Communication graphique CT MARCEL KIPILI Ass MEYS BEYA 1eme partie INTRODUCTION

Communication graphique CT MARCEL KIPILI Ass MEYS BEYA 1eme partie INTRODUCTION CT KIPILI Ass Meyz BEYA Pourquoi le dessin technique ?  Le langage graphique est très important dans la vie de l’ingénieur ; en effet, le nombre combien grand de langues dans le monde ne facilite pas toujours la communication technique entre les peuples. En revanche, il n’existe point une langue universelle composée de mots et de phrases pourtant, le langage graphique a été utilisé depuis les temps très anciens jusqu’à nos jours pour communiquer efficacement dans le domaine technique. lire un dessin technique effectué à main levée (croquis) ou avec les instruments de dessin technique (ordinateur compris). exécuter le dessin technique d’un objet technique simple avec ou sans les instruments du dessinateur. Pourquoi le dessin technique ?  Une pièce réelle a une existence matérielle. Elle occupe un espace à 3 dimensions. De plus, les moyens habituels de communication sont plans et ne comportent que 2 dimensions Afin de faciliter la communication entre les différents secteurs concernés (conception, fabrication, maintenance…), on utilise une représentation normalisée basée sur les projections orthogonales de la pièce. Le dessin technique est l’art de représenter graphiquement des volumes ou objets sur des surfaces planes au moyens de tracés formés uniquement de lignes droites, courbes ou brisées et continues ou interrompues. Le dessin technique est appelé aussi dessin industriel parce qu’il est utilisé dans toutes les industries Les différents types de dessin (GEOMETRAL et PERSPECTIVE) On classe un dessin selon sa nature, sa forme ou sa fonction.  NATURE (geometrie,symbolique –schema-,technique,main leveé) FORME(croquit,esquice,epure,schema) FONCTION: on classe les dessins du point de vue des périodes successives d’une réalisation technologique. (avant projet,definition,ensemble,) 2eme partie ELEMENTS NORMALISES CT KIPILI Ass Meyz BEYA Echelles Lorsque les systèmes sont grands (immeubles, bateaux, automobiles) ou petits (montres, circuits électroniques) il est nécessaire de faire des réductions ou des agrandissements pour les représenter Formats normalisés Le cartouche C’est la carte d’identité du dessin, il rassemble les renseignements essentiels : symbole ISO de disposition des vues (norme européenne de projection), format, éléments d’identification (numéro de référence du document, nom du dessinateur, date …). La surface d'exécution du dessin est délimitée par un cadre dessiné en trait continu fort à l'intérieur du format. La marge entre le cadre et le bord du format est au minimum de 5 mm pour les formats A2, A3 et A4 et 10 mm pour les formats A0 et A1 Le cartouche Symbole du système de projection Le cartouche Traits Traits Traits Traits et Raccord L’ECRITURE Lisibilité, homogénéité, reproductibilité Il y a deux types d'écriture : •l'écriture type A (fin) dont la largeur du trait ; •l'écriture type B (fort) dont la largeur du trait . L'écriture peut être : •droite, •inclinée de 15° (vers la droite). Typiquement, c'est l'écriture B droite qui est utilisée. L’ECRITURE L’ECRITURE LA COTATION +DE PRECISION, POUR MIEUX DEFINIR La cotation est l'ensemble des dimensions réelles d'un objet technique.. On ne précise pas cette unité sur le dessin. Aucune cote à l'intérieur des limites de l'objet. indiquée au milieu de la ligne de cote. Les chiffres positionnés au- dessus de la ligne de cote (horizontale) et à gauche de la ligne de cote (verticale). Les lignes d'attache dépassent la ligne de cote d'environ 1 ou 2 mm. VOCABULAIRE TECHNIQUE 3eme partie REPRESENTATION DES VUES CT KIPILI Ass Meyz BEYA Représentation des solides Les vues d’une pièce doivent occuper la même disposition afin de faciliter leur identification. Elles sont représentées selon la norme : NF E 04-506 , NF E 04-520 ; ISO 128. Représentation des solides pour fabriquer une pièce on représente d'abord les formes de celle-ci en projections et est basée sur la méthode de projection orthogonale 1. Méthode du premier dièdre (EUROPE). les six faces du cube sont rabattues sur le plan frontal arrière 2 Méthode du troisième dièdre (USA): le plan de projection est situé entre l'observateur et le solide Correspondance des vues REMARQUE L’espacement des vues est à calculer à la fois sur les axes horizontaux et verticaux , à partir des volumes enveloppes de la pièce MISE EN PAGE: Calcul des Espacements entre vues Le premier tracé est une esquisse dessinée (traits fins). Lorsqu'une forme se traduit sur vue par un cercle ou un arc de cercle, on commence d'abord par les tracer pour représenter les formes principales. Faire la mise au net en repassant dans l'ordre : Les axes, Les lignes courbes cachées,  Les lignes courbes vues  , Les droites cachées,  Les  droites vues, Des conseils pratiques pour la mise au net: Repasser les lignes verticales en commençant par celles situées à l'extrémité Gauche, Repasser les lignes horizontales en commençant par celles situées en haut  du Dessin, Penser à repasser la forme exacte des intersections de solides si elles  existent., Exécuter la cotation en plaçant tous les signes des états de surfaces.  