AVANT PROPOS Notre vie dépend uniquement des choix qui la composent. Tout d’abo

AVANT PROPOS Notre vie dépend uniquement des choix qui la composent. Tout d’abord, du choix d’éducation de nos parents, qui nous conditionne, dès notre plus tendre enfance, dans une manière de pensée spécifique qui déterminera nos choix à l’âge adulte… Cette éducation sera déterminante, car elle aura construit notre personnalité et notre idée du bonheur. Ainsi, lorsque nous volerons de nos propres ailes, des choix s’imposeront à nouveau à nous. Ce seront les nôtres, mais ils seront influencés par la manière dont nous avons été éduqués dans notre enfance… Ensuite, en fonction de ce que l’on aura choisi, nous subirons des situations que nous analyserons, là encore, selon ce que l’on nous aura appris, nous amenant à une certaine réaction. En effet, le degré d’acceptation de cette situation dépendra uniquement de notre personnalité, ce qui nous amènera, soit vers l’abdication en faisant le choix de subir, soit vers un refus catégorique, avec à la clé, une réelle volonté de s’en sortir et de nous donner le moyens d’être heureux. Au travers de ce livre, vous comprendrez que l’absence d’amour est destructeur, que l’absence d’entraide est ravageur… Mais surtout, cela vous fera peut-être comprendre votre situation actuelle, quelle qu’elle soit, et vous donnera la volonté d’y remédier de la bonne façon… L’ENFANCE L’enfance est une période d’apprentissage, tout ce qui s’y passe, nous marque à vie. Notre vie d’adulte dépend directement de notre enfance. Combien de fois n’avons-nous pas fait remarquer à notre entourage que telle ou telle chose nous rappelle ce que l’on a appris ou vécu dans notre enfance ? De merveilleux souvenirs ou bien de très mauvais, qui auront 2 une réelle influence sur nos comportements d’adultes… C’est durant l’enfance, et ce jusque l’âge de 20 ans, que notre potentiel de mémoire est à son apogée, il décline à partir de l’arrivée à l’âge adulte, ce qui signifie qu’à cette période, nous devons mettre en application tout ce que nous avons appris jusque-là. Si de graves blessures sont survenues durant notre enfance, alors il est impératif de consulter un spécialiste (psychologue, psychothérapeute…) de manière à réparer ces séquelles. En effet, lorsque nous nous cassons une jambe, sans hésitation, nous allons aux urgences faire des radios et ensuite un chirurgien, à savoir un spécialiste, va nous réparer cette jambe. Si nous tentons de la réparer seuls, il y aura toujours des séquelles (on boitera, ou on aura une douleur constante)… Il en va de même pour la tête. Si l’on ne va pas voir un spécialiste, alors on boitera dans notre tête, et de graves blessures resteront ouvertes et auront des conséquences irréversibles sur notre vie d’adulte. D’où l’intérêt de bien construire l’enfance… La plupart des spécialistes le disent : tout vient de l’enfance. Notre vie d’adulte est conditionnée par notre enfance. D’où l’intérêt de préserver l’enfance de chaque être humain. La conception d’un enfant L’amour C’est la première condition. Il faut que l’enfant soit désiré, souhaité, que sa venue ait été murie, planifiée. Car la venue d’un enfant demande de la patience, des sacrifices, beaucoup d’amour, et il faut être prêt pour cela. L’avortement Ne jugez pas ceux qui ont eu recours à ce procédé. C’est une décision délicate qu’ils n’ont pas prise à la légère, détrompez-vous. Evidemment, pour les puritains, l’église catholique, c’est tuer une vie. Mais si l’on se penche sur les raisons qui ont fait que des parents, une femme, une jeune fille, en sont venus là, c’est, sans aucun doute, qu’ils n’avaient pas d’autres choix. Plusieurs raisons peuvent amener un être humain à une telle 3 décision : Un viol : une femme, une jeune fille violée, doit-elle conserver ce bébé sachant les conditions dans lesquelles il a été conçu ? L’enfant lui rappellera constamment son viol et son violeur, l’enfant n’aura pas été conçu dans l’amour, mais dans la souffrance. Il ne connaîtra jamais son père. Il est donc impossible de construire un enfant dans ces conditions. Une infirmité : un enfant devant naître avec une malformation qui ne lui permettra pas de se développer correctement, un enfant qui sera considéré comme un fardeau par les parents, un enfant qui ne sera jamais comme les autres, qui subira, dès sa naissance, opérations sur opérations, ou qui aura, du fait de son infirmité, une durée de vie limitée. Certains parents ne considèrent pas cela comme un fardeau, et assumeront leur enfant, mais d’autres s’en sentiront