Les risques non-financiers Question 1 : Définir le risque opérationnel selon le
Les risques non-financiers Question 1 : Définir le risque opérationnel selon le comité de bale Réponse : Pour le comité de Bâle, il s’agit du « risque de pertes directes ou indirectes d’une inadéquation ou d’une défaillance attribuable à des procédures, personnels, systèmes internes ou événements extérieurs ». Question 2 : Quels sont les risques rattachés aux risques inhérents aux personnes et les relations entre les personnes ? Réponse : Risques Juridiques Risques Politiques Risques Ethiques Question 3 :Quelle est la différence entre un risque systémique dans son sens étroit et large? Réponse : Le risque systémique au sens étroit correspondant à la probabilité d’un choc idiosyncrasique à l’origine d’un phénomène de contagion avec des effets négatifs sur une ou plusieurs autres institutions financières ou marchés ;(micro-eco) le risque systémique au sens large correspondant à la probabilité d’un choc macro- économique – publication d’informations déclenchant un effet sur l’ensemble de l’économie – ayant des effets sur un nombre important d’institutions financières et de marchés.(macro-eco) NB : L’effet de contagion c’est l’occurrence d’un choc sur des marchés, pays, institutions et la propagation de ce choc au autres marchés, pays ou institutions ; Les cautions et les garanties Question 1 : En quoi consiste le cautionnement bancaire ? Réponse : Le cautionnement bancaire : est un engagement par signature pris par un établissement financier qui permet, en cas de défaillance contractuelle de l’entreprise débitrice ou le non-respect d’une obligation légale, de couvrir le bénéficiaire de la caution. Question 2 : Définir c’est quoi le crédit documentaire ? Réponse : Le crédit documentaire : est un engagement pris par la banque de l’importateur de garantir le paiement de marchandise contre la remise des documents tout en attestant l’expédition et la qualité de marchandise conçue au contrat. Question 3 : Quelles sont les étapes de l’émission du CREDOC ? Réponse : Les étapes sont : -Réalisation de l'opération commerciale entre deux parties. -Demande d'ouverture du crédit documentaire. -Ouverture du crédit documentaire. -Notification de l'ouverture du crédit documentaire. Thème : Les banques participatives Question 1 : Quelle est La différence entre les banques conventionnelles et les banques participatives ? Réponse Dans le système bancaire classique, le rôle d'une banque est de collecter des fonds et les utiliser pour des opérations de prêts, généralement à long terme, Contrairement à la banque participative, elle ne se livre pas à des transactions commerciales, industrielles ou agricoles. Si l'on examine la structure du portefeuille des banques classiques et des banques participatives, on constate que ces dernières engagent directement plus de ressources que les banques classiques dans les transactions économiques et commerciales. Le recours à l'intérêt est interdit à la banque participative. Celle-ci collecte les fonds des épargnants comme la banque classique, qu'elle emploiera dans diverses opérations. Mais ces opérations seront fondées sur le principe de la participation ou celui du Partage des Pertes et des Profits. Question 1 : Quels sont les principes des banques participatives ? Réponse : Interdiction de la Riba : Le terme « Riba » désigne, dans le droit musulman, tout avantage ou surplus perçu par l’un des contractants sans aucune contrepartie acceptable et légitime du point de vue de la Sharia. Interdiction du Gharar : Les opérations et les transactions doivent revêtir la transparence et la clarté nécessaires, de manière à ce que les parties soient en parfaite connaissance des valeurs de leurs échanges. Interdiction des activités illicites : L’interdiction de financer toutes les activités et tous les produits qui sont contraires à la morale ainsi que les produits interdisent à la consommation par les textes de L’Islam. Le principe du partage des profits et des pertes : Que se soit entre associés ou entre la banque et son client, le partage des profits et des pertes est obligatoire. Il s’effectue selon le contrat initial ou selon les apports respectifs. L’Asset Backing : Toute transaction financière doit être sous-entendue par un actif pour être valide selon la Sharia. La tangibilité de l’actif signifie que toute opération doit être obligatoirement adossée à un actif tangible, réel et matériel. Question 3 : Quels sont les produits présentés par les banques participatives ? Réponse : La moudaraba : Ce produit permet à la banque participative de mettre une somme d’argent à la disposition de son client pour la réalisation d’un projet.la responsabilité de gestion de ce projet revient au client. Les bénéfices sont partagés, mais les pertes sont entièrement supportées par la