DEDICACE AUX MAUVAIS SPECTATEURS DU 11 SEPTEMBRE 2001 ET DE TOUS LES MENSONGES

DEDICACE AUX MAUVAIS SPECTATEURS DU 11 SEPTEMBRE 2001 ET DE TOUS LES MENSONGES QUI DANS TOUS LES PAYS CONSTRUISENT LA GEOGRAPHIE DU SPECTACLE TERRORISTE « ...On croyait jusqu'à présent que la formulation des mythes chrétiens dans l'Empire romain n'avait été possible que parce que l'imprimerie n'était pas encore inventée. C'est tout le contraire. La presse quotidienne et le télégraphe qui répand ses inventions en un clin d'œil dans tout le globe fabriquent plus de mythes en un jour qu'on ne pouvait en fabriquer autrefois en un siècle...Et ces veaux de bourgeois les gobent et les diffusent... » Karl MARX, Lettre à Kugelmann du 27 juillet 1871. « ...Selon toute vraisemblance, les bombes et les fusées qui tombaient chaque jour sur Londres étaient lancées par le gouvernement lui-même, "juste aux fins de maintenir la population dans la terreur"... » George ORWELL, 1984. BREVE PREFACE SUR LE TERRORISME SPECTACULAIRE DE L'ETAT ET POURQUOI ON N'EN A TROUVE JUSQU'A PRESENT QUE DES EXPLICATIONS INEPTES ET MALHONNETES Terror : du latin terror, terroris, ce qui signifie terreur, effroi, épouvante... C'est le nom de code du centre de pouvoir où les officiers généraux du complexe militaro-industriel de ce qui se veut l'empire du monde, organisent le service secret du spectacle terroriste mondial par lequel l'empire américano-israélien produit et reproduit la vérité de son mensonge. À l'intersection des hauts commandements supérieurs qui supervisent la CIA et le Mossad, Terror est l'expression concentrée du despotisme actuel du capital financier qui pour prolonger sa situation hégémonique mondiale – au moment même où celle-ci tend à se dissoudre – tente de la maintenir par une même terreur d'unification d'espaces géo-stratégiques que tout conduit pourtant désormais à séparer. Terror exprime l'apparition advenue d'une nouvelle variété de domination marchande : le spectaculaire supérieur. C'est la forme la plus sophistiquée d'asservissement des peuples à la dictature de l'argent. Le sens final du terrorisme spectaculaire, c'est qu'il s'est intégré toute la réalité à mesure qu'il s'intégrait totalement dans la réalité. Si le passé a connu des formes archaïques de terrorisme spectaculaire, le spectacle du terrorisme en tant que mode de gestion globale de la société capitaliste constitue un phénomène essentiellement contemporain. La technique de la domination a aujourd'hui abouti à la domination de la technique dont la tyrannie terroriste des services spéciaux est le point ultime à mesure que les secrets de la finance mondiale qui organisent le spectacle de l'actualité politique ont fait de la manipulation le mode opératoire de tous les actes politiques du spectacle. Le terrorisme qui a produit l'effondrement des Twin Towers est le début de la dernière énigme de la crise du spectacle marchand, et seuls ceux qui s'y affronteront dialectiquement auront capacité à la résoudre. Cette énigme ne peut continuer à mystifier ceux que le capital financier mondial entend toujours asservir qu'à la condition qu'elle demeure irrésolue, c'est-à-dire que l'on en dé-lie point les langues et les langages qui organisent et tirent les ficelles de la terreur d'État planifié. L'acte final de résolution de cette énigme mettra fin, non seulement, au terrorisme régnant mais, du même coup, il enclenchera l'effondrement de toutes les finalités de l'empire américain. Seuls ceux qui y ont intérêt pourront résoudre pratiquement et théoriquement la clef politique de cette énigme secrète qui est, en même temps, l'énigme du secret de toutes les clefs politiques. Qui donc a là intérêt et possibilité de dé-brouiller les fils de l'écheveau façonnant l'intrigue qui a fait naître cette énigme ? Personne évidemment, excepté les communards rebelles à la dictature de la marchandise, car seulement eux en tant que leur force accomplie est la lutte inter-nationaliste de tous les peuples de la terre contre l'abrutissement mondialiste yankee, ont la puissance nécessaire pour éradiquer le terrorisme d'État qui les exploite et les aliène. La finalité de tous les attentats actuels qui ne profitent qu'au centre de profit qui les a finalisés et actés n'est autre que d'endoctriner les masses planétaires dans un téléguidage mondialiste mental et monstrueux qui voit la domination spectaculaire de l'argent se re-produire par la dés-information et la peur jusqu'au stade de folie généralisée où ceux qui se croient maîtres du monde espèrent mettre l'intelligence hors la loi. Par le terrorisme spectaculaire, l'impérialisme américano-israélien a lancé un défi mortel aux peuples de la terre et à tous les vivants qui entendent le rester. Les rebelles à l'ordre mondial de la domination technico-financière ne peuvent que le relever en affirmant leur totale récusation de l'actuelle imposture démocratique qui n'est d'ailleurs pas autre chose que