Remerciez-le!

Remerciez @Admin pour avoir partagé cet document gratuitement, de la manière la plus simple, en partageant sur les réseaux sociaux.

COMMUNAUTE MISSIONNAIRE CHRETIENNE INTERNATIONALE La Fraction du pain Par Theod

COMMUNAUTE MISSIONNAIRE CHRETIENNE INTERNATIONALE La Fraction du pain Par Theodore Andoseh «.. Afin que la fraction du pain soit parmi nous, bien plus qu’un simple rituel un revêtement de l’identité de Christ… » Ce document est compte-rendu d’une nuit de prière au QG. La Fraction du pain – Theodore Andoseh 1 Parmi les nombreuses choses qui passent dans ta pensée et de nombreuses choses que tu planifies, si Dieu te demandait : « Quelle est cette unique chose que tu veux?» Que vas-tu lui dire? Si tu ne connais pas la réponse à cette question dans la vie de quelqu'un, c'est que tu ne connais pas la personne. Si tu te demandes : « Au meilleur de ma connaissance, quelle est la chose unique que X ou Y veut au meilleur de ce que qu'on puisse savoir ? »Si tu ne le sais pas, c'est que tu ne le/ la connais pas. Si tu es marié: «Ici, c'est ma femme!» Réveille-toi quand elle dort, et demande toi: «Celle-ci que j'ai épousé, qu'est-ce qu'elle veut dans la vie?» Une bonne chose à faire, c'est d'observer ta femme quand elle dort et elle ne sait pas que tu la regardes. Quand je suis seul et je pense aux co-ouvriers, je me demande : « Est-ce que je connais celui-ci ? Est-ce que je sais ce qu'il veut dans la vie? » Est-ce que tu poses cette question pour toi-même? Qu'est-ce que Thomas Tchinze veut dans la vie? Est-ce que je le sais? Il n'y a pas de relation quand on ignore ces choses. Il n'y a pas d'appui pour être décisif, critique dans la vie de cette personne. Si tu ne sais pas, à priori, il faut conclure que tu n'as pas de relation avec cette personne. Si tu ne sais pas où je vais dans la vie, à quelles fins m'es-tu utile? Je me pose ces questions. En effet, lorsque je conseille les gens, je parle en tant que qui? Cela peut vous surprendre. Mais quand les gens me posent des questions et demandent conseil, je parle en tant que qui? Etre dirigeant et être dirigeant par nomination, ce n'est pas la même chose. Avoir un dirigeant par nomination, ce n'est pas avoir un dirigeant. Dans la vie de plusieurs personnes, il n'y a pas de place pour un dirigeant. Tout simplement, il n'y a aucune place dans leur vie, dans leurs cœurs pour un dirigeant. Ils n'attendent rien d'un dirigeant. A de telles personnes, si tu parles trop comme un dirigeant, tu perds ton temps. Mais je ne veux pas creuser le fonds de ce sujet. J'aimerai qu'on prie. Ce genre de choses montre qu'au fond, les gens ne savent pas ce qu'ils sont. La seule présence de certaines personnes apporte le flou, et sème la confusion. Ce n'est pas qu'on déteste telle ou telle personne, ce sont des choses qui ne se font pas. C'est davantage l'ignorance, à propos de son identité. Personnellement, je m'interroge: «Qui est qui?» «Que ce sont ces personnes?» Uniquement des chefs de départements? La prescription que Dieu donne à un homme ne doit pas s'accompagner de la prescription sur l'utilisation. La question que je me pose le plus est la suivante: «Qu'est-ce qu'il y a dans son cœur?» Quelqu'un pourrait écouter tous les conseils du monde, mais la dernière chose qu'il va écouter, et qu'il va choisir de suivre, c'est son cœur. Si tu penses que quelque chose est mal, alors ne le fait pas. La Fraction du pain – Theodore Andoseh 2 Pourquoi, y a-t-il encore parmi nous, beaucoup de leaders dont le cœur exprime des choses qui contrastent fortement avec leur réputation? Avec leur témoignage? Dans 10 ans, envers qui et avec qui Dieu sera-t-il toujours engagé? Ce sont des questions auxquelles il nous faut répondre pour savoir de qui il faut se rapprocher, pour savoir avec qui il faut s'engager? Romains 16 :3 – 13 : « Saluez Prisca et Aquilas, mes compagnons d’œuvre en Jésus-Christ, qui ont exposé leur tête pour sauver ma vie; ce n'est pas moi seul qui leur rends grâces, ce sont encore toutes les Eglises des païens. Saluez aussi l'Eglise qui est dans leur maison. Saluez Epaïnète, mon bien-aimé, qui a été pour Christ les prémices de l'Asie. Saluez Marie, qui a pris beaucoup de peine pour vous. Saluez Andronicus et Junias, mes parents et mes compagnons de captivité, qui jouissent d'une grande considération parmi les apôtres, et qui même ont été en Christ avant moi. Saluez