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Δϴ Β όθϟ Δ ϴ ρ ήϘ Ϥ ϳΪϟ Δϳή ΰΠ ϟ ΔϳέϮϬ Ϥ Π ϟ People’s Democratic Republic of Algeria ϲϤ Ϡ όϟ ΚΤΒ ϟ ϭϲϟ Ύ όϟϢ ϴ Ϡ όΘ ϟ Γ έ ίϭ Ministry of Higher Education and Scientific Research ϥ ή˰˰˰˰˰ϫϭΩ Ύ μ Θ ϗ ϼϟΎ ϴ Ϡ όϟΔ γέΪϤ ϟ Higher School of Economics of Oran Exposé : Economie Monétaire Présenter par : •Bouzid Sarra Group : 06 Année universitaire:2020/2021 Théme08 : L’échange Flottant Sous la direction de M.wahid Sommaire Introduction…………………………………………………………………………………...1 Chapitre 01 : Généralité sur l’échange flottant…………………………………..………....2 Section01 : Définition de l’échange flottant ………...………………….………………..........2 Section 02 :l’origine de la mise en place depuis 1971 d’un système de change flottant……...3 Section 03 : l’absence de cette théorie général ……………………………….……………… 3 Chapitre02 : Une vision globale sur Le système de changes flottants………3 Section 01 : Faible théorisation de la pratique des changes flottants depuis 1971…….……..4 Section 02 : les deux types de régime de change………………………………………..….....5 Section 03 : les critiques…………………………………………………………………….....6 Conclusion……………………………………………………………………… 7Bibiographie…………………………………………………………………..... 8 Introduction L’échange flottant c’est une partie des fonctions qui découle de ses caractéristiques dans Les caractéristiques du système monétaire international. Les changes flottants : la banque centrale n’a pas d’objectif de change, elle laisse fluctuer le cours de sa monnaie au gré de l’offre et de la demande sur le marché des changes. Il ne faut pas confondre la convertibilité d’une monnaie avec le régime de change mis en place dans un pays ou une zone monétaire. En d’autres termes, la libre convertibilité n’est pas synonyme d’un régime de change flottant. Ainsi le Brésil ou l’Inde qui ont opté pour un régime de change flottant limitent tout de même la convertibilité respective du real brésilien et de la roupie indienne. On peut observer que le cours de ces monnaies varie chaque jour, comme celui de l’euro ou du yen, mais les banques centrales brésilienne et indienne gardent un contrôle strict sur la masse monétaire de devises en circulation. Qu’est-ce qu’un taux de change flottant ? Un taux de change flottant correspond à une devise dont le cours est déterminé par des facteurs d’offre et de demande relatifs à d’autres devises. Un taux de change flottant diffère d’un taux de change fixe, ou PEG, qui est entièrement déterminé par le gouvernement de la devise en question. Il ne faut pas confondre la convertibilité d’une monnaie avec le régime de change mis en place dans un pays ou une zone monétaire. En d’autres termes, la libre convertibilité n’est pas synonyme d’un régime de change flottant. Ainsi le Brésil ou l’Inde qui ont opté pour un régime de change flottant limitent tout de même la convertibilité respective du real brésilien et de la roupie indienne. On peut observer que le cours de ces monnaies varie chaque jour, comme celui de l’euro ou du yen, mais les banques centrales brésilienne et indienne gardent un contrôle strict sur la masse monétaire de devises en circulation. Il ne faut pas confondre la convertibilité d’une monnaie avec le régime de change mis en place dans un pays ou une zone monétaire. En d’autres termes, la libre convertibilité n’est pas synonyme d’un régime de change flottant. Ainsi le Brésil ou l’Inde qui ont opté pour un régime de change flottant limitent tout de même la convertibilité respective du real brésilien et de la roupie indienne. On peut observer que le cours de ces monnaies varie chaque jour, comme celui de l’euro ou du yen, mais les banques centrales brésilienne et indienne gardent un contrôle strict sur la masse monétaire de devises en circulation. 1 Chapitre 01 : Généralité sur l’échange flottant Définition de l’échange flottant : Le régime de changes flottants, ou régime de changes flexibles, est le régime du système monétaire international dans lequel la valeur des monnaies — au sens de leur taux d'échange entre elles — varie sur un marché spécialisé. Les États ne déterminent donc pas directement leurs taux d'échange. Le système de changes flottants ne comporte pas pour l'instant d'étalon monétaire international auquel chaque devise pourrait faire référence. Le cours des monnaies varie au jour le jour, s'appréciant ou se dépréciant, mais sans instrument de mesure commun de cette appréciation ou dépréciation. L’approche traditionnel : Le change flottant est une qualification qui s'applique lorsque la parité d'échange d'une devise contre une autre devise fluctue librement sur le marché des devises en fonction de l'offre et de la demande L’origine de la mise en place depuis 1971 d’un système de change flottant : La valeur d'une pièce de monnaie a été définie par