l'apogée de l'in-version historique par laquelle le spectacle universel a fait du monde l'univers de l'im-monde et où la totalité du faux se présente dorénavant comme la vérité du tout. Tous ceux qui aujourd'hui parlent de l'émancipation humaine sans dénoncer le grand secret des pièges du terrorisme d'État qui a généré le 11 septembre 2001, ses préambules, développements et prolongements, ne sont eux-mêmes que les ultimes avatars de l'intoxication spectaculaire par laquelle les bénéficiaires du système ont décidé ainsi de systématiser leurs bénéfices. Le capitalisme mondialiste est parvenu au stade ultime de l'infection et le spectacle de son terrorisme est d'abord la marque de la terreur qui le traverse depuis qu'il s'essaye désespérément à condamner l'histoire qui justement l'a condamné. Le texte qui suit, rédigé par Terror lui-même, est de ce point de vue remarquable. Dans un cynisme de mort, il exprime particulièrement bien pourquoi et comment les attentats terroristes contre le World Trade Center et le Pentagone ainsi que tout ce qui s'y rattache tant en amont qu'en aval, sont le fruit méthodique d'une stratégie capitaliste claire et nette de plan hégémonique sur le monde. C'est là l'envers du décor qui situe tout à la fois la peur du pouvoir telle qu'elle traverse les maîtres d'œuvre de la terreur spectaculaire et le pouvoir de la peur tel qu'il est devenu le dernier moyen de gestion pitoyable d'une hyper-puissance en angoisse d'impuissance. Le centre du spectacle se révèle ici tel quel par le spectacle du centre qui a commandé toutes les opérations de la terreur d'État et qui propose lui-même l'auto-déchiffrement de ses projets et actions. Terror comme premier cercle de décision et de programmation expose ici au deuxième cercle, celui des grands responsables d'exécution, les ambitions et les nécessités de la politique terroriste de longue durée aux fins de sauver la domination américaine sur le monde. Les secrets de la puissance qui provoque le terrorisme spectaculaire résident exclusivement dans la puissance des secrets par lesquels le spectacle de la terreur terrorise si bien les spectateurs qu'il fait du quotidien le psycho-drame collectif de la contemplation aliénée et de la passivité généralisée. Entre les lignes et par les lignes, Terror dit tout ... On est là à la période charnière et hautement critique où les illusions de la fin ont déjà commencé à véritablement apparaître pendant que la fin des illusions, elle, a bien débuté son travail de sape. Terror se présente dans sa force mais qui est simultanément sa faiblesse car comme la dialectique de l'histoire en a signalé l'invariance, l'apogée arrivée du parcours d'un empire est toujours l'indication du périgée arrivant de l'empire de son parcours. Le vieux monde a commencé à périr mais il ne le sait pas encore, le texte de Terror le dit sans le dire. Il est ici l'expression idéologique de la pensée terroriste d'État la plus pensée et c'est comme cela qu'il doit être lu. En tant que conscience fausse de la domination réalisée de la marchandise sur le monde, Terror dit la vérité de l'aliénation spectaculaire à son niveau suprême. Ce texte a une histoire. Il a été rédigé en vue d'une conférence stratégique qui s'est tenue entre les 26 et 29 novembre 2002 à Washington. Produit en un très petit nombre d'exemplaires codés et strictement confidentiels, ce véridique rapport n'aurait jamais dû et pu parvenir sur la place publique si la ruse de la raison, comme le dit Hegel, n'avait mis en perspective nécessaire à un moment donné et propice, un curieux concours de circonstances qui dans un hôtel de la côte ouest-américaine, amena un certain jour de décembre 2002, une mallette bleu foncé à être confondue avec une autre mallette du même bleu. Georges Bush a promulgué le mercredi 27 novembre 2002, la loi créant la commission spéciale d'enquête spéciale sur les attentats du 11 septembre 2001. Il a nommé président de cette commission Henri Kissinger, membre comme lui du deuxième cercle, honorable spécialiste des services et des interventions parallèles et souterraines, prix Nobel de la paix 1973, criminel de démocratie reconnu, du Vietnam au Timor-Oriental en passant par Chypre et la Grèce... Hostile initialiement, à la désignation d'une telle commission, Georges Bush a dû finalement s'y rallier sous la pression montante des familles des victimes des attentats de New York et Washington qui réclamaient la « vérité » sur les « erreurs » commises par les services gouvernementaux américains. La réunion où fut présenté le texte de Terror eut lieu dans ce contexte où le premier cercle décidait de mobiliser et de uploads/Finance/ 2003-01-terror-veridique-rapport-sur-les-dernieres-necessites-de-preservation-et-d-extension-de-la-domination-americaine-sur-le-monde-1-pdf.pdf

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  • Publié le Dec 26, 2022
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