Arts du Cirque de Nexon, La Cascade Pôle National des Arts du Cirque, l’Espace Périphérique (Parc de la Villette - Ville de Paris), Cirk’Eole Metz, Institut International de la Marionnette de Charleville Mézières, Sham Spectacle, la Ville du Bourget, le Conseil Régional d'Ile de France, l'Ecole Nationale des Arts du cirque de Rosny-sous-Bois, Centre Culturel Bolivia-Now, La Central del Circ, Barcelone. « Tutto l’universo in bilico » stylo sur papier, dessin Chiara Marchese 2013 ! sur ! 3 20 Mavara…… © J. Tula Mavara désigne littéralement dans le dialecte sicilien, la femme qui sent, qui voit ce que les autres ne peuvent pas voir. Mavara est une partition dansée, en solo, pour un ensemble de corps, à la fois, vivant(s) et inerte(s), en équilibre, sur un fil qui bouge. Mavara en évolution, est un révélateur de traces vivantes. Mavara explore dans les origines du cirque comme de la marionnette. Dans un espace circulaire, la danse, la manipulation marionnettique et le cirque se mêlent tissant une partition vivante. La recherche de l'équilibre sur le fil devient le moteur de la composition chorégraphique, et constitue la matière fondamentale de la composition dramaturgique de la pièce. Le fil souple, appui minime et instable, donne à voir la fragilité de l'être humain, en vibrant entre la vie et la mort. ! sur ! 4 20 Les objets marionnettiques, membres prothèses ou ex-voto ? Ex-Voto: objets sculptés représentant des membres du corps. Bras, jambes, organes, yeux, coeurs. Des offrandes, des images, utilisés depuis des milliers d'années pour remercier les divinités des voeux exaucés. Toutes les cultures ont des histoires d'offrandes différentes. Notamment en Sicile. Ces objets, dans Mavara incarnent l'archétype de la croyance - personnelle (?) - et le pouvoir qu'elle as sur nos actions quotidiennes. Étape de travail à l'Espace Périphérique, Parc de la Villette, Paris, 13 avril 2016 – © Christophe Chaumanet “Qui manipule qui?” est une question ancestrale qui rassemble en soi diverses lectures: dans le rapport acteur-marionnette et vice et versa , ainsi que dans notre propre manière de vivre dans la société et les multiples façons dont elle nous manipule. De quelle manière sommes-nous «présents»? Sommes-nous conscients des influences que nous subissons et des croyances auxquelles nous nous raccrochons, pour nous donner le sentiment d'appartenir au monde? ! sur ! 5 20 MAVARA s’inspire des études et théories de l'anthropologue italien Ernesto De Martino (1908-1965) qui a étudié les traditions magiques-populaires-religieuses du sud de l'Italie dans les années 50. La «crise de la présence individuelle» et la «protection magique» sont des concepts que je trouve actuels, sur diverses échelles, face à certaines croyances-fantôme de notre société. Sur des sujets ancestraux comme la peur de l’inconnu, l’incertitude du quotidien, jusqu'à d'autres rapport avec des sujets d'actualité comme l'information, l'immigration, la religion. LE FIL SOUPLE ma pratique circassienne: Vecteur d’émotions, donne à voir la fragilité de l’être humain face au déséquilibre. Montre un combat en continu pour tenter de rester debout. Avec les années de pratique j'ai déconstruit la technique. J'ai reconstruit le sol sur le fil. J'ai retrouvé ma terre, mon île. J'ai acquis une complète liberté de mouvement sur cet appui minime. La recherche de l'équilibre, pour moi, devient le moteur d'une composition chorégraphique. LES ARTS DE LA MARIONNETTE introduisent la question du double et la question de l'autre sur cet agrès soliste. Matérialise l'invisible, met en doute le réel, ouvre un grand espace de recherche dans la transmission de l’énergie d'un corps vivant à un autre inerte. Ici le corps devient castelet et à la fois devient lui-même marionnette. Je suit une démarche « marionnettique » qui permet d'entrelacer les registres chorégraphiques, du jeu d'acteur et du geste circassien. Les éléments marionnettique, le fil et les marionnettes sont ici présentés dans une nouvelle composition dans les formes et les espaces. LA MAGIE DES CONTES et des rites des lieux où j'ai grandi, la Sicile, endroit chargé d'histoire et de tradition, symbolisé depuis longtemps comme visage à troix jambes. Mavara s'inspire du travail de recherche de l’anthropologue italien Ernesto de Martino ainsi que le récolte des contes de Giuseppe Pitré sur le « donne di fuora », les écrits de G. Didi Hubermann, « Ex voto » et « Survivance des lucioles », et « Follia e disciplina, lo spettacolo dell’isteria » de Roberto Giambrone. ! sur ! 