1. L’uniforme favorise le sentiment d’appartenance à une école L’uniforme offre
1. L’uniforme favorise le sentiment d’appartenance à une école L’uniforme offre aux élèves un “sentiment d'appartenance à la communauté éducative renforcée": pour l'édile, l'uniforme participe à "un meilleur climat scolaire", estime l'historien de l'éducation Claude Lelièvre dans le HuffPost. Pour 137 euros, chaque enfant se verra mettre à sa disposition d'un pantalon coupe droite, d'un gilet bleu ciel, de polos brodés de la devise républicaine et d'un blouson style aviateur. “Quand les enfants mettent leur blouse le matin, ils rentrent dans la peau d'un écolier. 2. L’uniforme permet d’effacer les inégalités Les défenseurs de l’uniforme affirment qu’il peut contribuer à la lutte contre les inégalités, résoudre les problèmes d’intégration et même mettre un terme au harcèlement et à la violence à l’école. 1. L’uniforme nie l’identité de l’enfant ou de l'adolescent À l’inverse, l’uniforme est accusé de nier la liberté de chacun de s’habiller comme il le souhaite. Selon Michel Fize, sociologue spécialisé dans l’adolescence interrogé par LCI, la volonté de faire porter l’uniforme à l’école relève d’un problème générationnel : "je crains que le fait de vouloir se distinguer dans la cour de récréation dérange les adultes. Cela relève parfois d’un raisonnement autoritaire". Car porter les vêtements que l’on souhaite est une marque de liberté et d’indépendance. Quelles frontières entre vie privée et pro sur Internet ? La démocratisation des réseaux sociaux a sans aucun doute effrité la frontière entre vie privée et professionnelle. Le mélange de statuts privés et professionnels sur les profils le prouve. Bien entendu, la plupart des réseaux sociaux, Facebook et Google + pour ne citer qu’eux, permettent de créer des listes et ainsi séparer les contacts professionnels des autres contacts… Mais est-ce une pratique courante ? De plus, on observe sur Facebook énormément de personnes qui partagent leurs statuts en mode “public Du partage de son humeur à celui de nos plats préférés en passant pas ceux de nos vacances, notre vie privée est de plus en plus étalée à travers la toile. Cela nous pousse à repenser la réelle frontière entre vie privée et vie professionnelle… Les listes des relations sur les réseaux sociaux regorgent de contacts professionnels, souvent intéressés uniquement par l’information concernant le domaine d’activité. Ici, ce que l’on entend par contacts professionnels va bien au delà des simples collègues ou autres personnes travaillant sur le même lieu de travail. On entend donc toute personne qui au départ s’est mise en contact pour des raisons strictement professionnelles, afin de partager de l’information sur un domaine par exemple. Le but, dans ce cas, est de compléter une sphère professionnelle autour d’une thématique bien précise comme il s’en forme essentiellement sur Twitter. Cependant, malgré le fait que les notions de vie professionnelle et vie privée soient bien distinctes dans la plupart des esprits nous voyons à quel point ces deux notions sont sans cesse mélangées dans un seul et même profil En fin de compte, le partage de sa vie privée ou en tout cas d’une partie de sa vie privée pourrait contribuer à booster son e-réputation ou en d’autres mots à se faire des “amis”. En effet, remarquons le nombre de commentaires et de partages sur des “futilités” tels des photos de ses repas ou de ses vacances. Remarquons également le système de l’Edge Rank de Facebook qui, rappelons-le brièvement, augmente la visibilité de nos publications en fonction des interactions engendrées par celles-ci. En réfléchissant un peu, cela pourrait nous pousser à partager des publications sur notre vie, engendrant plus de partages afin de permettre à des publications plus professionnelles d’être plus visibles ( le partage d’articles de notre blog par exemple). Il est vrai que cette réflexion parait logique, mais pourrait être dévastatrice de notre fil d’actualité qui serait dans ce cas tout simplement inondé par des photos de chiens, d’enfants jouant à la balançoire, et autres joyeusetés… D’autre part, le partage d’informations plus personnelles, rendent les échanges plus humains est donc plus prometteur. Le mieux serait donc de trouver un juste milieu entre partages professionnels et privés… Conclusion. La frontière entre vie privée et vie professionnelle a sans aucun doute été bouleversée par la venue des médias sociaux, mais cela n’a rien d’effrayant et ne constitue qu’une simple conséquence de notre mode de vie… Pour autant que l’on puisse gérer de façon appropriée tous nos partages et que cela ne soit pas trop dévastateur pour notre vie et celle des autres. Les réseaux sociaux ont engendré une sorte d’égocentrisme et d’extimisme, mais l’essentiel est de ne jamais oublier qu’ils ont été conçu afin de partager des