banque, sauf dans un cas avéré de négligence, mauvaise gestion. La moucharaka : A travers ce contrat, la banque participative peut participer au capital d’une société pour financer un projet nouveau ou existant déjà.la particularité du contrat c’est que la banque participative partage avec son client à la fois les bénéfices et les pertes selon leur part dans le capital. La mourabaha : C’est le produit le plus ancien, et le plus connu. Il consiste en un contrat de vente par lequel la banque participative vend un produit meuble ou immeuble de sa propriété à un client avec un prix de revient majoré d’une marge bénéficiaire connue et convenue entre la banque et le client. L’ijara (la mise en location) : C’est un contrat par lequel la banque participative met en location un bien en sa propriété pour le compte d’un client en contrepartie d’un loyer fixe ou variable. Comme le cas dans la mourabaha, la loi autorise à la banque participative d’acquérir un bien spécifique suite à la demande du client en vue de lui donner en location. Une fois le contrat achevé la propriété du bien peut être transférée au client via un nouveau contrat L’ijara wa iQtinâ (location-vente) : Le même principe que l’Ijara .La seule différence c’est que le client s’engage fermement à acquérir le bien à l’issue de la période convenue d’avance. Le Salam : c’est un contrat qui permet à la banque participative d’accorder un montant donné en sa qualité d’acheteur a un client en sa qualité de vendeur, ce dernier s’engage en contrepartie à livrer ultérieurement à l’établissement une marchandise dont les spécificités et le délai de livraison sont communiqués dans le contrat. La circulaire précise que la marchandise en question ne doit pas exister ni être à la propriété du client au moment de la conclusion du contrat . Istisnaa : est un moyen de financement progressif. C’est un contrat de fabrication (ou de construction) aux termes duquel le participant (vendeur) accepte de fournir à l’acheteur, dans un certain délai et à un prix convenu, des biens spécifiés après leur fabrication (construction), Cette Technique de financement est très adaptée au financement d’infrastructures, de construction.. Les Risques Bancaires Financiers - Question et réponses : Question n° 1 : Définir le risque d’illiquidité ? - Réponse : Le risque d'illiquidité : consiste pour un agent économique à ne pas pouvoir payer son passif exigible avec ses créances liquides. Le risque d'illiquidité est un risque encouru notamment par les entreprises commerciales industrielles ou financières. - Question n° 2: Définir le risque de contre partie ? - Réponse : Le risque de contre partie ou (de signature) : peut être défini comme le risque qui se produit lorsqu’un débiteur n’honore pas tous ses engagements ». - Autrement dit, le risque de contre parie, c’est le risque de voir défaillir une contrepartie ; particulier, entreprise, établissement financier ou pays avec laquelle la banque est engagée. - Question n° 3: Donner une définition du risque de marché? - Réponse : Le risque de marché : C’est le risque de perte qui peut résulter des fluctuations des prix des instruments financiers qui composent un portefeuille. Le risque peut porter sur les cours des actions, les taux d’intérêts, les taux de change, les cours de matières premières, etc. Par extension, c’est le risques des activités économiques.. L’intervention de la banque dans le marché de fonds propre Définir la notion de l’appel public à l’épargne ? L’appel public à l’épargne est constitué par l’une des opérations suivantes : * l’admission d’un instrument financier (actions, obligations…) aux négociations sur un marché réglementé ; l’émission *la cession d’instruments financiers dans le public en ayant recours soit à la publicité, soit au démarchage, soit à des établissements de crédit. * des prestataires de services d’investissement. Quelle est la différance entre le marché primaire et le marché secondaire ? Le marché primaire est celui sur lequel les nouveaux titres financiers sont émis et souscrits par des investisseurs ; on y procède donc aux augmentations de capital, au placement d'emprunts obligataires... Il s'agit d'un marché du neuf des titres financiers, par opposition au marché secondaire qui en est le marché "d'occasion". Le marché secondaire est l'endroit où sont échangés les actifs financiers achetés sur le marché primaire. Le marché secondaire est très complémentaire du marché primaire puis qu’avec son nombreux échange il permet la liquidité des investissements financiers, donc sa qualité et l'évaluation de ces titres. IL est. commencement appelé marché de location. Ce uploads/Finance/ questions-back-office-bc.pdf
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- Publié le Aoû 07, 2021
- Catégorie Business / Finance
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