Amplias, mon bien-aimé dans le Seigneur. Saluez Urbain, notre compagnon d'oeuvre en Christ, et Stachys, mon bien-aimé. Saluez Apellès, qui est éprouvé en Christ. Saluez ceux de la maison d'Aristobule. Saluez Hérodion, mon parent. Saluez ceux de la maison de Narcisse qui sont dans le Seigneur. Saluez Tryphène et Tryphose, qui travaillent pour le Seigneur. Saluez Perside, la bien-aimée, qui a beaucoup travaillé pour le Seigneur. Saluez Rufus, l'élu du Seigneur, et sa mère, qui est aussi la mienne. » Ces noms sont pris des sphères apostoliques de l'apôtre Paul. Paul était en train d’élaborer une stratégie missionnaire d'une mégapole. Il n'a pas envoyé un missionnaire, il a envoyé une Eglise toute faite et les personnes à qui il a confié cette Eglise étaient Priscille et Aquillas. Ils devaient porter l'Eglise : une Eglise multiculturelle, une Eglise multi-générationnelle, une Eglise avec des personnes de différents âges spirituels. Parmi eux, il y avait Rufus, qui était des apôtres. C'est son père Simon de Cyrène qui a aidé Jésus à porter sa croix (Marc 15:21). Quand Paul habitait Antioche, il a implanté une Eglise. Une Eglise multi-générationnelle, et diverse. Il a pris de veilles femmes et mais aussi des jeunes filles, c’était une Eglise avec un engagement délibéré de détruire les dissensions de races et de classes dans la société romaine. Il a remis les clés de cette Eglise à Priscille et Aquillas. Priscille, faisant partie de l'élite romaine, l'apôtre Paul leur a confié l'Eglise afin qu'ils la portent comme missionnaires à Rome. Ils étaient là pour asseoir cette Eglise, rassembler tous ces gens d'horizons divers dans leur travail ordinaire, les héberger, les protéger contre la persécution de l'empire romain. C'est la raison pour laquelle, Paul écrit : « Saluez Priscille et Aquillas qui ont risqué leur vie pour moi et pour toutes les Eglises des païens. » Que veut Dieu ? Dieu veut que la Soeur Céline et toi, vous preniez soin des missionnaires en leur accordant l'hospitalité, en leur offrant une maison de passage pour répondre à l'intensité, la La Fraction du pain – Theodore Andoseh 3 difficulté de leur ministère. Beaucoup de missionnaires seront perdus, si lorsqu'ils reviennent, nous ne leur offrons pas un cadre familial. Dans un champ de mission, l’Eglise n'a pas grandi. Après plusieurs années, ils sont uniquement une vingtaine de membres mais les enfants ont grandi. Il nous faut donner de l'attention aux ouvriers. Je leur ai dit de commencer par l'achat du terrain puis la construction des travaux. Ils doivent aussi comment à aider le frère Joe dans la gestion administrative de la base. Jean 13: 1-5 : « Avant la fête de Pâque, Jésus, sachant que son heure était venue de passer de ce monde au Père, et ayant aimé les siens qui étaient dans le monde, mit le comble à son amour pour eux. Pendant le souper, lorsque le diable avait déjà inspiré au cœur de Judas Iscariot, fils de Simon, le dessein de le livrer, Jésus, qui savait que le Père avait remis toutes choses entre ses mains, qu'il était venu de Dieu, et qu'il s'en allait à Dieu, se leva de table, ôta ses vêtements, et prit un linge, dont il se ceignit. Ensuite il versa de l'eau dans un bassin, et il se mit à laver les pieds des disciples, et à les essuyer avec le linge dont il était ceint. » Dans ce passage, on est introduit dans l’atmosphère de la fraction du pain. Tout d'abord c’était un environnement intérieur dans le cœur du Seigneur Jésus. A l’intérieur de son cœur, il y a avait trois émotions.  Première émotion : Une assurance profonde vis-à-vis de Dieu. La Bible utilise le terme « Jésus sachant ». Il connaissait la saison spirituelle de sa vie. Il savait où Il était dans sa mission. Il savait ce qu'il représentait pour le Père. Jésus savait. Il savait que le Père avait mis toute chose entre ses mains. Il savait qu'Il était venu du Père. Il connaissait son origine. Il savait qu'il était en train d'aller au Père. Quelle émotion s'était emparé de Lui? Ce n’était pas intellectuel. C’était l’assurance. Il y avait une profonde assurance dans sa relation avec le Père. Il y avait la paix. Il était en paix avec lui-même. Il n'y avait pas de sens d’échec, pas de culpabilité, pas de distance, pas de tourments, pas de ténèbres dans sa relation avec le Père. Il y avait une profonde assurance.  Deuxième émotion : Un amour profond uploads/Finance/ la-fraction-du-pain.pdf