6 20 L’ESPACE : Mavara joue sur un espace scénique circulaire. Le cercle comme rite ancestrale: embrasse et intègre le public. Le cirque est un mouvement perpétuel, est une vague cyclique qui va et vient. Le cycle est la vie. Le cirque, pour moi, se joue en circulaire. Pour la marionnette s’est un grand défi que j’ai envie d’explorer. Espace de jeu de Mavara au 30° Festival La Route du Sirque de Nexon, 18,19, 20 août 2016 ! sur ! 7 20 L'univers sonore creé par Julie Mondor JULIE MONDOR – dramaturgie musicale et aide à la recherche La rencontre avec Julie Mondor a commencé au sein du cursus au Cnac. Grace à elle, j'ai rencontré le travail de Annick Nozati (1945-2000), chanteuse d'avant-garde française, qui a ouvert chez moi un chemin de recherche sur le fil souple. J'ai entamé alors une réflexion et une recherche où le fil, comme les cordes vocales, est un instrument musicale: une “corde” “vibrante”. Ce questionnement m’ as mené à trouver un nouvel équilibre tremblé sur le fil. “Tous ces sons que je chante et cultive correspondent à une recherche expressive et leur organisation à une démarche musicale qui seraient le reflet de sentiments justes dans un corps sensible comme un bel instrument de lutherie qui vibre et fait frissonner sous l'influence des mouvements que lui impose l'instrumentiste et qui varient suivant sa technique, sa poésie, son intelligence, ses désir, son gout, ses choix du beau e du laid” Annick Nozati. La recherche sonore nous a mené jusqu'en Sicile, à la rencontre de ces habitants, de la culture sicilienne. Puis jusqu'à la maison-musée de Antonino Uccello, anthropologue, ethnographe et poète sicilien (1922-1979) qui, entre autre, a récolté une énorme quantité de sons et chants populaire de la Sicile pendant toute sa vie. Julie Mondor cherche à composer des musiques qui parfois ouvrent des espaces intemporels faits de matériaux abstraits très sensoriels, soient au contraire d’ évoquer les croyances. Il s'agit de créer une dramaturgie musicale où coexistent (comme les rapports de corps marionnettique au corps réel) une tension ou une harmonie, avec l’écriture. Ici une vidéo qui résume l'expérience en Sicile, avec Julie Mondor, en cliquant sur ce liens : https://vimeo.com/161648551 ! sur ! 8 20 MAVARA forme courte en extérieur Mavara au 30° Festival La Route du Sirque, aouût 2016 © Philippe Laurençon Durée : 30 minutes Création 2016 A partir des 8 ans Dates de représentation de Mavara en forme courte pour l’extérieur entre 2016 et 2018: 2 juillet: Festival Les Surprenants, Le Bourget, Paris 10 juillet: 63° Festival International de Bellac, Théâtre du Cloître. 6/7 août: CIAP, Centre International d'Arts et du Paysage, Ile de Vassivière. 18/19/20 août: 30° Festival La route du Sirque de Nexon. 19 août 2018: Festi’chantier, Cléron, Besançon. 14/15/16 septembre 2018: FIC, Festival Internationale Cirque Porto, Portugal La version extérieur de Mavara a été conçu comme une oeuvre légère, qui peut être joué dans des lieux conventionnels ou atypiques. Mavara a envie de se nourrir des paysages qui l’entoure. L'envie est de ramener le public vers des endroits calmes et silencieux de la ville, aussi des lieux atypiques, ou en état d'abandon, où jamais personne irais.. comme aussi des lieux dans la nature sauvage. ! sur ! 9 20 Fiche technique de Mavara - Lieux calme et silencieux, comme une cour ou autre espace tranquille, réparé des bruits (pas de routes avec passages de voitures et autres bruitages du centre ville) - Espace scénique circulaire de 7mt. - Deux versions disponibles: jauge en frontal ou bifrontal. Est indispensable la proximité avec le public. La compagnie ne dispose pas de gradins. Ils seront bienvenues si le lieu d'accueil en as. - Sol régulier et solide (si c'est un planché, que cela soit solide pour recevoir uploads/s3/ dossier-mavara-2018 1 .pdf

  • 34
  • 0
  • 0
Afficher les détails des licences
Licence et utilisation
Gratuit pour un usage personnel Attribution requise
Partager