Remerciement : Dans le cadre de ma formation de master « Audit et expertise com

Remerciement : Dans le cadre de ma formation de master « Audit et expertise comptable », je tiens à remercier tout le personnel de l’école HECF ainsi que les intervenants et les professeurs en charge des enseignements. Je tenais aussi à remercier toutes les personnes tout particulièrement mon encadrant, monsieur le PDG Moussa pour son effort titanesque abattus pour notre réussite, monsieur Karim pour son attachement dans la régularisation et son grand cœur par rapport à nos situations respectives, ainsi que tout le personnel de l’école et tous les camarades, qui m’ont accompagné tout au long de mon cursus scolaire et ont pris de leur temps pour m’aider dans ma formation. Enfin, j’espère que ma production sera à la hauteur de leur investissement et de leurs attentes. 1 Sommaire : Introduction générale I. Chapitre I : Aperçu Général sur L’audit et la Technologie A. Section 1 : Définition de l’audit et de la technologie B. Section 2 : Les types d’audits et de technologie C. Section 3 : l’objectif de l’audit et de la technologie II. Chapitre II : L'audit et les changements technologiques apportée A. Section 1 : Les nouvelles technologies au service de l’audit B. Section 2 : Importance de la technologie dans le domaine d’audit C. Section 3 : Les transformations à mettre en place aux seins des équipes D. Section 3 : La Cybersecurité III. Chapitre III : Approche Technique de cette Technologie A. Section 1 :Logiciel Audirex B. Section 2 :Prototype holographique pour la visualisation des données C. Section 3 : de Cybersecurité BOXCRYPTOR Conclusion Introduction générale Dans le cadre du développement incessant des entreprises au full du temps pour l’atteinte des objectif, les auditeurs ont dû faire face à plusieurs changements, et ont su s’adapter 2 aux entreprises actuelles qui sont entrains de migrés vers les avancées technologiques les plus fulgurante de notre époque, c’est pourquoi nous parlerons de l’intégration de la technologie dans le domaine de l’audit, les changements apportés par celle-ci dans le domaine, ou l’impact qu’elle a sur le domaine. Le monde évolue et l’auditeur doit s’adapter à cette dernière pour pouvoir exercer ou appliqué son rôle de reviseur d’entité de manière efficace. En 1953, H. R. Bowen publie ouvrage Social responsabilities of the businessman. C'est lors de la rédaction de cet ouvrage que cet auteur parlera de la doctrine de la responsabilité sociale qui doit être envisagée comme un moyen pour orienter l’activité des entreprises vers l’atteinte des objectifs que la société civile s’est fixés. Il définit la responsabilité sociale de l’entrepreneur dès le début de l’ouvrage : « La responsabilité sociale renvoie aux obligations de l’homme d’affaires de poursuivre telles politiques, de prendre telles décisions ou de suivre telles lignes d’action qui sont désirables en fonction des objectifs et des valeurs des société ». Bowen pense que si les dirigeants soumettent leurs finances à des audits réalisés par des commissaires aux comptes indépendants, ils pourraient alors également accepter de soumettre leurs performances sociales à des experts extérieurs et indépendants à l’entreprise. Les auditeurs effectueraient une évaluation indépendante et désintéressée des politiques de l’entreprise concernant les salaires, la recherche et le développement, la publicité, les relations publiques, les relations humaines, les relations avec l’environnement, la stabilité de la main d'œuvre, etc. Ils soumettraient ensuite leur rapport à la direction avec leur évaluation et leurs recommandations. Un tel document serait réservé à usage interne et ne serait pas public. Les audits sociaux pourraient, par exemple, être réalisés tous les cinq ans et non annuellement comme les audits comptables et financiers. L'audit social n'est pas obligatoire. Selon Bowen, les missions d'audit social devraient être conduites par une équipe de personnes : orientées sur le point de vue social, connaissant bien le monde des affaires et ses pratiques et aussi ayant des compétences dans les domaines juridiques, économiques, sociologiques, psychologiques, philosophie, théologie, etc. 3 Aux environs de 2010, le terme « audit » a commencé à remplacer le terme « vérification », bien que toujours en usage, dans plusieurs pays francophones, particulièrement dans les domaines comptable et financier. Ainsi, les Services linguistiques de l’Institut Canadien des comptables agréer, dans leur traduction du International Financial Reporting Standards, ont utilisé le terme audit au lieu de vérification. De même pour la traduction française de l'International standard on auditing, qui fut le fruit d’une collaboration entre la France, la Belgique, la Suisse et le Canada. En France les premiers cours d'audit en milieu universitaire ont été créés à HEC par L. Collins et G. Valin au début des années 1970. Il s'agissait d'une approche globale et transnationale, concernant à la fois, l'audit externe légal (commissariat