Michel Christian Soulier LE TRÉSOR DES TEMPLIERS LE TRÉSOR DES CATHARES L’ARCHE
Michel Christian Soulier LE TRÉSOR DES TEMPLIERS LE TRÉSOR DES CATHARES L’ARCHE D’ALLIANCE ET LE SAINT GRAAL SONT EN FRANCE AGRÉGATION DES TRÉSORS !1 CE QUI VÉRIFIABLE SE DOIT D’ÊTRE VÉRIFIÉ PA MARGUERITE-MARIE ALACOQUE C’est une religieuse du XVII ème siècle, elle est à l’origine de l’importante dévotion au Sacré-Cœur du Fils du Créateur de l’Univers. Elle fut placée à plusieurs reprises en contact avec lui. Il a, lors de ces contacts, présenté à cette jeune femme, dans une sorte d’holographie luminescente son Cœur mortellement blessé et lui a tenu des paroles en relation avec cette représentation rayonnante. La jeune visitandine, dans ses écrits et propos, rapportés par elle et par son confesseur avec soin, laisse entendre un mot fréquemment employé par Jésus-Christ, celui de dessein. Les éminents spécialistes ayant travaillé sur les rencontres miraculeuses qui eurent lieu à Paray-le- Monial ont tous, sans exception, interprété ce mot, celui de dessein, prononcé par Jésus et écrit ainsi par la religieuse comme ayant pour sens une envie, une intention, un souhait. Comment n’ont-ils pas remarqué qu’à cette époque, au XVII ème siècle, ce mot avait une signification ordinaire et courante, infiniment plus usuelle que le sens par eux donné, celle qu’a le mot dessin, tel que nous l’employons et l’écrivons de nos jours ? !2 Voici un court texte épistolaire datant de 1689, écrit par cette religieuse à l’une de ses anciennes supérieures, il relate de manière synthétisée les volontés divines qu’elle a parfaitement intégrées, et dont elle fut miraculeusement chargée de révéler : « Le Père éternel, voulant réparer les amertumes et les angoisses que l’adorable Cœur de son divin Fils a ressenties dans la maison des Princes de la terre, parmi les humiliations et les outrages de sa Passion, veut établir son empire dans la Cour de notre grand Monarque, duquel Il veut se servir pour l’exécution de ce dessein qu’Il désire s’accomplir en cette manière, qui est de faire faire un édifice où serait le tableau de ce Divin Cœur pour y recevoir la consécration et les hommages ». La maison des Princes de la terre est l’Europe. Louis XIV en est le grand Monarque, sa cour est la France. L’édifice voulu sera ultérieurement celui du Sacré-Cœur, au sommet de la butte Montmartre, à Paris. L’exécution de ce dessein qu’Il désire en cette manière s’accomplir : un désir n’est pas un souhait, un désir n’est pas une éventualité. Dieu n’a pas d’hypothétiques envies, Dieu n’espère pas, Dieu réalise ! Dieu ignore le doute, n’est-il est pas omniscient ? L’exécution de ce !3 dessein n’est donc pas une éventualité, mais une annonce celle de l’exécution d’un dessin, en aucun cas d’un vœu. Le mot dessein écrit par la religieuse dans le contexte ne signifie aucunement une possibilité, ou encore une éventualité, le mot dessein a pour sens celui employé par les gens à son époque signifiant une représentation graphique, un tracé : un dessin. Un édifice où serait le tableau de ce divin Cœur. « Tableau »: à nouveau un mot qui est une incontestable référence à l’univers du dessin. M.M Alacoque a écrit dans une correspondance au Père Jean Croiset, ceci : Jésus m’a dit : « Je viens t’apprendre combien il te conviendra de souffrir pour mon amour et l’exécution de mes desseins ». Dans une autre lettre, toujours en parlant du Christ, elle écrit : Mais il ne veut pas s’en arrêter là, il a encore de plus grands desseins qui ne peuvent être exécutés que par sa toute puissance, qui peut tout ce qu’elle veut. Comme si seul Jésus-Christ était en capacité de les exécuter, de les tracer. Le mot dessein dans le contexte signifie dessin. !4 Ci-dessus la page introductive d’un ouvrage datant de 1764 où le mot dessein signifiant dessin est parfaitement visible. Document incontestable ne laissant aucun doute sur la signification au XVIII ème siècle, donc également au précédent, celui de Marguerite-Marie Alacoque, du mot dessein. !5 Marguerite-Marie Alacoque, 1647-1690, présente le dessin, par elle très fidèlement reproduit, de ce que Jésus-Christ lui a montré lors de la première des ses trois grandes apparitions faites à Paray-le- Monial. !6 DÉVELOPPEMENT Jésus-Christ au cours de l’année 1673 est apparu à la religieuse Marie-Marguerite Alcoque, à Paray-le-Monial. Il lui a montré un dessin sur lequel figuraient cinq éléments distincts concrétisant un tableau : son Cœur blessé, perlant des gouttes de Sang, engendrant dans un flamboiement sa Croix, le tout ceint de sa Couronne d’épines. Dessin naïf enjolivé d’annotations