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Jasek-Rysdahl 1 Leanna Jasek-Rysdahl Dr. Motard-Noar Le 8 decembre 2015 Un Suje

Jasek-Rysdahl 1 Leanna Jasek-Rysdahl Dr. Motard-Noar Le 8 decembre 2015 Un Sujet explosif : La France, l’Iran et les armes nucléaires Il y a seulement neuf pays dans le monde qui possèdent les armes nucléaires : la Russie, les Etats-Unis, la Grande-Bretagne, la Chine, Israël, la Corée du Nord, l’Inde, le Pakistan, et la France. Même si la Russie et les Etats-Unis possèdent 90% des armes nucléaires dans le monde, la France a 300 armes nucléaires et a été l’un des premiers pays à obtenir les armes nucléaires (le premier essai nucléaire en France a été en 1960) (Get the Facts). En outre, la France est l’un des cinq pays qui est officiellement un état d’armes nucléaires dans le Traité de Non-Prolifération Nucléaire (le TNP). Manifestement, l’histoire riche des armes nucléaires en France et la position de la France comme un dirigeant dans les affaires nucléaires influencent les acteurs dans l’arène globale aujourd’hui. L’influence de la France est essentielle concernant les armes nucléaires, particulièrement dans le TNP. Son rôle est clair et on peut le voir par examinant la question nucléaire en Iran. Avant on peut examiner la France et son rôle dans les négociations sur la question nucléaire en Iran, on doit examiner la France et sa position dans le TNP. Le TNP a conclu en 1968, mais les pays signataires se rencontrent tous les cinq ans afin de revoir le traité ; ces réunions sont intitulées « les conférences d’examen. » Le TNP a les buts d’arrêter la diffusion des armes nucléaires dans le monde et éliminer les armes nucléaires qui existent. Le TNP a eu une quantité considérable d’attention cette année, car il y avait une conférence d’examen en mai 2015. Le TNP de 2015 a été important concernant les armes nucléaires dans le Moyen-Orient, mais les critiques ont déclaré que la conférence d’examen n’a établi rien. Les relations internationales sont importantes quand on analyse les conférences comme cinq pays dirigent le traité : les Etats-Unis, la Chine, la France, la Grande-Bretagne et la Russie. Jasek-Rysdahl 2 Même s’il y a 189 pays qui ont ratifié le traité- les pays qui dirigent les conférences ont les armes nucléaires ; l’ironie n’est pas perdue dans les autres pays signataires. Dans un article qui analyse l’efficacité du traité, Wan écrit, « le conférence d’examen de 2015 se sente comme une opportunité gaspillée. La discorde qui entoure le désarmement ne va pas se dissiper1 » (2015). Le TNP n’a pas produit des avancées car il n’y avait pas de consensus. Les arguments qui concernent les armes nucléaires dans le Moyen-Orient ont été les obstacles les plus néfastes. L’échec de ce traité a présagé les négociations et les complications entre l’Iran et la communauté internationale. Si un traité international a échoué, est-ce que c’est possible pour les pays de parviennent à un accord sur une décision polémique et politique concernant l’Iran ? Le TNP peut démontre l’importance de la France et sa position dans le monde nucléaire. La France est l’un des neuf pays qui ont les armes nucléaires, et pour cette raison, elle est un état extrêmement fort dans le TNP et dans toutes les questions concernant le pouvoir nucléaire. Quand les négociations avec l’Iran, les Etats-Unis et l’Organisation des Nations unies (ONU) ont commencé, la France a été déjà immergée et concernée. Les négociations avec l’Iran ne sont pas exactement nouvelles ; en fait, les premières discussions ont commencé en 2013. Pourtant, les développements et l’actualité en 2015 sont les plus importants car les pays ont établissent l’accord cet été. On peut dire que la France a joué un rôle insignifiant car les Etats-Unis a été le plus actif dans les discussions. L’accord est crucial pour la politique étrangère d’Obama et les Etats-Unis a imposé la majorité des sanctions contre l’Iran. Dans l’actualité aux Etats-Unis, l’accord a reçu beaucoup d’attention et quelques sénateurs ont écrit une « lettre de menaces » qui a menacé l’accord si les signataires l’adoptent (Boucher). La pression publique aux Etats-Unis, (il y avait plus d’attention aux Etats-Unis que l’attention en France) comme les commerciaux et les groupes 1 “The 2015 Review Conference feels like an opportunity squandered. The discord that surrounds nuclear disarmament will not dissipate” Jasek-Rysdahl 3 de pression, indique que l’accord a été un souci pour les citoyens aux Etats-Unis, pas juste pour les hommes et femmes politiques. Pourtant, l’accord n’est pas bilatéral et depuis le début des discussions, les diplomates du P5+1 dans l’ONU (la France, les Etats-Unis, la Chine, la Russie, et la Grande-Bretagne) ont