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eu4 HISTOIRE DE " ,n4•JPc FÉODALITÉ PINIiVGIÈRF )1/2'' (t() i/ F ^ ,,y • • '': r '? .41c é..`' f i r 5^d{.y''i r ^^ r _ .^. ^•-; ^3^ ! t^1 i É^;l:á^ 4 1: 1^ `+,.: ^,^ i `v t S J ^ 1 î DE - f r et t • L'IMPEIMEME DE CHAPELET RUE DE VAUGIRARD LES JUIFS, ROIS D ' E L'ÉPOQ UE HISTO1RE DE LA FÉODALITÉ FINANCIÉRE PAR A. TOUSSENEL La spéeulation legitime consiste It acheter au meilleur marché possible , pour revendre le plus cher possible.... C'est l'áme du commerce. ( Sylvain Dumon, ministre des travaus publica.) Les financiera soutiennent l'État comme la corde sott- tient le pendu. (Montesquieu.) La maison de mon pére est une maison de priére , ot vous en avez fait une caverne de voleurs. (Jésus chassant les marchands du Temple.) Mercure, dieu de l'éloquenee, du eommeree et des voleurs- CMythologie. ) TOME PREMIER PARIS GABRIEL DE GONET , LIBRAIRE-EDITEUR RUE DES REAUX—Al'TS , 6 4847 LES JUIFS, ROIS DE L'ÉPOQUE. INTRODUCTION. J'appelle, comme le peuple, de ce nom méprisé de juif, tout trafiquant d'espèces, tout parasite improduc- tif, vivant de la substance et du travail d'autrui. Juif, usurier, trafiquant, sont pour moi synonymes. Beaucoup m'ont fait un crime d'avoir cloué le nom d'un peuple encore vivant, comme étiquette à une profession infime. Je réponds qu'il ne dépend pas du bon plaisir de l'écrivain d'altérer la valeur d'une ex- pression consacrée par l'usage, et que je n'ai pu trouver, dans ma langue nationale, de , meilleur nom que celui de juif , pour désigner ceux que j'ai voulu flétrir. On m'a dit aussi que j'aurais pu traiter avec plus de respect un peuple qui a fait de. si grandes choses, un peuple, dans le sein duquel Dieu s'est plu si long- temps à choisir ses élus. Je ne sais pas les grandes choses qu'a faites le peu- ple juif , n'ayant jamais lu `son histoire que dans un livre où il n'est parlé que d'adultère et d'inceste , de LI LES JUIFS, ROIS DE L'ÉPOQUE. boucheries et de guerres sauvages; où tout nom qu on révère est souillé d'infamie; où toute grande fortune débute invariablement par la fraude et par la trahi- son; où les rois, qu'on nomme saints , font assassiner les maris pour leur voler leurs femmes; où les femmes qu'on nomme saintes entrent dans le lit des généraux ennemis pour leur trancher la tête. Je ne décerne pas le titre de grand peuple à une horde d'usuriers et de lépreux, à charge à toute l'hu- manité depuis le commencement des siècles, et qui traîne par tout le globe sa haine des autres peuples et son incorrigible orgueil. Race toujours vaincue, châ- tiée, asservie , en témoignage de la protection toute spéciale du Créateur, et toujours regrettant l'esclavage et les oignons de l'Égypte, et toujours prête à retour- ner au culte du veau d'or, malgré les signes de la colère de Dieu. Demandez un peu à ces Juifs , qui gagnent avec nous cent millions en un an , s'ils tiennent excessivement à revoir les murs tant pleurés de Sion ! Je n'appelle pas peuple de Dieu, le peuple qui met impitoyablement à mort tous les prophètes inspirés de l'esprit saint, qui crucifie le Rédempteur des hommes, et l'insulte sur sa croix. Si tant d'élus de Dieu sont sortis du sein de la nation juive, c'est qu'il est naturel que la protestation des victimes s'élève, plus fréquem- ment qu'ailleurs , des abîmes de l'iniquité. Pour moi, comme pour tous les hommes sensés chez lesquels les préjugés de l'histoire n'ont pas abruti la raison , le peuple qui a fait les grandes cho- INTKODUCTION. lli ses consignées dans les livres juifs, doit s'appeler le peuple de Satan, non le peuple de Dieu : et le Dieu du peuple juif n'est autre, en effet, que Satan... Qui pose au milieu des éclairs, et marche accom- pagné d'un cortége d'anges exterminateurs. Satan , le dieu des armées, le dieu du carnage, le dieu méchant, le dieu jaloux, le dieu inique qui punit la femme de Loth du crime de ses filles , qui commande à Abraham le meurtre de son fils. Le vrai Dieu, le Dieu de l'Évangile, celui qui se révèle par l'amour, celui qui a mis au coeur du père la ten- dresse paternelle , n'a jamais commandé á un père d'égorger son enfant; car cet abominable crime serait une offense à sa loi. l Von , le Dieu de l'Évangile, qui a prescrit aux hommes de s'aimer comme des frères, et dont la sainte loi est gravée dans nos coeurs à tous, n'est pas