incapables, auront peur de ne pas survivre à l’enfant (ce qui peut arriver bien évidemment) et préfèreront s’en séparer et retenter une autre grossesse. Ce sont les concepteurs qui devront assumer leur enfant, c’est leur rôle, mais s’ils ne s’en sentent pas capables, alors acceptez leur décision et arrêtez de les incriminer. Cela ne ferait qu’accentuer leur culpabilité et leur mal être. Une mère se retrouvant seule : certaines femmes ou jeunes femmes sont abandonnées par leur conjoint au moment de la grossesse, ou à l’annonce de leur grossesse. Les pères prennent peur et s’en vont, laissant leur compagne livrée à elle-même. Pourquoi devraient-elles assumer seules un enfant qui a été conçu à deux ? Sous prétexte que ce sont elles qui portent l’enfant, en sont-elles les seules responsables ? C’est totalement faux. Si la mère n’a pas de situation stable et sans père, comment peut elle subvenir aux besoins de son enfant ? Certaines le peuvent, mais d’autres en sont incapables, peut-on se permettre de les blâmer ? Je dirais même que, paradoxalement, parce qu’elles veulent un enfant dans de bonnes conditions, cela prouve qu’elles ont un instinct maternel très poussé et que ce sont de bonnes mères ! Une mère trop jeune : certaines jeunes filles ne dialoguent pas avec leurs parents, et ces derniers ne veulent pas donner de moyen de contraception à leur fille, pensant que cela la dissuaderait d’avoir des rapports sexuels. Mais ils se trompent, elles le feront quand même, ne serait-ce que, justement, parce que leurs parents les en empêchent. Elles se retrouvent alors enceinte, en pleine étude, le père est sans doute un jeune homme qui l’a poussée à faire cet acte, et ce, sans amour. Elles se retrouvent seules à 4 assumer les conséquences de leurs actes, et par la même de leur parents. Alors elles décident de ne pas garder l’enfant. Quel mal y a-t-il à vouloir continuer ses études, à vouloir avoir une vie normale, à ne pas se sentir prête pour avoir un enfant ? Toutes les personnes qui ont eu recours à ce procédé, se demandent chaque jour si elles ont pris la bonne décision, ce que serait devenu leur enfant, à quoi il aurait ressemblé. Ne sontelles pas assez punies, en ce cas, sans les incriminer encore et encore et accentuer leur mal être ? C’est pourquoi on a inventé la contraception. Qu’est-ce que la contraception, sinon empêcher la venue d’un enfant tout comme l’avortement ? Mais, heureusement, on ne culpabilise pas sur le fait que l’on aurait pu donner la vie après chaque rapport sexuel protégé ! Quel mal y at-il à faire l’amour juste pour le plaisir, et non uniquement pour avoir des enfants ? C’est un acte tellement pur et beau, un acte à sacraliser ! Par contre la venue d’un enfant est lourde de conséquence, le mieux est qu’il arrive dans les meilleures conditions. Puisque nous en avons les moyens aujourd’hui, autant en profiter. Ces conditions, vous les trouverez ci-dessous : Un couple Dans l’idéal, il faut que le couple soit solide, qu’il y ait de l’amour dans le couple. Que l’homme et la femme se chérissent mutuellement et qu’il y ait une réelle volonté de fonder une famille. Cela vaut aussi pour les homosexuels. Pourquoi n’auraient-ils pas le droit d’avoir un enfant ? Ou deux ou trois, ou quatre ? Comment, humainement parlant, peut-on les empêcher un être humain de vivre une vie de famille normale ? A partir du moment où l’enfant vient au monde dans un foyer où deux êtres s’aiment, alors l’enfant peut s’épanouir librement, même si les parents sont du même sexe ! En effet, certaines femmes, poussées par leur horloge biologique et prises d’un énorme besoin de donner de l’amour à un enfant, décident de faire cet enfant toutes seules, la nature le leur permettant, et ce, malgré bien souvent une situation mono parentale précaire. Personne ne les en empêche et ne leur enlève leur enfant ! Alors, pourquoi irions empêcher des homosexuels d’aimer et d’élever des enfants ? Là encore il est très facile pour des 5 lesbiennes d’avoir un enfant, mais pour les hommes, qu’en est-il ? Ils ne peuvent pas avoir d’enfant par le biais de la nature et n’ont pas le droit, en France, d’adopter ! Alors comment peuvent-ils s’épanouir ? Et qu’en est-il des homosexuels ayant eu une vie hétérosexuel avant leur coming out et qui ont eu des enfants ? Va-t-on les leur enlever en raison de leurs attirances sexuelles non conformes à notre société ? Soyons un petit peu sérieux et pragmatiques, nos lois sont loin d’être justes uploads/Geographie/ 1602099154.pdf

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