Exécuter les hachures. Exécuter les écritures. Essayer de lire votre dessin. Mode opératoire Les vues doivent toutefois rester alignées comme si elles avaient été dépliées. Il importe de se rappeler que les vues représentent toujours, l’une par rapport à l’autre, un point de vue différent de 90°. Certains détails peuvent être difficiles à représenter. C’est notamment le cas des détails cachés qui ne peuvent être compris qu’en « coupant » la pièce en deux ou d’une manière adéquate avec des plans de coupe multiples disposés convenablement. Ceci revient à introduire la notion de vues en coupe. Nous parlerons des coupes et des sections. 4eme partie VUE PARTICULIERES COUPE ET SECTION CT KIPILI Ass Meyz BEYA Les principes de représentation sont parfaitement adaptés à la description et à la définition des formes et contours extérieurs. Dans le cas de pièces creuses il n'en est pas de même, les formes intérieures décrites à partir de traits interrompus courts sont difficiles à définir. Dans ce mode de représentation l'objet est coupé (analogie avec un fruit coupé au couteau). Les morceaux sont séparés. Le plus représentatif est choisi. L'observateur, le regard tourné vers le plan coupé, dessine l'ensemble du morceau suivant les règles habituelles. L'intérieur, devenu visible, apparaît clairement en traits forts. 1. Principe 2. Règle En général, on ne dessine pas les contours cachés, ou traits interrompus courts, dans les vues en coupe, sauf si ceux-ci sont indispensables à la compréhension. Règles de représentation normalisées Plan de coupe - Il est indiqué dans une vue adjacente. - Il est matérialisé par un trait mixte fin (« trait d'axe ») renforcé aux extrémités par deux traits mixtes forts courts (trait-point-trait). Le trait mixte fin peut être omis. - Le sens d'observation est indiqué par deux flèches (en traits forts) orientées vers la partie à conserver. Les extrémités « touchent » les deux traits forts courts. - Deux lettres majuscules (AA, BB...) servent à la fois à repérer le plan de coupe et la vue coupée correspondante. Ces indications sont particulièrement utiles lorsque le dessin comprend plusieurs vues coupées. Hachures - Les hachures apparaissent là où la matière a été coupée. (section) - Elles sont tracées en trait continu fin et sont de préférence inclinées à 45° (dans le cas où un seul objet est coupé) par rapport aux lignes générales du contour. - Elles ne traversent pas ou ne coupent jamais un trait fort. - Elles ne s'arrêtent jamais sur un trait interrompu court. - Le motif des hachures ne peut en aucun cas préciser la nature de la matière de l'objet coupé. Règles complémentaires simplifiant la lecture des dessins On ne coupe jamais des nervures lorsque le plan de coupe passe dans le plan de leur plus grande surface. La règle est la même avec les bras de poulie, de volant ou de roue, Des pièces ou des objets différents appartenant à un même ensemble en coupe doivent avoir des hachures différentes : inclinaisons différentes et au besoin motifs différents. On ne coupe jamais les pièces de révolution pleines (cylindriques ou sphériques telles que axes, arbres, billes...), les vis, boulons, écrous, rivets, clavettes. Demi-coupe Les vues en demi-coupe sont particulièrement intéressantes dans le cas des pièces symétriques. Principe Dans ce mode de représentation la moitié de la vue est dessinée en coupe, afin de définir les formes et les contours intérieurs, alors que l'autre moitié reste en mode de représentation normal pour décrire les formes et les contours extérieurs. Règles Elles sont les mêmes que pour les coupes normales, l'indication du plan de coupe est inchangée. Les deux demi-vues sont toujours séparées par un axe de symétrie, trait mixte fin l'emportant sur tous les autres types de traits. Coupe locale ou partielle II arrive fréquemment que l'on ait besoin de définir uniquement un seul détail (un trou, une forme particulière etc.) du contour intérieur. Il est alors avantageux d'utiliser une coupe locale plutôt qu'une coupe complète amenant trop de tracés inutiles. L'indication du plan de coupe est inutile dans ce cas. Un trait fin ondulé ou en zigzags sert de limite aux hachures. Coupe à plans parallèles Elle est utilisée avec uploads/s3/ communication-graphique-bon.pdf

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