personnelles réalisé par la religieuse de ce qu’elle affirme avoir vu présenté à son humble personne, par le Fils du Créateur de l’Univers. !7 Ce que Marguerite-Marie Alacoque a affirmé avoir parfaitement vu concrétisé par un dessinateur professionnel, d’après ses dires et ses écrits : Lors de sa toute première apparition, au cours de l’année 1673, Jésus en montrant la représentation tint des propos fort précis à cette jeune religieuse, ils furent par elle in extenso rapportés : « Je t’ai choisie comme abîme d’indignité et d’ignorance pour l’accomplissement d’un si grand dessein, afin que tout soit fait par moi. » « Je demande l’érection d’un édifice à la gloire de mon Cœur. »« Je veux me servir de la France pour réparer les amertumes et les outrages qui me sont prodigués. » J.C à la sainte. !8 Il est à considérer, quitte à insister, que le mot dessein tel qu’au XVII ème siècle on l’écrivait, signifiait principalement un tracé, allant de l’épure à la gravure. Le mot dessin employé de nos jours était alors inexistant, il ne fut par les académiciens créé et mis en usage qu’un siècle et demi plus tard. Ce n’est donc pas une intention qui fut évoquée par le Fils de Dieu mais bien un dessin. !9 Un dessin constitué d’éléments axés, parfaitement mis en situation, liés directement à sa Crucifixion. L’édifice voulu et réalisé par le Fils de Dieu est la basilique du Sacré-Cœur de Paris, érigée au sommet de la butte Montmartre. M-M Alacoque en est l’apôtre incontestée, elle fut pour cette raison par l’Eglise de Rome sanctifiée en 1920. Le Sacré-Cœur de Paris voulu par Jésus. « Afin que tout soit fait par moi. » !10 Le Cœur du Fils du Créateur de l’Univers est concrétisé sur la France, pays dont Il veut se servir. Cette incarnation minérale génère une croix, ceci est parfaitement visible, lorsqu’on la survole. Sacré-Cœur de Paris. Coupe en vue de dessus. Le Cœur génère la Croix, exactement comme sur la présentation du Christ à la religieuse de Paray, cette Croix est axée nord-sud, est-ouest. Si sur une carte géographique de la France on prolonge les axes de la croix formée par cet édifice incarnant le divin Cœur, on constate que le montant de la croix ainsi générée est orientée nord-sud à 357,2°. !11 Puisque le Sacré-Cœur de Jésus-Christ sur Paris engendre sa Croix, comme sur la représentation par Lui présentée à la sainte, n’est-il pas des plus logique de s’interroger, et d’aller regarder de plus près si d’autres édifices, sur le sol du pays, ceux liés à sa Couronne d’épines et également à son Sang, ne seraient pas présents sur cet axe nord- sud prolongé ? Ce qui est manifestement le cas ! — La Couronne d’épines est matérialisée par le bâtiment de la Sainte-Chapelle de Paris. Il fut édifié suivant la volonté du roi Louis IX, dit saint Louis, spécialement pour l’honorer, la glorifier et la protéger dès son arrivée de Constantinople via Venise. Ce que cette sublime construction gothique fit durant plusieurs siècles, avant qu’un vil outrage perpétré par les révolutionnaires de 1793 ne la vandalisent et ne la transforme en une vulgaire et outrageante remise à fourrage et dépôt à outils. — Le Sang du Christ en relation directe avec la Couronne d’épines est concrétisé par l’église du petit village de Tournemire dans le Cantal. En ce lieu l’une des épines de sa Couronne rapportée de la première croisade, perlait miraculeusement au moyen-âge des gouttes de son Sang, ceci chaque vendredi Saint ( BNF : FL12633F-74 ). Cet édifice séculaire, sanctuaire de cette épine imprégnée maintes fois du Sang du Fils, fut outragé et profané nuitamment, ceci au cours de l’année 2003. !12 Le journal la Montagne, le syndicat d’initiative du lieu et les habitants peuvent en témoigner. !13 — La Croix du Christ : un avant dernier site, celui de l’ancestral village de Montsalvy, également dans le Cantal, détermine le pied de cette Croix que chacun se doit de tracer avec soin sur une carte géographique du pays. Les armoiries seigneuriales de ce village, remontant également au Moyen-âge, représentent une croix repérée sur un globe : « Ici sur Terre se trouve le pied de la Croix du Christ ». Ce blason figure dans l’armorial du roi Charles VII, visible à la BNF, sous le N° 22297. Les cinq roses représentent les plaies infligées au Christ : au Cœur, aux mains et aux pieds. La rose dans l’iconographie chrétienne moyenâgeuse représente le Sang du Fils de Dieu versé pour uploads/s3/ lagregation-des-tresors-des-templiers-et-des-cathares1.pdf
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- Publié le Dec 13, 2022
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