le même qui a dicté au sombre législateur du Sinaï l'exécrable formule cil pour oeil, dent pour dent, et qui ordonne à ses fidèles d'exterminer sans pitié tous ceux qui ne prononcent pas purement siboleth. Et si le peuple juif était véritablement le peuple de Dieu, il n'eût pas mis à mort le fils de Dieu; il ne continuerait pas d'exploiter, par le parasitisme et l'u- sure, tous les travailleurs que le Christ a voulu rache- ter, et qui sont la milice de Dieu; et Dieu ne l'eût pas marqué du cachet d'anathème en lui infligeant la lèpre , comme il a infligé la ladrerie au pourceau. De par la Charité, la Raison et la Foi, anathème à toutes les religions impies qui disent Dieu méchant i IV LES JUIFS, ROIS DE L'ÉPOQUE. car ces religions-là sont de l'invention des hommes inspirés de l'esprit de Satan et qui ont fait leur Dieu. à leur image; et l'impiété du dogme peut se mesurer à l'inhumanité de ses sectaires. Or, quel peuple a été plus sanguinaire dans ses vengeances, plus persévérant dans sa haine et dans son mépris pour le reste de l'humanité que le Juif? Où que vive cette race, je défie qu'on me la montre occupée à une fonction utile ou productive, occupée à autre chose qu'à gruger et dépouiller la nation qui l'a reçue dans son sein (France , Russie, Pologne, Portugal, Allemagne). Et qui dit Juif, dit protestant, sachez-le. L'Anglais, le Hollandais , le Génevois, qui apprennent à lire la volonté de Dieu dans le même livre que le Juif, pro- fessent pour les lois de l'équité et les droits des tra- vailleurs le même mépris que le Juif. Il y a même dispute entre ces races pour savoir à laquelle revient le prix de l'avarice et de la cupidité. A Genève , on prétend qu'un Génevois vaut six Juifs. Et, circonstance bien singulière et bien caractéristique, l'amour de l'or chez toutes ces races est proportionnel à l'into- lérance et au fanatisme religieux. Le talmudiste de Francfort , le vieux Juif de sang usuraire, le circoncis , n'est pas plus fervemment attaché à la lettre de la Bible et au culte du veau d'or que le puritain de Genève, dont les ancêtres ont fait brûler Servet, que le mé- thodiste d'Angleterre, que te piétiste d'Allemagne. Ce sont tous enfants d'un même père, et à qui le dieu d'Israël a promis un jour, en la personne de Jacob , la INTRODUCTION. V propriété de la terre, à l'exclusion de tous les autres peuples. Et toutes cessectes sont également ardentes à poursuivre l'exécution de la promesse de Dieu, toutes également orgueilleuses et ennemies de l'étranger. qu'elles nomment Philistin, travailleur, et elles com- posent à elles toutes une immense congrégation de vampires dont les estomacs sont aux banques des grandes capitales, et les suçoirs partout. Les tra- vailleurs qui s'exténuent et meurent à la peine , sur zi les trois quarts de la superficie du globe , travaillent pour enrichir quelques milliers de nababs fainéants de Juda, d'Amsterdam et de Londres. Tout l'or qui se tire par la mine ou par la charrue des entrailles de la terre est attiré, par une puissance d'aspiration invin- cible, dans les coffre-forts de l'Anglais, du Génevois, du Juif, races aristocratiques qui ont fait voeu de paresse et d'oisiveté, et s'entendent pour vivre du labeur et de la production d'autrui. Et les milliards ont beau s'entasser dans leurs caves, et leurs caves déborder, ils trouvent qu'elles ne sont jamais assez pleines, et ils inventent pour les remplir des com- merces de poisons. Ainsi le veut le Dieu qu'on adore dans la Bible , le même qui permet au puritain Hollan- dais de cracher à la figure du Christ pour soutirer au " Japonais quelques milliers d'écus ! Oh ! ce devait être un austère liseur de la Bible que ce Hollandais qui, sur le reproche qu'on lui adressait de vendre aux ennemis de sa patrie des munitions de guerre, répondit qu'on lui montrât le chemin des enfers , et qu'il irait vendre sur-le-champ de la poudre aux damnés.... VI LES JUIFS, ROIS DE L'ÉPOQUE. Je vous dis qu'il y a des peuples de proie qui vivent de la chair des autres, et que ce sont les peuples mar- chands, ceux qui s'appelaient autrefois les Phéniciens et les uploads/Finance/ histoire-de-la-feodalite-financiere-t1.pdf
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- Publié le Mar 20, 2021
- Catégorie Business / Finance
- Langue French
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