Iguazú Quintet est un jeune ensemble belge composé de musiciens multifacettes e
Iguazú Quintet est un jeune ensemble belge composé de musiciens multifacettes et proposant une vision moderne du Tango Nuevo en explorant de nouveaux territoires à travers de nombreux arrangements originaux ponctués d'improvisation, ainsi que des collaborations avec de nombreux compositeurs modernes contemporains. Iguazú Quintet a vu le jour en 2016 au sein du Conservatoire Royal de Mons (Arts2), et s'est depuis développé comme projet professionnel entre musique classique, tango et jazz, sur les scènes belges et à l'étranger. Après l'enregistrement d'un premier album dédié à Astor Piazzolla, paru en 2020, le groupe prends désormais une direction plus jeune et moderne que jamais, brouillant les frontières entre les genres musicaux et se positionnant comme une formation de "Jazz de Chambre". Embarquez pour un rêve éveillé et coloré, le long des ruelles et les clubs de Buenos Aires. A New Age of Tango Genèse d'Iguazú Quintet Amancay - Hommage à Astor Piazzolla Membres du projet Concerts Contact Fiche technique Plan de Scène Iguazú Quintet voit le jour dans les murs du Conservatoire Royal de Mons (ARTS2) en début d’année 2016 comme un projet de musique de chambre ordinaire. Tombé amoureux depuis plusieurs années de la musique d’Astor Piazzolla, le guitariste Wynand Mawet décide d’explorer ce répertoire dans la formation traditionnelle créée par le maitre argentin : le Quintet de Tango Nuevo. Il s’entoure alors d’étudiants du conservatoire, rassemblés par la passion commune d’une musique à la fois moderne et empreinte de métissages. Musiciens aux parcours variés ayant évolué tant dans le monde de la musique classique que dans celui du jazz, de la pop et de la musique du monde, les membres d’Iguazú Quintet explorent le Tango Nuevo en s’inspirant des dernières années de carrière d’Astor Piazzolla, et de son Conjunto Electronico, aux sonorités plus jazz et électriques. Ils offrent ainsi une version plus jeune de la musique du maitre argentin, n’hésitant pas à s’approprier les musiques du compositeur et à y insérer des éléments d’improvisation. Genèse d'Iguazú Quintet Suite à la réalisation de leur premier album « Amancay – Hommage à Astor Piazzolla », enregistré chez Dada Studios en août 2019, Iguazú Quintet décide d’emprunter un tournant important dans le choix de son répertoire, pour s’éloigner quelque peu d’Astor Piazzolla et explorer des facettes plus modernes de son héritage musical. Rentrant en contact avec des compositeurs bien connus du Tango Nuevo, tels que Rodolfo Mederos ou Tomás Gubitsch, ils font également appel à de jeunes compositeurs belges tels que le pianiste et accordéoniste Jimmy Bonesso afin d’élargir le répertoire. Ayant toujours à cœur de préserver la richesse harmonique et polyphonique du style, les membres d’Iguazú Quintet remanient les œuvres Tango Nuevo en y apportant leur vision de l’arrangement et de l’orchestration, mais également toujours de l’improvisation. Fort de toutes ces explorations, Iguazú Quintet est une expérience musicale entre deux mondes, une formation de « Jazz de chambre » qui chante un amour passionnel pour le Tango Nuevo, proposant aux musiciens et auditeurs de tous horizons un concert aux nombreuses surprises : The New Age of Tango. Amancay Hommage à Astor Piazzolla En mars 2020 sort le premier album du groupe : Amancay – Hommage à Astor Piazzolla. Le quintet est composé de musiciens aux parcours variés ayant évolué tant dans le monde de la musique classique que dans celui du jazz, de la pop et de la musique du monde ; ses membres explorent le Tango Nuevo en s’inspirant d’une part des dernières années de carrière d’Astor Piazzolla, et de son Conjunto Electronico, aux sonorités plus jazz et électriques, et d’autre part de sonorités plus acoustiques de la guitare classique, inspirées par des arrangements plus modernes légués par des guitaristes tels que Sergio Assad, Yamandu Costa ou Eduardo Isaac. Ils offrent ainsi une version plus jeune de la musique d’Astor Piazzolla, n’hésitant pas à s’approprier totalement les musiques du compositeur et à y insérer des éléments d’improvisation. L’album parcourt ainsi l’héritage riche du maitre argentin, proposant des œuvres connues et moins connues de son répertoire, avec toujours cette volonté de jongler entre la littérature du compositeur et la personnalité des jeunes interprètes. Un voyage musical entre tradition et modernité, respectueux et inventif. « Pour nous musiciens, jouer Piazzolla reste l’expression à l’état pur. On se libère des partitions et on a l’impression d’improviser alors que tout est écrit. Il y a une magie particulière dans cette liberté-là. Toute la musique est écrite, mais elle intègre l’essence même d’une appropriation possible. Piazzolla a calibré sa musique en laissant une liberté. (…) Il arrive au public de pleurer