Project Avalon – Bases souterraines et tunnels – Déc. 2006 1. Bases souterraine
Project Avalon – Bases souterraines et tunnels – Déc. 2006 1. Bases souterraines et tunnels Par (1) Phil Scheider, 1995 (2) Dr Bill Deagle, 2006 (3) Richard Sauder, PhD, 1996 Traduction d’un article original de Project Camelot Phil Schneider († 1996) était un géologue et expert en explosifs, autodidacte. Des 129 installations souterraines situées très en profondeur que l'on pense avoir été construites par le gouvernement des États-Unis depuis la Deuxième Guerre mondiale, Phil Schneider affirmait en connaître 13 pour y avoir travaillé. Deux de ces bases étaient d'importance majeure, dont l'installation de bioingénierie de Dulce, au Nouveau Mexique, qui fait l'objet de nombreuses rumeurs. Photo d'un tunnelier de l'US Air Force prise en décembre 1982 à Little Skull Mountain, dans le Nevada (Source : U.S. Department of Energy). De nombreuses rumeurs font état de l'existence de tunnels militaires secrets aux Etats-Unis. Si ces rumeurs sont fondées, des machines telles que celle-ci sont utilisées pour creuser ces tunnels. Tunnelier au Site d’Essais du Nevada Ce tunnelier de 13 millions de dollars est utilisé au Site d'Essais du Nevada. (Souvenez-vous que la Zone 51 fait partie de ce site d'essais) De nombreux autres types de tunneliers sont utilisés par les multiples agences gouvernementales, y compris le "tunnelier à énergie nucléaire" ("nuclear powered TBM" [NTBM]), qui fait fondre la roche et ne laisse derrière lui que des parois vitrifiées. La plus grande partie de l'activité de forage se déroule en-dessous d'installations militaires et toute information à leur sujet est très confidentielle. Au fil des années, des anciens employés de ces centres se sont laissés aller à parler d'immenses complexes souterrains situés dans des endroits tels que la Zone 51, l'installation Northrop d'Antelope Valley, en Californie (dont on dit qu'elle comprend 42 niveaux) et l'établissement Lockheed, près d'Edwards, également en Californie. Le "budget clandestin" ("Black Budget") se monte actuellement à 1 250 milliards de dollars par an. Cette somme du moins est consacrée à des programmes clandestins, comme ceux qui traitent des bases militaires à grande profondeur. Il existe pour l'instant 129 de ces bases sur le territoire des Etats-Unis. On construit ces 129 bases sans répit, jour et nuit, depuis le début des années 40. Certaines d'entre elles ont même été bâties plus tôt. Ce sont pour l'essentiel de vastes villes souterraines, reliées entre elles par des trains à grande vitesse, à sustentation magnétique, qui peuvent atteindre Mach 2 [2 fois la vitesse du son, soit de l'ordre de 2500 km/h – NdT]. Ces activités ont fait l'objet de plusieurs livres. La profondeur moyenne de ces bases dépasse 1600 mètres et, comme je l'ai déjà dit, ce sont avant tout de grandes villes souterraines, dont la taille varie de 11 à 17,7 km cubes. Elles sont équipées de machines laser capables de creuser dans la journée un tunnel de plus de 11 km. J'ai participé à la construction d'une extension de la base militaire à grande profondeur de Dulce [au Nouveau Mexique - NdT], probablement la base la plus profonde. Elle descend sur 7 niveaux à plus de 4 km de profondeur. J'ai contribué au creusement de plus de 13 bases militaires à grande profondeur aux États-Unis. D'autres images de tunneliers, pour stimuler votre réflexion : Project Avalon – Bases souterraines et tunnels – Déc. 2006 2. Extrait de la conférence du Dr. Bill Deagle au Granada Forum (décembre 2006) Je me suis occupé de John Fialla, grand ami de Phil Schneider. Combien de gens ont-ils entendu parler de Phil Schneider ? Bon, on utilisait au milieu des années 90 des tunneliers qui pouvaient creuser une paroi rocheuse à raison de plus de 11 km par jour, qui pouvaient creuser la roche grâce à des lasers haute-énergie à impact capables de volatiliser les nanoparticules de roc sans laisser de débris, créant une sorte de noyau ressemblant à de l'obsidienne et qui déposaient un noyau interne destiné aux trains unidirectionnels à sustentation magnétique (maglev), qui font la navette sous terre à des vitesses de Mach 2 à Mach 2,8 entre des villes très puissantes et bien organisées. Il en existe 132 sous les Etats-Unis, d'un volume moyen de 13,88 à 18,74 km cubes et situées à une profondeur moyenne de 2,4 à 7,2 km. Elles sont construites globalement, pour la plupart, dans des secteurs insensibles aux problèmes géotectoniques – mais il se créera beaucoup de nouvelles failles géotectoniques quand la planète sera secouée par des tremblements de terre de force 11, 12, 13 ou 14. Pourquoi se dépêchent-ils donc de construire de telles installations ? Parce qu'ils savent que la catastrophe est