Nom : BELHAJ Prénom : Oussama Classe : Master CCA M1 Fiche de lecture Titre : É
Nom : BELHAJ Prénom : Oussama Classe : Master CCA M1 Fiche de lecture Titre : Économie et marchés financiers – Perspectives 2010-2020 Auteur : Thierry Béchu Edition : Éditions d’Organisation Groupe Eyrolles 61, bd Saint-Germain Collection : Bourse Année de publication : le 13/11/2009 Nombre de Chapitres : 16 chapitres OBJECTIF : L’objectif principale de cet ouvrage ne consiste pas à parler et analyser l’origine de la crise et ses phases de développement, mais l’objectif principale consiste à analyser les conséquences sur les marchés financiers, l’économie et la société ainsi que le désordre que la crise a engendré, à fin d’anticiper et entrevoir l’avenir . Chapitre 1 : Une nouvelle crise du capitalisme Page 2 une nouvelle crise du capitalisme la recherche de profit à tout prix le problème de l’aléa moral le système capitaliste aurai dérapé par un exès de générosité càd que la redisribution d'une partie des profits en faveur des dirigeants. pour exploser leurs salaires on peut dire que la prise de risque est devenue une source de rémunération ayant pour effet un comportement abusifs de la part de ces agents . les dirigeants des grandes entreprises ont vu leurs profit explosé aveuglement et « court-termisme » Comportement qui privilégie l’obtention d’un gain immédiat au détriment du résultat futur . ce comportement a conduit a un aveuglement lors des prises de décisions puisqu’il sont reportés a plus tard , ayant des effets calamitant pour la finance et l’environnement .. la baisse des salaires à l’avantage des profits dans le partage de la valeur ajouté la période 1980-2008 est caractérisé par le baisse des salaires et a contrario lqa hausse de la part des profits ; ce qui constitue une preuve supplémentaire des inégalités dans le système dans ce sens Le crédit a joué un rôle majeur pour créer une paix sociale les salariés avaient un accès unique à la grande société de consommation et les capitalistes voyaient leurs profits exploser Tout le monde est gagnant Chapitre 2 : le marché immobilier américain et la crise des subrimes. La crise des subrimes est avant tout la crise des marché immobilier dont elle a entrainé une perte énorme non seulement les ménages mais aussi coté les patrons. Le marché des mortgages : C’est une caracterisque de marche immobilier américain, consistée a la possibilité de renégocier son emprunt auprès des banque de façon souple (par exemple si le taux diminue il est fréquent de revenir renégocier son prêt pour une baisse de ses annuités) Le marché hypo cataire américaine offre une souplesse supplémentaire avec la possibilité de renégocier sa capacité d’emprunt des lors que le bien immobilier sur lequel se repose le prêt Page 3 initiale s’apprécie, cette facilité appel « mortgage equity withdrawals » explique essentiellement par la hausse des prix immobiliers, permet aux ménages américain d’augmenter leur consommation pour un montant supérieur en moyen de 5% de PIB. Le préteur et les emprunteurs se retrouvent dans une situation de la dette celle de leur biens ils se retrouvent en « equity négative » richesse nette négative. Les subrimes : Prêt immobilières consentis à la population American la plus risques qui dispose des emplois et des revenus faibles et d’une situation familiales instables, pour le banquier s’agit donc d’une clientèle a haute risque pour lequel le taux de défaillance le plus élevé. Début des années 2000,le taux d’intérêt se sont retrouvé à niveau bas et dans le même temps la hausse de l’immobilier et donc les banquiers ont commencé a relâche des contraintes sur les ménages subrimes en utilisant le principes de refinancement, état unie le bien immobilier commencé a prendre de la valeur et bien on peut maitrise une partie de cette révolution pour faire de nouveau crédit ,et pour les ménages subrimes ont les attires avec un taux faible en début pour qu’ils puissent s’endetter avec l’idée toujours que l’immobilier continue a procréer ? La crise de subrimes est explosé avec l’expulsion de la bulle d’immobilier qui traduit une perte enregistrés par la pluparts des établissement financier et de nombreux investisseur par le monde. Page 4 Chapitre 3 : Politique monétaire et endettement massif. Page 5 Le marché des mortgages :Le marché hypothécaire américain est caractérisé par sa flexibilité puisque son taux est variable c’est-à-dire le taux de l’emprunt accordé peut être renégocié à toute variation du taux de marché, avec une possibilité d’avoir un prêt supplémentaire . . Cette facilité appelée mortgages a permis aux ménages d’octroyer des prêts immobiliers c’est ainsi que l’immobilier américain connaissait une formidable bulle spéculative Les subrimes :Les prêts subprimes sont des prêts