rapport à un étalon métallique depuis le début de la monnaie biblique. En raison de trop grandes disparités dans la répartition de l'or, concentré en grande partie aux États-Unis, l'étalon d'or, qui avait été largement utilisé en Occident, n'a pu être restauré après la guerre de 1944. Le système mis en place à Bretton Woods était un système de change fixe avec étalon de change or basé sur le seul dollar (USD) Les changes étaient fixes mais ajustables : un pays pouvait dévaluer ou réévaluer sa monnaie, pourvu qu'un plan d'ajustement fût mis en œuvre et que les autres pays offrent leur accord. Le FMI était chargé de la supervision de ce mécanisme. Ce dispositif donnait au dollar une place particulière. Les déficits de la balance des paiements américaine étant financés par des dollars « qu’il n’appartient qu’à eux d’émettre », les États- Unis choisissaient de ne pas s’en soucier. On appelle cette attitude le « benign neglect ». 2 Pendant les années 1960, les dépenses militaires américaines ainsi que la course à l'espace conduisirent le gouvernement américain à multiplier les dépenses et à créer une immense liquidité internationale de dollars. Cette licence attira d'abord les remarques du général de Gaulle, qui, dans une conférence célèbre, demanda le retour à l'étalon-or et se mit à exiger des paiements en or, au lieu de dollars. Ce fut l'Allemagne qui, en 1971, mit fin aux accords de Bretton Woods : agacée d'avoir à acheter des dollars au taux fixe supérieur au taux naturel du marché, ce qui revenait à payer l'inflation des États-Unis à leur place, la BUBA, la banque centrale allemande, sensibilisée à l'inflation par l'hyperinflation du début des années 1920, cessa de les accepter. Le Président Nixon prit alors la décision de supprimer la convertibilité or du dollar. Après quelques années de tergiversations, de premiers accords en 1973 mirent fin au système des changes fixes et ajustables, les accords de la Jamaïque en 1976 établissant le cadre juridique nécessaire à la mise en place d'un système de changes flottants2. Les changes flottants n'ont pas été un choix technique réfléchi de longue date et fruit d'un consensus entre économistes, mais une solution de facto1. À compter de ce jour, l'ensemble des monnaies du monde ont été des monnaies papier ou en compte dont la valeur varie au rythme des transactions sur le marché des changes. Ces valeurs et leurs variations ne sont, sans étalon monétaire mondial, mesurables qu'entre une monnaie et une autre. Les DTS (Droits de tirage spéciaux du FMI) ne peuvent jouer pleinement ce rôle d'étalon tant que leur valeur reste liée à un "panier" de monnaies. L’absence de cette théorie général : Les changes flottants n'ont fait l'objet d'aucune étude ou publication durant la période classique et néoclassique, c'est-à-dire jusqu'en 1921. Le flottement était une singularité et presque un accident. L'étalon or n'était plus discuté depuis les années 1870, date de fin de l'Union latine et de la démonétisation de l'argent aux États-Unis (en 1873). Les désordres d'après guerre conduisirent à des situations monétaires variées. Le flottement des monnaies allemande et autrichienne accompagne une hyper-inflation douloureuse. La France essayait de rendre à sa monnaie la valeur qu'elle avait avant la guerre. La conférence d'Athènes s'empressa de reconstruire un système de changes fixes. Il fut balayé par la crise de 1929 et l'éclatement du système monétaire qui s'ensuivit, marqué par des dévaluations compétitives nombreuses, un contrôle des changes et un approfondissement de la crise. Personne ne recommandait les changes flottants. Au contraire : au retour de la paix, un nouveau système de changes fixes fut mis en place. Les manuels d'économie jusqu'à la fin des années 1960 traitaient ainsi le sujet par prétérition ou à travers quelques lignes péjoratives. Par exemple, le manuel Dalloz de 1969 sur la monnaie rédigé par Henri Guitton, professeur alors de grande réputation, traite des changes flottants en une demi-page (sur 647) qui se contente de noter que l'expression « changes erratiques » laissait progressivement place, dans les quelques débats qui avait lieu sur le sujet, à l'expression de changes flexibles, plus descriptive, moins connotée. Il est vrai que, dans des traités universitaires comme celui de Paul Leroy-Beaulieu, l'on parle de « monnaies dépréciées au change erratique » pour les monnaies sans rattachement à l'or et donc « flottantes » dans les conditions de l'époque, où l'étalon-or était « le système des pays civilisés »3. Gottfried Haberler dans son ouvrage4 évoque quant à lui les « uploads/Finance/ expose-monetaire.pdf
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- Publié le Apv 21, 2022
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