négocié avec les iraniens (Mullet et Robertson). En France, Laurent Fabius, le ministre des Affaires Etrangères et du Développement International, a le plus d’influence dans les discussions, et a reçu une grande quantité de publicité. Pendant les négociations, Fabius et le gouvernement français ont déclaré que la sécurité est la plus importante et a plus d’influence que les intérêts de commerce. Fabius a critiqué l’accord et a cru que l’Iran nucléaire pose comme une menace de déclencher une course aux armements dans le Moyen-Orient. Dans les discussions, Fabius : a émergé comme le sceptique le plus franc entre les six nations dans les discussions avecl’Iran de diminuer son programme nucléaire dans l’exchange d’une diminution des sanctions économiques. Parfois, Fabius a pris une position plus forte que des officiels à Washington DC, et il avertit qu’en 2013, l’Ouest a risqué d’être pigeonner dans une joue des bêtes (Dalton). 2 Fabius était très sévère dans ces positions et il a discuté que l’accord doit être vérifiable, et pas basé sur la confiance. Le manque de confiance de Fabius est relié aux relations internationales aussi. Comme la plupart des pays occidentaux, il y a une méfiance de l’Iran et le Moyen-Orient. Mais plus spécifiquement, l’amitié entre les pays occidentaux et Israël compliquent l’accord et les discussions. Dans les entretiens, Fabius mentionne la sécurité et les soucis d’Israël car leur rapport est historique et le système d’allies dans l’arène international est essentiel (Riols). 2 “has emerged as the most outspoken skeptic among the six nations in talks with Iran to curb its nuclear program in exchange for an easing of economic sanctions. At times, Mr. Fabius has taken a harder line than officials in Washington, warning in 2013 that the West risked being suckered into a “fool’s game” Jasek-Rysdahl 4 Après 20 mois de négociations, les discussions intensifient pendant l’été 2015 quand les acteurs politiques ont signé l’accord final. Les discussions entre les diplomates et les dirigeants mondiaux ont prouvé d’être un succès et le 14 juillet 2015, l’Iran a signé l’accord avec l’approbation des états comme la France. Après la pléthore des compromises, les acteurs principaux finalement acceptent l’accord. Avec l’aide et l’interaction des pays comme la France, l’accord adresse plusieurs aspects. Selon l’accord, l’Iran doit réduire ses centrifuges par deux tiers, limiter la recherche d’uranium, conserver le niveau d’enrichissement à 3.67% et réduire les réserves d’uranium par 98% pour 15 ans. En plus, les inspecteurs de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) ont le droit total de chercher les facilites et surveiller les sites nucléaires afin d’assurer que l’Iran respecte tous les règles dans l’accord. L’accord est conçu d’aider toutes les parties de l’accord. Si l’Iran obtempère, les Etats-Unis, les Nations unis et l’Union européenne vont lever leurs sanctions sur l’Iran. Les sanctions ont été paralysantes pour l’Iran et depuis 2012, l’Iran a perdu plus de 160 milliards de dollars à cause de ces sanctions. L’accord contient des sauvegardes ; il y a toujours un embargo sur les armes et les missiles balistiques, et si l’Iran met fin à un de ses prérequis sous l’accord, les sanctions vont être réimposé (Iran Nuclear Deal). L’accord preuve que la diplomatie peut prédominer, mais la France et les adversaires contre l’accord (comme Fabius) montrent, malheureusement, que la diplomatie et le discours seront toujours menacés. Après l’annonce de la finalisation de l’accord à Vienne en Autriche, Fabius a annoncé ses propres avises. Le ton de Fabius concernant les négociations et l’Iran est toujours strict, mais il exprime les sentiments plus optimistes comme il a dit que le but pour lui et pour la France est, « oui au nucléaire civil pour l’Iran, non à l’arme nucléaire » (Riols). Fabius soutient un accord robuste et réaffirme que la vigilance et la vérification sont des éléments indispensables. Si la Jasek-Rysdahl 5 France, ou un des états du P5+1 croient que l’Iran viole les termes de l’accord, les sanctions peuvent être immédiatement rétablir. Ces conditions qui donnent la France et les états du P5+1 le pouvoir sont importantes. Les sauvegardes que Fabius souligne sont les raisons pour lesquelles il soutient l’accord avec l’Iran. Il est trop tôt après l’accord pour déterminer si l’accord est un échec ou un succès. Pourtant, on peut analyser Fabius, et les positions de la France et les conséquences de ces actions. Il y a plusieurs raisons qui peuvent expliquer la position sévère de Fabius concernant l’Iran. Le 29 juillet 2015, Fabius a visité l’Iran, juste deux semaines après l’accord. uploads/Geographie/ dissertation-finale 3 .pdf