risqués accordés à des ménages peu solvables et qui représentent un risque de défaillance élevé. Dans les années 2000, les taux d’intérêt ont atteint un niveau très bas et le crédit immobilier a connu alors une forte demande, ce qui a causé une hausse des prix dans le secteur immobilier . Les banques ont encouragé les ménages à s’endetter pour avoir un bien immobilier sans se soucier , puisqu’elles misaient sur la hausse du prix de l’immobilier comme garantie Après quelques années, la bulle spéculative explosa et le marché immobilier américain chuta ; les ménages et les banques se trouvent dans une situation pénible Politique monétaire laxiste : les relèvements des taux a été lent, ce qui fait que un nombre acteurs ont profité de ces taux bas pour prendre le risque, le risque a été faible et les perspectives des gains dans le monde étaient très attrayantes, D’où un recours systématique à l’emprunt. Le responsable de dysfonctionnement c’est la fédéral de resserves qui a initié et stimulé cette bulle de crédit dans nombreux secteurs (Immobilier et la finance). Chapitre 4 : L’incontournable problème de la dette Page 6 Tous ce que nous venons de voir explique bien le mécanisme de cet endettement massif qui représente en pratique le vrai problème a résoudre.(il s’agit d’un endettement jamais connu, la situation est tellement pire de celle dans les années 1930 la résolution de la crise sera donc complexe, longue). L’analyse de l’évolution de la dette par agents économique, on remarque que les acteurs les plus lourdement endettés sont les ménages et les institutions financiers. Page 7 La seconde solution consiste à augmenter le PIB nominal, il y a deux composantes : celles de volumes (la croissance réelle de l’activité et celle de prix). S’il y a peu d’inflation, l’économie réelle stagne, le PIB nominal augmente et permet de La première est logique, il s’agit simplement de rembourser ses dettes, c’est le plus efficace mais il s’agit d’une opération assez longue, la dette est un passif fondant qui disparaitre progressivement avec le temps. Mais le remboursement de la dette suppose aussi Comment résoudre donc le problème de la dette. La bonne nouvelles : Les états sont assez peu endettes, est une bonne nouvelles car les Etats ont une réelle marge de manouvre pour sauver le système (ce qui n’est pas le cas dans les années 1930). La mauvaise nouvelle :Le système financiers est en risque systémique et menace d’exploser, le système est donc virtuellement en faillite. Mais les dispositions prises par les autorités politiques et monétaires semblent avoir stabilisé le système bancaire et diminue le risque systématique. Chapitre 5 : Conséquences immédiates des crises : une crise économique et sociale . Le déclenchement des crises sont toujours caractérisé d’abord par une situation de blocage de l’économie (l’économie est paralysée), la crise a toujours des conséquences. Conséquences économiques : Récession (c’est-à-dire une croissance de PIB prévue entre -5% et -10% dans le monde occidental), la baisse des investissements, augmentation du chômage (au-delà de seuil des 10% dans la plupart des grandes pays et a 20% dans les pays comme l’Espagne), baisse de consommation. Une période récessive peut s’accompagner d’une baisse des prix des actif et des biens, les consommateur tire l’avantage a repousser ses achats a plus tard puisque son pouvoir d’achat augmente avec le temps, ainsi qu’une augmentation de la thésaurisation (capitalisation) vu que l’entrepreneur a peu chances d’être récompensé de sa prise de risque. Conséquence sociales : une fort chômage qui déclenche mécaniquement une peur de l’avenir et un sentiment élevé de frustartion,la société devient mécaniquement plus violente cause au sentiment de n’avoir plus rien a perdre, et les foules si elle se regroupe mis alors a dans un sentiment d’irresponsabilité qui peut conduire au pires excés,et la perte de pouvoir d’achat(cause des erreur des dirigeants qui ont profit du système) . Page 8 Page 9 Conséquences immédiates des crises les conséquences Economiques les conséquences Sociales -déflation très marquée -explosion du chômage - baisse de la production -Récession - Baisse des investissements -chômage -violence -baisse du pouvoir d’achat des ménages -Incertitude de l’avenir Chapitre 6 : Repli sur soi et protectionnisme. Lorsque les choses ne vont pas bien, la réaction naturel de l’individu est a se replier sur soi, reste a la maison, éviter les lieux publics, les mêmes réactions au niveau d’une société, les périodes de crises la société se refuse d’échanger se qui traduit uploads/Finance/ fiche-de-lec.pdf
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- Publié le Jul 31, 2022
- Catégorie Business / Finance
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