aux comptes) et l'audit interne (opérationnel et stratégique). Des générations d'experts comptables, de commissaires aux comptes et d'auditeurs internes ont été formés à une pratique moderne et ambitieuse de l'audit à partir des ouvrages, études de cas et enseignements dispensés à HEC. Aujourd'hui, c'est une méthode et un terme répandus, On parle ainsi, d'audit énergétique d'une entreprise, d'audit environnemental d'un système de gestion, d'audit interne, d'une administration ou d'audit préalable à un investissement, d’audit de conformité, etc. L’audit légal est le seul terme qui désigne une profession règlementée : celle d’un commissaire aux comptes, auxiliaire de justice qui certifie les états financiers de certaines entités. À savoir que l’audit se pratiquait de manière traditionnelle, en analysant des échantillons de données, en prenant un bon nombre de temps pour ensuite aboutir à une opinion, mais de nos jours grâce au développement technologique, et à l’automatisation du traitement des données, les méthodes d’analyses sont devenues d'avantages plus simplifiées avec des logiciels en un clic. À cela viennent s’ajouter la problématique à savoir : Quelles sont les sont les bien- Faits de la technologie dans le domaine de l’audit ? À ce problème nous tenterons d’apporter des réponses dans les lignes qui suivent. 4 I. Chapitre I : Aperçu Général sur L’audit et la Technologie Au début du moyen âge, les sumériens ont ressenti une nécessité de contrôle de la comptabilité des agents. D'origine latine « auditus » signifie audition. 5 Le mot audit n'est apparu que sous l'empire Romain et plus spécialement dès le 3e siècle avant Jésus Christ. Des questeurs, fonctionnaires du trésor public, sont chargés de cette mission. Ils étaient tenus de rendre compte oralement devant une assemblée composée « d'auditeurs », qui approuvait par la suite les comptes. Plus tard, ce concept « contrôle » s'est développé suite aux efforts des anglais. Ses objectifs étaient axés principalement à la détection des fraudes, progression vers la recherche d'erreurs puis la publication d'opinions sur la validité des états financiers, en fin sur leur régularité et sincérité. À la suite du développement du commerce, de l'industrie, de l'apparition des sociétés d'assurance, du développement de services bancaires...etc, les législateurs se trouvèrent dans l'obligation d'instituer le contrôle des sociétés par des agents externes au 19e siècle. Avec la crise de 1929, un accroissement des besoins du monde des affaires en audit s'est accru à la suite d'une mauvaise divulgation des informations fiables. Aux Etats-Unis par exemple, les sociétés cotées en bourse sont obligées de pratiquer l'audit interne par les membres de l'American Institute of Chartered Public Accountants (AICPA), chargée de la normalisation et de la certification des comptes et de la Securities and Exchange Comission (SEC), dont la mission consiste à « veiller sur l'application de la législation relative au fonctionnement des bourses américaines des valeurs et à définir dans le contenu et la présentation des états financiers diffusés par les sociétés dont les titres sont cotés. En Afrique plus tard, l'Union Francophone de l'Audit interne (UFAI) fut créée et se fixe l'objectif de promouvoir et développer la pratique professionnelle de l'audit dans les pays totalement ou partiellement d'expression française, en regroupant bien sur les associations d'auditeurs internes de ces pays. Rien que pour l'Afrique, l'UFAI regroupe plus de neuf pays parmi lesquels la République Démocratique du Congo (R.D.Congo). Au niveau national qu'international, la révision comptable, devenue audit, fait l'objet de travaux qui débouchent essentiellement sur les normes internationales d'audit : International Standard of Audit (ISA). De nos jours, l'audit est considéré comme discipline transversale au centre des préoccupations des managers. 6 Pour cette raison, il s'élargi à d'autres domaines de l'entreprise qui se sont révélés nécessaires avec l'évolution et la généralisation de nouveaux moyens de traitement de l'information. A. Section I : Définition de l’audit et de la technologie a. Section 1.1 : Définition de L’audit Selon Le Petit Robert, le vocable « audit » tient son étymologie du latin audi- tus qui signifie «entendu» (dont le sens est saisi). 7 D'un côté, celui qui formule des questions de façon impartiale, et attend des réponses : l'auditeur ; de l'autre, celui qui répond, et donc accepte le jeu questions-réponses : l'audité. Selon un auteur l’audit est une expertise professionnelle effectuée par un agent compétent et indépendant aboutissant à un jugement par rapport à une norme sur les états financiers, le contrôle interne, l'organisation, la procédure, ou une opération quelconque d'une entité. Autrement dit : uploads/Finance/ master-audit-technologique.pdf

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  • Publié le Oct 29, 2022
  • Catégorie Business / Finance
  • Langue French
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