quand on joue Piazzolla. Ce n’est pas par hasard : il y a une extraordinaire concentration de l’émotion. » *Richard Galliano, le 13 décembre 2010 – Extrait de la préface de « Astor Piazzolla, le tango de la démesure », écrit par Emmanuelle Honorin et publié en 2011 aux Editions Demi-Lune, Collection Voix du Monde. Marion Borgel commence ses études musicales au Conservatoire de Grenoble et se forme auprès de Jean Lenert à Paris où elle obtient son diplôme de violon Supérieur à la Schola Cantorum en 2010. Elle y débute l’alto sous les conseils de Pierre Lenert, alto solo de l’Opéra de Paris. Elle étudie ensuite au Conservatoire Royal de Bruxelles dans la classe de Shirly Laub et obtient son diplôme de Master Spécialisé violon avec distinction en 2015, et l’année suivante son Master Didactique avec distinction au Conservatoire Royal de Mons. Elle est lauréate du concours de sonates du Lions Club Grenoble Olympique en 2000, du concours du jeune musicien de la ville de Lempdes en 2001, du concours de Musique et d’Art Dramatique Léopold Bellan (Paris) en 2002, ainsi que du concours de Musique d’ensemble de la ville de Kaunas (Lituanie) en 2006. Marion Borgel acquiert très tôt une expérience orchestrale en se produisant dans divers ensembles tels que l’Orchestre Scherzando, l’Orchestre des Jeunes de Montpellier, le Schola Chamber Orchestra, l’Antwerp Symphony Orchestra, l’Orchestre du Festival de la radio Musiq3 etc. En juin 2016, elle devient membre de l’ensemble Fractales et s’engage dans la création contemporaine au violon et à l’alto. Chambriste active, elle est régulièrement appelée à jouer au violon et à l’alto au sein de divers ensembles en Belgique Marion Borgel est actuellement professeur de violon à l’Académie de Musique de Watermael-Boisfort (région bruxelloise), elle enseigne également en privé et est intervenante en tant que professeur de violon et d’alto dans le projet pédagogique et social DEMOS parrainé par la Philharmonie de Paris à St Quentin, en France, depuis 2016. Membres du projet Marion Borgel Pauline Oreins est une accordéoniste, pianiste, compositrice et créatrice belge. Elle partage sa vie entre Bruxelles et Genève où elle y puise des ressources variées et complémentaires. Passionnée par le mélange des arts, la musique de chambre et les rencontres artistiques et humaines qui en découlent, elle collabore régulièrement avec d’autres disciplines comme le théâtre, le cinéma, la danse, le cirque ou la photographie. Elle débute la musique a l’âge de 5 ans et s’est formée à la Haute Ecole de Musique de Genève (CH), au Conservatoire Royal de Mons (Arts2, BE) et à l’IMEP de Namur (BE) où elle obtient un master en piano, en accordéon chromatique et en musique de chambre. En 2021, elle sort son premier album de composition, un concept multidisciplinaire, en duo avec l’altiste Carmen Martinez. Au delà du classique, Pauline s’intéresse à différents styles musicaux comme le tango (Quintessence, spectacle Allô? avec Locas de Amor, Equinox Quintet, Iguazu Quintet) ou la musique traditionnelle (Anmoor). Elle compose régulièrement pour le cinéma (C’est tout comme !, Casting di un padre, CASH de Giulia Goy, documentaire Sous la carapace), pour les arts de la scène (Le mangeur d’Etoiles, spectacle de cirque contemporain Cie La Bulle d’Art) et a réalisé deux courts-métrage (PRELUDES, Des cendres sur la falaise). Elle fait partie du collectif artistique pluridisciplinaire Khaos.corp. Pauline Oreins Né en Belgique à Tournai en 1994, Wynand Mawet commence l’apprentissage de la guitare classique à l’âge de 6 ans. En 2012, après avoir étudié avec le jeune et talentueux Adrien Brogna, Wynand Mawet rentre au Conservatoire Royal de Mons (Arts²), dans la classe du Maitre brésilien Odair Assad. Il y obtiendra un Master didactique et un Master spécialisé en guitare classique. Il obtiendra également par la suite un Master spécialisé en guitare classique et un Master spécialisé en musique de chambre dans la classe de la maestra Raphaella Smits à la Lucas School of Arts. Passionné par la musique du monde et le jazz, Wynand Mawet s’applique à explorer ces styles en solo et dans diverses formations, notamment le Duo Nysos, la Suptil’Compagnie ou dans des collaborations avec divers musiciens belges ou étrangers. Également passionné par la fusion de formes d’expressions artistiques diverses, il travaille avec comédiens, metteurs en scène ou artistes plasticiens à l’élaboration de spectacles où de nombreuses disciplines artistiques se mêlent au service d’une création commune. Il crée ainsi avec d’autres artistes belges la Suptil’Compagnie et Murmures ASBL, et poursuivra également cette même dynamique au sein du Festival Trajectoires, à Mons. uploads/s3/ iguazu-quintet-a-new-age-of-tango.pdf
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- Publié le Aoû 03, 2022
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