moments de vie avec les autres… Aujourd’hui, les nouvelles méthodes de management et l’amélioration du bonheur au travail sont des notions qui sont de plus en plus plébiscitées par les salariés français et auxquelles les entreprises portent de plus en plus d’intérêt. Parmi elles se trouve le temps de sieste au travail. Mais quels sont réellement les avantages de la sieste au travail ? Un gain en productivité et en créativité Selon des études très sérieuses, menées par la NASA et par l’université de Harvard, faire une pause dans sa journée de travail, en s’octroyant un temps de sieste, est bénéfique pour le salarié tout comme pour l’employeur. La NASA révèle qu’un employé ayant pratiqué la micro sieste serait plus créatif et plus productif à hauteur de 35 % par rapport à un salarié ne s’y étant pas adonné. La prestigieuse université américaine, quant à elle, met en lumière les vertus économiques de la sieste au travail. En effet, le manque de sommeil et la fatigue seraient à l’origine d’une importante baisse de productivité chez les employés, chiffrée à 63 milliards de dollars pour les États-Unis. Grâce à la pratique de la sieste, cette baisse de productivité, et donc cette perte financière, serait considérablement réduite. Mais tous ces aspects ne sont pas les seuls bienfaits de la sieste au travail. Désormais, nombre de médecins, plus particulièrement les médecins du travail, mettent en avant les vertus préventives et curatives de la sieste au travail dans le cadre de la lutte contre le stress au travail et la prévention de certaines maladies socioprofessionnelles. En résumé, la pratique de la sieste au travail permettrait d’améliorer de façon significative : La qualité de sa mémoire. Ses capacités de concentration. Son degré de vigilance (limitant ainsi le nombre d’accident du travail) La qualité générale de son sommeil. Tout en réduisant certains facteurs de risque liés aux maladies professionnelles : Stress. Tension. Pression artérielle. Quels sont les inconvénients de la sieste au travail ? Toutefois, si la pratique de la sieste au travail peut avoir des effets positifs non négligeables sur les salariés de l’entreprise, et sur cette dernière, mal encadrée et pratiquée de façon excessive, cela peut également avoir des effets négatifs sur l’ensemble des parties. En dehors de l’évidente perte de productivité lors d’une longue sieste, celle-ci peut avoir de lourdes répercussions sur la vie du salarié, tel que : Troubles du sommeil. Difficultés à reprendre le travail, liées à la somnolence. Envoi d’une mauvaise image de soi et de son implication au sein de l’entreprise. Risque de tension entre les adeptes de la sieste au travail et les non-adeptes. Nous pouvons en conclure que les inconvénients liés à la sieste au travail ne trouvent pas leurs origines dans la sieste en elle-même, mais dans la façon dont elle est pratiquée. Solidarité et compétition : des valeurs contradictoires ? Solidarité et compétition sont deux moteurs de l’action souvent donnés comme antinomiques. Pourtant, chacun semble nécessaire aux sociétés démocratiques. La compétition permet un mode de distinction et de sélection plus juste que celui de la naissance. Quant à la solidarité, elle traduit l’interdépendance des individus et s’avère une condition indispensable de la cohésion des sociétés. Les caméras de surveillance D’une part, elles ont un effet dissuasif sur les malfaiteurs et, d’autre part, elles contribuent à identifier les responsables lorsqu’un crime est commis ou qu’un accident survient. Néanmoins, la vidéosurveillance a ses avantages et ses inconvénients, qui peuvent d’ailleurs influer sur votre assurance. En savoir plus sur la question vous sera utile et vous aidera à prendre des décisions plus éclairées relativement à la sécurité sur votre chantier. Avantage : la vidéosurveillance, c’est avoir des yeux partout! Certains systèmes enregistrent les images en continu 24 heures sur 24. D’autres sont dotés de détecteurs de mouvement qui déclenchent la prise d’images uniquement lorsqu’une présence est perçue. Avantage : la présence de caméras de sécurité a un effet dissuasif sur les voleurs et les vandales La présence de caméras de surveillance suffit souvent à faire tourner les talons aux malfaiteurs mal renseignés. Elle peut donc vous faire bénéficier d’un rabais sur votre prime d’assurance. Avantage : la vidéosurveillance fournit des preuves de criminalité ou de responsabilité Les caméras de surveillance peuvent fournir des images de crimes en train d’être commis et d’accidents en train de se produire. Elles sont un outil extraordinaire pour aider à identifier, appréhender et condamner les coupables uploads/s3/l-x27-uniforme-favorise-le-sentiment-d-x27-appartenance-a-une-ecole.pdf
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- Publié le Oct 26, 2022
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