proche. Et d'où vient l’argent ? Il ne provient pas de notre budget ordinaire consacré aux Black Ops (Opérations Secrètes). Il provient de la vente illégale de drogues. Selon des estimations prudentes, au minimum 250 à 500 milliards de dollars tirés de la vente de drogues aux Etats- Unis viennent alimenter directement les budgets clandestins, et 90 à 95 % de cette somme sont alloués aux bases militaires à grande profondeur – aux DUMB [Deep Underground Military Bases]. L'article suivant a été rédigé par le Dr. Richard Sauder, PhD, et adapté de son livre Underground Bases and Tunnels : Le tunnelier nucléaire (nuclear subterrene) a été conçu au Laboratoire National de Los Alamos (Los Alamos National Laboratory), au Nouveau Mexique. Des scientifiques de Los Alamos ont fait un certain nombre de demandes de brevets; on a rédigé quelques documents techniques fédéraux – et puis tout est progressivement retombé dans l'oubli. Vraiment ? Les tunneliers nucléaires creusent leur chemin dans la roche et le sol par fusion, en fait en les vitrifiant au passage, et ils laissent derrière eux un tunnel lisse et recouvert d'une épaisse couche de verre. La chaleur provient d'un réacteur nucléaire compact où du lithium liquide circule du cœur du réacteur vers la paroi du tunnel, dont il fond la roche. Au cours du processus de fusion de la roche, le lithium cède une partie de sa chaleur. On le fait alors recirculer par l'extérieur du tunnelier, où il contribue à refroidir la roche vitrifiée pendant que la machine poursuit sa progression. Le lithium refroidi retourne ensuite au réacteur pour le départ d'un nouveau cycle. Ainsi le tunnelier nucléaire découpe la roche en tranches, et se comporte comme un ver de terre à moteur atomique, chauffé à 1100°C (2000°F) et creusant son chemin profondément sous terre. La Commission à l'Energie Atomique des Etats-unis (United States Atomic Energy Commission) et l'Administration Américaine pour la Recherche et le Project Avalon – Bases souterraines et tunnels – Déc. 2006 3. Développement Energétiques (United States Energy Research and Development Administration) ont pris dans les années 70 des brevets concernant des tunneliers nucléaires. Le premier brevet a été attribué en 1972 à la Commission à l'Energie Atomique des Etats-Unis. Le grand avantage du tunnelier nucléaire sur le modèle mécanique, c'est qu'il ne produit pas de déblais qu'il faut ensuite évacuer par bandes transporteuses, trains, camions, etc. Ce qui simplifie grandement le creusement. Si les tunneliers atomiques existent réellement (et je ne sais pas si c'est le cas), leur présence et les tunnels qu'ils produisent pourraient se révéler très difficiles à repérer, pour la bonne et simple raison de l'absence de tas de remblais ou de terrils associés aux activités traditionnelles de forage de tunnels. Le brevet de 1972 est clair à ce sujet. Il précise : "...(O)n peut éliminer les déblais sous forme de roche fondue en les utilisant comme revêtement de la paroi de l'excavation et en tant que matériau d'obturation des fissures produites dans la roche alentour. La tête de coupe qui fait fondre la roche est d'une forme telle et propulsée sous une pression telle qu'elle produit et élargit radialement les fissures de la roche à la périphérie de l'excavation, grâce à la pression hydrostatique créée dans la roche fondue située en avant de sa partie pénétrante. Toute la matière fondue non utilisée à vitrifier la paroi du tunnel est injectée dans les fissures, où elle se solidifie et demeure... "... Dans la plupart des cas, ce revêtement (vitrifié) résout le problème de l'élimination encombrante et coûteuse des déblais et, par la même occasion, procure l'avantage d'un revêtement de type cuvelage de la paroi du tunnel." (Brevet U.S. No. 3 693 731, en date du 26 sept.1972) Et voilà : un tunnelier qui ne produit pas de déblais, et laisse derrière lui une paroi du tunnel lisse et vitrifiée. Trois ans plus tard un brevet était déposé pour : Un tunnelier destiné à la production de vastes tunnels dans de la roche tendre ou de la terre mouillée, argileuse, meuble ou caillouteuse, creusés par détachement de l'âme du tunnel, en causant à sa périphérie, par fonte thermique, une entaille dans le front de taille du tunnel, tout en façonnant un revêtement, qui sert de soutien, sur les parois de l'excavation, en projetant sur ces parois les matériaux fondus, ce qui permet d'obtenir, après solidification, un revêtement continu renforçant lesdites parois, et on sépare le front de taille du tunnel circonscrit uploads/Geographie/ bases-souterraines-et-tunnels-dec-2006.pdf
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- Publié le Nov 18, 2022
- Catégorie Geography / Geogra...
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